| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1830 - 274 pages
...gardasse un culte en mon cœur solitaire. Et qu'à propos de rien, un jour d'été, si loin Des lieux et des objets, ainsi j'en prisse soin. Hélas! pensai-je...encor la pensée. Quand je m'endormirai comme eux, du tems vaincu, Sais-je hélas ! si quelqu'un saura que j'ai vécu ? Et poursuivant toujours, je disais... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1835 - 302 pages
...gardasse un culte en mon cœur solitaire, Et qu'à propos de rien, un jour d'été, si loin Des lieux et des objets, ainsi j'en prisse soin. Hélas ! pensai-je...remis à Dieu, Le souvenir de nous ici nous survit peu ; POÉSIES. 57 Notre trace est légère et bien vite effacée ; Et moi, qui de ces morts garde encor... | |
| Bescherelle (M., Louis Nicolas) - 1841 - 892 pages
...avec un accent grave. III. Que pourrai-je vous dire et quel remerclment ! (MOLIERE.) Hélas! peniai-je alors, la tristesse dans l'âme, Humbles hommes, l'oubli sans pitié nous réclame. (SAINTE-BEUVE.) Par où pourrais-je , hélas ! dans ma vaste disgrâce , Vers vous de quelque plainte... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1845 - 492 pages
...gardasse un culle en mon cœur solitaire , El qu'à propos de rien, un jour d'été, si loin Des lieux et des objets , ainsi j'en prisse soin. Hélas! pensai-je alors, la tristesse dans l'Ame, Humbles hommes, l'oubli sans pitié nous réclame, Et , sitôt que la mort nous a remis à Dieu... | |
| Bescherelle (M., Louis Nicolas), H. Bescherelle, Litais de Gaux - 1847 - 892 pages
...conditionnel : pourrais, consumerais. Que pourrai-je vous dire et quel remerclmcnt ! (MOLIERE.) Hélas I é deux formes pour le masculin singulier sont : nouveau, beau, vieux, mou, fou, qui ont pour (SAINTE-BEUVE.) IV. Aimable fille, n'es-tu point un ange du ciel, ou Dieu me montre- l-il en toi l'épouse... | |
| A. Roche - 1853 - 720 pages
...gardasse nu culte en mon cœur solitaire, Et qu'à propos de tfen, un jour d'été, si loin Des lieux et des objets, ainsi j'en prisse soin. Hélas! pensai-je...légère et bien vite effacée; Et moi, qui de ces mots garde encor la pensée, Quand je m'endormirai comme eux, du temps vaincu, Sais-je, hélas! si... | |
| Bescherelle (M., Louis Nicolas) - 1854 - 890 pages
...un accent grave. m. Que pourrai-je vous dire et quel remerciaient ! ( MOLIÈRE.) Hélas ! ptruai-je alors, la tristesse dans l'âme, Humbles hommes, l'oubli sans pitié nous réclame. (SAINTE-BEUVE.) Par où pourrais-je , hélas! dans ma vasto disgrâce, Vers vous de quelque plainte... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1863 - 684 pages
...prisse soin. llélas! pensai-je alors, la tristesse dans l'âme. llumbles hommes, l'oubli sans pitiè nous réclame. Et, sitôt que la mort nous a remis...souvenir de nous ici nous survit peu ; Notre trace est légére et bien vite effacée ; Et moi, qui de ces morts garde encor la pensée, Quand je m'endormirai... | |
| Bescherelle (M., Louis Nicolas) - 1871 - 898 pages
...pourrais, consumerait. Que pourrai-je vous dire et quel lemerctment I (MOLIERE.) Hélas ' pentai-je alors, la tristesse dans l'âme, Humbles hommes , l'oubli sans pitié nous réclame. (SAIHTE-BBCVE.) IV. Aimable fille, n'es-tn point un ange du ciel, pu Dieu me montre- Ml en toi l'épouse... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1879 - 444 pages
...Hélas! pensais-je alors, la tristesse dans l'âme, Humbles hommes, l'oubli sans pitié nous rédame, Et, sitôt que la mort nous a remis à Dieu, Le souvenir...pensée, Quand je m'endormirai comme eux, du temps vaincn. Sais-je, hélas! si quelqu'un saura que j'ai vécu? Et poursuivant toujours, je disais qu'en... | |
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