Sans parents, sans amis, pour ainsi dire seul sur la terre, n'ayant point encore aimé, j'étais accablé d'une surabondance de vie. Quelquefois je rougissais subitement, et je sentais couler dans mon cœur comme des ruisseaux d'une lave ardente ; quelquefois... Philosophie du bonheur - Page 95de Paul Janet - 1865 - 439 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1802 - 354 pages
...aimer, j'étois accablé d'une surabondance de vie. Quelquefois je rougissois subitement , et je sentois couler dans mon Cœur comme des ruisseaux d'une lave ardente ; quelquefois je poussois des cris involontaires , et la nuit étoit également troublée de mes songes et de mes veilles.... | |
| François-René “de” Chateaubriand - 1802 - 360 pages
..., j'etois accablé d'une surabondance de vie. Quelquefois je rougissois subitement , et je sentois couler dans mon cœur comme des ruisseaux d'une lave ardente ; quelquefois je poussois des cris involontaires , et la nuit étoit également troublée de mes songes et de mes veilles..... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1826 - 412 pages
...aimé, j'étois accablé d'une surabondance de vie. Quelquefois je rougissois subitement , et je sentois couler dans mon cœur comme des ruisseaux d'une lave ardente ; quelquefois je poussois des cris involontaires , et la nuit étoit également troublée de mes songes et de mes veilles.... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1826 - 418 pages
..., j'étois accablé d'une surabondance de vie. Quelquefois je rougissois subitement , et je sentois couler dans mon cœur comme des ruisseaux d'une lave ardente ; quelquefois je poussois des cris involontaires , et la nuit étoit également troublée de mes songes et de mes veilles.... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1827 - 400 pages
...aimé, j'étois accablé d'une surabondance de vie. Quelquefois je rougissois subitement, et je sentois couler dans mon cœur comme des ruisseaux d'une lave ardente ; quelquefois je poussois des cris involontaires, et la nuit étoit également troublée de mes songes et de mes veilles.... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1830 - 424 pages
...aimé, j'étois accablé d'une surabondance de vie. Quelquefois je rougissois subitement, et je sentois couler dans mon cœur comme des ruisseaux d'une lave ardente; quelquefois je poussois des cris involontaires, et la nuit étoit également troublée de mes songes et de mes veilles.... | |
| 1910 - 992 pages
...sur la terre, n'ayant point encore aimé, j'étais accablé d'une surabondance de vie. Quelquefois je rougissais subitement, et je sentais couler dans...veilles. Il me manquait quelque chose pour remplir le vide de mon existence. Je descendais la vallée, je m'élevais sur la montagne, appelant de toute... | |
| 1903 - 998 pages
...sensibilité sous l'aiguillon du désir. « J'étais accablé d'une surabondance de vie. Quelquefois je rougissais subitement et je sentais couler dans...également troublée de mes songes et de mes veilles... Je marchais à grands pas, le visage enflammé, le vent sifflant dans ma chevelure, ne sentant ni pluie,... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1835 - 468 pages
...aimé, j'étoi» accablé d'une surabondance de vie. Quelquefois je rougissois subitement, et je sentois couler dans mon cœur comme des ruisseaux d'une lave ardente; quelquefois je poussois des cris involontaires , et la nuit étoit également troublée de mes songes et des mes veilles.... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1836 - 516 pages
...aimé, j'étois accablé d'une surabondance de vie. Quelquefois je rougissois subitement , et je sentois couler dans mon cœur comme des ruisseaux d'une lave ardente ; quelquefois je poussois des cris involontaires , et la nuit étoit également troublée de mes songes et de mes veilles.... | |
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