Les moellons qui en provenaient étaient entassés sur les bords fort élevés d'un chemin creux, formant une espèce de ravin, par lequel il fallait nécessairement passer. En arrivant à ce défilé, nous vîmes tous les champs environnants couverts... Mémoires de l'Académie des Sciences, des Lettres et des Arts d'Amiens - Page 183 de Académie des Sciences, des Lettres et des Arts d'Amiens, France - 1899 Affichage du livre entier -
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