Nouvelle encyclopédie poétique: ou, Choix de poésies dans tous les genres, Volume 10Capelle (M., Pierre Adolphe) Ferra, 1819 |
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Page 39
... traits radieux , Je trouve écrit le nom du maître Qui forma la terre et les cieux . D'autres leçons , d'autres pensées Me donne encor la sombre nuit , Où , du soleil qui tombe et fuit , Les lumières sont éclipsées . Ainsi chaque jour ...
... traits radieux , Je trouve écrit le nom du maître Qui forma la terre et les cieux . D'autres leçons , d'autres pensées Me donne encor la sombre nuit , Où , du soleil qui tombe et fuit , Les lumières sont éclipsées . Ainsi chaque jour ...
Page 87
... traits aériens , Et pendant mes rêves de gloire S'ouvrira la porte d'ivoire Qui rend des sons élyséens . J'entends votre voix empressée ; Art des vers , tu fais nos adieux . Quoi ! de ma lyre délaissée Partent ces chants mélodieux ...
... traits aériens , Et pendant mes rêves de gloire S'ouvrira la porte d'ivoire Qui rend des sons élyséens . J'entends votre voix empressée ; Art des vers , tu fais nos adieux . Quoi ! de ma lyre délaissée Partent ces chants mélodieux ...
Page 93
... traits aériens , Et pendant mes rêves de gloire S'ouvrira la porte d'ivoire Qui rend des sons élyséens . J'entends votre voix empressée ; tu fais nos adieux . Art des vers , Quoi ! de ma lyre délaissée Partent ces chants mélodieux ...
... traits aériens , Et pendant mes rêves de gloire S'ouvrira la porte d'ivoire Qui rend des sons élyséens . J'entends votre voix empressée ; tu fais nos adieux . Art des vers , Quoi ! de ma lyre délaissée Partent ces chants mélodieux ...
Page 105
... traits un peu vieux , Souvenez - vous qu'à mon âge Vous ne vaudrez guère mieux . Le temps aux plus belles choses Se plaît à faire un affront , Et saura faner vos roses Comme il a ridé mon front . Le même cours des planètes Règle nos ...
... traits un peu vieux , Souvenez - vous qu'à mon âge Vous ne vaudrez guère mieux . Le temps aux plus belles choses Se plaît à faire un affront , Et saura faner vos roses Comme il a ridé mon front . Le même cours des planètes Règle nos ...
Page 116
... traits , Et tous les dons que Nature t'a faits Obligeront la Fortune à t'en faire . Digne sujet d'une rare amitié , En qui la plainte est belle et la beauté plaintive , Tu fais naître à la fois l'amour et la pitié , Et de deux passions ...
... traits , Et tous les dons que Nature t'a faits Obligeront la Fortune à t'en faire . Digne sujet d'une rare amitié , En qui la plainte est belle et la beauté plaintive , Tu fais naître à la fois l'amour et la pitié , Et de deux passions ...
Expressions et termes fréquents
ADAM BILLAUT Adorez le Dieu affreux aimable aime amans âme amour autels Bacchus beau beauté belle bonheur Bourbons Cantates chants charmes Chaulieu CHOEUR ciel cieux cœur Colonnes d'Hercule cruelle Cythère déesse Démosthène désirs destin Dieu d'Israël dieux dithyrambe divin douleur doux duc de Vendôme encens enfans Esprit saint fête feux filez cet heureux fleurs flots foudre front fuseaux légers gloire Grèce héros heureux jour Hymen HYMNES SACRÉES immortel jaloux jamais Jean Racine Jephté jeune l'Amour l'envi l'épithalame l'Éternel l'Hymen l'univers larmes lauriers lieux louange lyre M.me main Malleville marche généreuse maux mille MOÏSE momens monde mort mortels nuit ombres ORATORIO paix Parques Pavillon père Pétrarque peuple Pindare plaisir plaisirs pleurs poëte psaume qu'un Racan Racine rois Rousseau S. E. Géraud Seigneur seul soleil Solitude sommeille sort soupire soyez long-temps amis Stances philosoph Stésichore suprême tendre terre tonnerre Vénus victoire vœux voilà bien remis vois voit voix yeux
Fréquemment cités
Page 18 - O bienheureux celui qui peut de sa mémoire Effacer pour jamais ce vain espoir de gloire, Dont l'inutile soin traverse nos plaisirs, Et qui, loin, retiré de la foule importune, Vivant dans sa maison, content de sa fortune, A selon son pouvoir mesuré ses désirs...
Page 17 - TIRCIS, il faut penser à faire la retraite ; La course de nos jours est plus qu'à demi faite ; L'âge insensiblement nous conduit à la mort ; Nous avons assez vu sur la mer de ce monde Errer au gré des flots notre nef vagabonde ; Il est temps de jouir des délices du port.
Page 27 - Fontenay, lieu délicieux Où je vis d'abord la lumière, Bientôt au bout de ma carrière, Chez toi je joindrai mes aïeux. Muses, qui dans ce lieu champêtre Avec soin me fîtes nourrir. Beaux arbres, qui m'avez vu naître, Bientôt vous me verrez mourir ! Cependant du frais de votre ombre...
Page 216 - Le Seigneur a détruit la reine des cités : Ses prêtres sont captifs, ses rois sont rejetés; Dieu ne veut plus qu'on vienne à ses solennités; Temple, renverse-toi; cèdres, jetez des flammes.
Page 217 - Lève, Jérusalem, lève ta tête altière ; Regarde tous ces rois de ta gloire étonnés; Les rois des nations, devant toi prosternés, De tes pieds baisent la poussière; Les peuples à l'envi marchent à ta lumière.
Page 210 - De ce jour à jamais auguste et renommé, Quand, sur ton sommet enflammé, Dans un nuage épais le Seigneur enfermé Fit luire aux yeux mortels un rayon de sa gloire. Dis-nous pourquoi ces feux et ces éclairs, Ces torrents de fumée, et ce bruit dans les airs, Ces trompettes et ce tonnerre. Venait-il renverser l'ordre des 'éléments ? Sur ses antiques fondements Venait-il ébranler la terre?
Page 202 - Hélas ! en guerre avec moi-même, Où pourrai-je trouver la paix ? Je veux, et n'accomplis jamais. Je veux, mais, ô misère extrême ! Je ne fais pas le bien que j'aime, Et je fais le mal que je hais.
Page 212 - J'ai vu l'impie adoré sur la terre; Pareil au cèdre, il cachait dans les cieux Son front audacieux; II semblait à son gré gouverner le tonnerre, Foulait aux pieds ses ennemis vaincus : Je n'ai fait que passer, il n'était déjà plus.
Page 61 - Quoi ! pour toujours vous me fuyez, Tendresse, illusion, folie, Dons du ciel, qui me consoliez Des amertumes de la vie ! On meurt deux fois, je le vois bien : Cesser d'aimer et d'être aimable, C'est une mort insupportable ; Cesser de vivre, ce n'est rien.