Les premiers pasteurs du désert, 1685-1700, Volume 2

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Fréquemment cités

Page 79 - La France entière n'est plus qu'un grand hôpital désolé et sans provision; le peuple qui vous a tant aimé commence à perdre l'amitié, la confiance et même le respect. Les émotions populaires, qui étaient inconnues depuis si longtemps, deviennent fréquentes. Paris même n'en est pas exempt...
Page 165 - Venez, les bénis de mon Père, possédez en héritage le royaume qui vous a été préparé dès la fondation du monde ; car j'ai eu faim et vous m'avez donné à manger; j'ai eu soif et vous m'avez donné à boire; j'étais étranger et vous m'avez recueilli; j'étais nu et vous m'avez vêtu; j'étais malade et vous m'avez visité; j'étais en prison et vous êtes venus vers moi;
Page 79 - que d'une crainte d'esclave; c'est l'enfer et non pas Dieu que vous craignez. Votre religion ne consiste qu'en superstitions, en petites pratiques superficielles. Vous rapportez tout à vous, comme si vous étiez le Dieu de la terre.
Page 79 - qui ne l'est pas, et vous humilier pour vous convertir; car vous ne serez chrétien que dans l'humiliation. Vous n'aimez point Dieu; vous ne le craignez que d'une crainte d'esclave; c'est l'enfer et non pas Dieu que vous craignez. Votre religion ne consiste qu'en superstitions, en petites pratiques superficielles. Vous
Page 183 - Comment n'ont-ils pas vu dans cette affaire, ce qui n'est que trop visible, que l'État se trouve percé d'outre en outre par le même coup qui traverse les protestants, et qu'une révocation de l'édit faite avec tant de hauteur, ne laisse plus rien d'immobile ou de sacré
Page 80 - que les princes qui sont enfants de 'l'Église, .ne se doivent jamais servir du glaive que Dieu leur a mis en main, pour abattre ses ennemis ? L'oseriez-vous dire contre le sentiment de vos
Page 165 - j'étais étranger et vous m'avez recueilli; j'étais nu et vous m'avez vêtu; j'étais malade et vous m'avez visité; j'étais en prison et vous êtes venus vers moi;
Page 208 - et de l'admiration de tout le monde; mais ce grand Dieu qui est le roi des rois et le Seigneur des seigneurs, et de la bouche de qui Votre Majesté a reçu toute cette gloire et cette puissance, veut, Sire, que vous ayez pitié de ceux qui le craignent et qui le servent; il veut que vous gouverniez son peuple avec douceur et avec équité...
Page 218 - pour la prospérité, la gloire et la puissance de l'État,... nous sommes privés de la protection de nos juges légitimes, et traités non pas en personnes libres, mais en esclaves ; et, en effet, on dispose de nos biens, de nos enfants et de nos vies, comme si nous étions tels, quoiqu'on ne
Page 149 - Malheur à ceux qui appellent le mal bien, et le bien mal ; qui font des ténèbres la lumière, et de la lumière les ténèbres

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