De l'histoire naturelle des cétacés, ou Recueil et examen des faits dont se compose l'histoire naturelle de ces animaux

Couverture
Roret, 1836 - 420 pages
 

Autres éditions - Tout afficher

Expressions et termes fréquents

Fréquemment cités

Page 26 - Q que rondes , placées près de l'aisselle des" bras ; la peau est un cuir épais de six lignes sous le ventre, de neuf lignes sur le dos et d'un pouce et demi sur la tête. La graisse est blanche et...
Page 26 - Il a deux bras ou nageoires placés à l'origine de la tête,qui n'est distinguée du tronc par aucune espèce de cou, ni par des épaules sensibles ; ces bras sont à peu près cylindriques , composés de trois articulations principales , dont l'antérieure forme une espèce de main aplatie , dans laquelle les doigts ne se distinguent que par quatre ongles d'un rouge brun et luisant : la queue est horizontale comme celle des baleines, et elle a la forme d'une pelle à four. Les femelles ont deux...
Page 117 - La longeur totale était de quinze pieds , et la circonférence de sept pieds et demi , en arrière des nageoires pectorales. La tète , assez distincte par un rétrécissement du reste du corps , avait deux pieds sept pouces de long de l'extrémité du museau à l'occiput. Le front était aussi fortement bombé à son origine nasale ; l'évent, situé à deux pieds trois pouces de la pointe des mâchoires, avait trois pouces de largeur ; il était peu courbé , les cornes eu avant. L'œil était...
Page 142 - Cuvier; nulle part, en effet, l'illustre analomiste ne mentionne la surface articulaire de la septième cervicale, et, parlant du dauphin ordinaire, il dit : « Les trois premières côtes seulement ont une tête et un tubercule et s'articulent à la fois sur le corps de deux vertèbres et sur l'extrémité de l'apophyse transverse de l'une des deux (1). » Schlegel, en décrivrant le squelette du Delphinus leucas, insiste sur l'articulation des premières côtes, et dit : Die...
Page xxviii - Chez le lamantin et le dugong, dit mon frère, les connexions des os de la tête, leur coupe générale, etc., sont à peu près les mêmes , et l'on voit que pour changer une tête de lamantin en une tête de dugong, il suffirait de renfler et d'allonger ses os inter-maxillaires pour y placer les défenses , et de courber vers le bas la symphyse de la mâchoire inférieure , pour la conformer à l'inflexion de la supérieure. Le museau alors prendrait la forme qu'il a dans le dugong, et les narines...
Page 32 - ... promptement avertir mon pêcheur, à qui je montrai ces deux animaux, qui se promenaient et mangeaient d'une mousse verte qui croît sur le rivage : il courut aussitôt chercher ses camarades, qui prirent deux bateaux , et allèrent sur le rivage ; et pendant ce temps le mâle vint pour chercher sa femelle , et , ne voulant pas s'éloigner, se laissa tuer aussi. Chacun de ces poissons prodigieux avait plus de six aunes de long; le mâle était un peu plus gros que la femelle...
Page 118 - ... deux cornes, assez arquées et un peu pointues , comprenaient entre elles une longueur de trois pieds, L'ouverture de la vulve avait presque huit pouces de longueur ; l'anus en était à environ un pouce en arrière : de chaque côté de la première était le pli des mamelles , qui avaient trois ou quatre pouces de long.
Page 26 - ... l'iris est d'un bleu foncé et la prunelle noire ; le museau est presque cylindrique ; les deux mâchoires sont à peu près également larges ; les lèvres sont charnues et fort épaisses ; il n'ya que des dents molaires , tant à la mâchoire d'en haut...
Page 26 - ... que cent quatre-vingt-quatorze livres; leur couleur est cendrée noire; les poils sont très.rares sur tout le corps ; ils sont en forme de soies longues de neuf lignes; la tête est conique et %t d'une grosseur médiocre , relativement ' au volume du corps ; les yeux sont ronds ; et très-petits : l'iris est d'un bleu foncé et ; la prunelle...
Page 90 - ... forme de deux demi-cercles, attachée au bord antérieur de cet orifice qu'elle ferme au moyen d'un muscle trèsfort, couché sur les os intermaxillaires. Pour l'ouvrir, il faut un effort pressant de bas en haut. L'abaissement de la valvule intercepte toute communication entre les narines et les cavités placées au-dessus.

Informations bibliographiques