Scènes comiques, tirées de Molière, Regnard [&c.] avec les retranchemens nécessaires pour rendre cet ouvrage propre à la jeunesse1829 |
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... jour ? et peut - on voir un estomac qui ait plus de force que le mien ? ( Il tousse . ) Hem , hem , hem . Hé ! qu'en dites - vous ? GER . Vous avez raison , je m'étais trompé . Vous fe- rez bien de vous marier . SGAN . J'y ai répugné ...
... jour ? et peut - on voir un estomac qui ait plus de force que le mien ? ( Il tousse . ) Hem , hem , hem . Hé ! qu'en dites - vous ? GER . Vous avez raison , je m'étais trompé . Vous fe- rez bien de vous marier . SGAN . J'y ai répugné ...
Page 38
... jour tombe , allons au - devant de ces dames . SCÈNE SUIVANTE . DOLIBAN , DANIÈRES , MAD . LEGRAS . DOL . Madame Legras , dès que les deux personnes que j'ai désignées arriveront , vous voudrez bien les placer comme nous en sommes ...
... jour tombe , allons au - devant de ces dames . SCÈNE SUIVANTE . DOLIBAN , DANIÈRES , MAD . LEGRAS . DOL . Madame Legras , dès que les deux personnes que j'ai désignées arriveront , vous voudrez bien les placer comme nous en sommes ...
Page 50
... jour , cela va assez bien , le mouvement des lèvres me fait deviner , mais la nuit , et dans une auberge encore ; celle - ci est excellente , la maîtresse charmante , la socié- té infiniment aimable . Jusqu'à la petite femme - de ...
... jour , cela va assez bien , le mouvement des lèvres me fait deviner , mais la nuit , et dans une auberge encore ; celle - ci est excellente , la maîtresse charmante , la socié- té infiniment aimable . Jusqu'à la petite femme - de ...
Page 96
... jour , doucement tourmenté Du démon vigilant de la propriété . Tu pâlissais de crainte au bruit d'une visite ; A tirer des perdreaux tu bornais ton mérite , Ta joie à faire en paix bonne chère et grand feu , Et ton piquet du soir ...
... jour , doucement tourmenté Du démon vigilant de la propriété . Tu pâlissais de crainte au bruit d'une visite ; A tirer des perdreaux tu bornais ton mérite , Ta joie à faire en paix bonne chère et grand feu , Et ton piquet du soir ...
Page 99
... D'ennui ; venez nous voir , et que notre ménage Vous raccommode un jour avec le mariage . BONNARD . Je ferai d'un tel soin mon plus doux passe - tems Et voudrais près de vous prolonger ces instans ; Mais L'ÉCOLE DES VIEILLARDS . 99.
... D'ennui ; venez nous voir , et que notre ménage Vous raccommode un jour avec le mariage . BONNARD . Je ferai d'un tel soin mon plus doux passe - tems Et voudrais près de vous prolonger ces instans ; Mais L'ÉCOLE DES VIEILLARDS . 99.
Expressions et termes fréquents
affaire ALAIN allez Allons ALMANZOR ANGÉ avez BABET beau BONNARD BOURGEOIS GENTILHOMME BRAN CATH CATHOS CÉLIMÈNE cents cher CHEV CHICANEAU chose CHRYSALE CLÉ COCLET cœur COMÉDIE COMTE COMTESSE CRISP crois D'HER dames DAND DANSE DANVILLE dire donner DORINE DUPERRON écus ÉRAS ÉRASTE Est-ce êtes femme fille FROS FUSIN gens Géronte HARP HARPAGON homme honnête j'ai j'en JACQ Jacques joli JOUR JUAN KERLEBON L'ABBÉ LAFL m'en vais madame Jourdain mademoiselle maître manger mariage MARPH MARQ MART MASC médecin MOLIÈRE monde monsieur monsieur de Pourceaugnac ORGON ORON Oronte PANC Parbleu parler PASQ père PHIL PHILAMINTE pistoles PLINVILLE POURC Pourceaugnac Qu'est-ce raison rien RISSOLE s'il vous plaît sais SBRIG SCAP Scapin SCENE SUIVANTE sera SGAN Sganarelle sort souper Tartuffe THIB THOM tout-à-fait TRISSOTIN VADIUS VALÈRE valet veux voilà vois voulez voulez-vous vrai
Fréquemment cités
Page 267 - La pâle est aux jasmins en blancheur comparable; La noire à faire peur, une brune adorable; La maigre a de la taille et de la liberté; La grasse est dans son port pleine de majesté...
Page 159 - JOURDAIN. Par ma foi, il ya plus de quarante ans que je dis de la prose, sans que j'en susse rien ' ; et je vous suis le plus obligé du monde de m'avoir appris cela.
Page 223 - Hélas ! mon pauvre argent, mon pauvre argent, mon cher ami, on m'a privé de toi ! et, puisque tu m'es enlevé, j'ai perdu mon support, ma consolation, ma joie ; tout est fini pour moi, et je n'ai plus que faire au monde ! Sans toi il m'est impossible de vivre. C'en est fait ; je n'en puis plus, je me meurs, je suis mort, je suis enterré.
Page 284 - C'est qu'on fut malheureux de ne pouvoir vous plaire VADIUS. Il faut qu'en écoutant j'aie eu l'esprit distrait, Ou bien que le lecteur m'ait gâté le sonnet. Mais laissons ce discours, et voyons ma ballade. TRISSOTIN. La ballade, à mon goût, est une chose fade : Ce n'en est plus la mode ; elle sent son vieux temps.
Page 83 - Tous ces conseils sont admirables assurément; mais je les tiens un peu intéressés , et trouve que vous me conseillez fort bien pour vous. Vous êtes orfèvre , monsieur Josse , et votre conseil sent son homme qui a envie de se défaire de sa marchandise.
Page 80 - Elles veulent écrire et devenir auteurs. Nulle science n'est pour elles trop profonde, Et céans beaucoup plus qu'en aucun lieu du monde ; Les secrets les plus hauts s'y laissent concevoir, Et l'on sait tout chez moi, hors ce qu'il faut savoir. On y sait comme...
Page 268 - L'orgueilleuse a le cœur digne d'une couronne; La fourbe a de l'esprit, la sotte est toute bonne; La trop grande parleuse est d'agréable humeur, Et la muette garde une honnête pudeur. C'est ainsi qu'un amant dont l'ardeur est extrême, Aime jusqu'aux défauts des personnes qu'il aime.
Page 223 - Je veux aller quérir la justice, et faire donner la question à toute ma maison : à servantes, à valets, à fils, à fille, et à moi aussi. Que de gens assemblés! Je ne jette mes regards sur personne qui ne me donne des soupçons, et tout me semble mon voleur.
Page 223 - Hé! de quoi est-ce qu'on parle là? de celui qui m'a dérobé? Quel bruit fait-on là-haut? Est-ce mon voleur qui y est? De grâce, si l'on sait des nouvelles de mon voleur, je supplie que l'on m'en dise. N'est-il point caché là parmi vous? Ils me regardent tous, et se mettent à rire. Vous verrez qu'ils ont part, sans doute, au vol que l'on m'a fait. Allons vite, des commissaires, des archers, des prévôts, des juges, des gênes, des potences, et des bourreaux. Je veux faire pendre tout le monde...
Page 80 - C'est à vous que je parle, ma sœur. Le moindre solécisme en parlant vous irrite ; Mais vous en faites, vous, d'étranges en conduite. Vos livres éternels ne me contentent pas ; Et, hors un gros Plutarque à mettre mes rabats, Vous devriez brûler tout ce meuble inutile, Et laisser la science aux docteurs de la ville...