De l'instruction obligatoire comme remède aux maux sociauxLibrairie internationale A. Lacrois, Verboeckhoven et cie, 1866 - 323 pages |
Autres éditions - Tout afficher
De l'instruction obligatoire comme remède aux maux sociaux Agathon de Potter Affichage du livre entier - 1866 |
De l'instruction obligatoire comme remède aux maux sociaux: mémoire soumis à ... Agathon De Potter,Édouard Ducpétiaux,Paul Devaux Affichage du livre entier - 1866 |
De l'instruction obligatoire comme remède aux maux sociaux Agathon de Potter Affichage du livre entier - 1866 |
Expressions et termes fréquents
2º Anéantir 4º Démontrer enfin absolue Adam Smith Anéantir le paupérisme Apprendre à lire approprié Aristote besoin bien-être bourgeois capital chose classe compression de l'examen concurrence réellement libre conséquent d'empêcher l'examen démontrer que l'honnête Devaux Développer l'intelligence devenu impossible direct à l'anar Ducpetiaux Dunoyer durée plus qu'éphémère économistes esclave évidemment existe faim générations passées incompressibilité inculquer individuelle du sol inquisition l'aliénation du sol l'éducation et l'instruction l'époque d'ignorance l'homme l'honnête homme l'humanité l'ignorance l'in l'incompres l'organisation sociale l'ouvrier libre examen lois loppements machines ment de l'inquisition mentation mettre ces richesses Michel Chevalier misère moyen nécessaire organiser la société ouvriers Paul Devaux paupérisme matériel paupérisme moral peuple possible pouvoir démontrer produit prolétaires propriété collective Proudhon Qu'y a-t-il règle des actions rence révolutions riches ridicule comme remède science sensibilité est immatérielle sera seulement simplement organiser situation société actuelle société de manière SOCIÉTÉ FUTURE soin sophisme souf souveraineté tion travail vail Voltaire
Fréquemment cités
Page 239 - ... il est réellement de trop sur la terre. Au grand banquet de la nature, il n'ya point de couvert mis pour lui. La nature lui commande de s'en aller, et elle ne tarde pas à mettre elle-même cet ordre à exécution ». M.
Page 74 - De toutes parts ils ont usurpé une influence sans bornes : et cependant, s'il ya une chose sûre dans le monde, c'est, à mon avis, que ce n'est point à la science qu'il appartient de conduire les hommes. Rien de ce qui est nécessaire ne lui est confié : il faudrait avoir perdu l'esprit pour croire que Dieu ait chargé les académies de nous apprendre ce qu'il est et ce que nous lui devons.
Page 141 - Le simple ouvrier qui n'a que ses bras et son industrie, n'a rien qu'autant qu'il parvient à vendre à d'autres sa peine. Il la vend plus ou moins cher; mais ce prix plus ou moins haut ne dépend pas de lui seul : il résulte de l'accord qu'il fait avec celui qui paye son travail. Celui-ci le paye le moins cher qu'il peut; comme il a le choix entre un grand nombre d'ouvriers, il préfère celui qui travaille au meilleur marché. Les ouvriers sont donc obligés de baisser le prix à l'envi les uns...
Page 67 - ... mesure que l'instruction descend dans les classes inférieures , celles-ci découvrent la plaie secrète qui ronge l'ordre social...
Page 145 - Mais quoique les maîtres aient presque toujours nécessairement l'avantage dans leurs querelles avec leurs ouvriers , cependant il ya un certain taux au-dessous duquel il est impossible de réduire , pour un temps un peu considérable, les salaires ordinaires, même de la plus basse espèce de travail.
Page 167 - On dirait qu'un petit nombre d'hommes, après s'être partagé la terre, ont fait des lois d'union et de garantie contre la multitude, comme ils auraient mis des abris dans les bois pour se défendre des bêtes sauvages. Cependant, on ose le dire, après avoir établi les lois de propriété, de justice et de liberté, on n'a presque rien fait encore pour la classe la plus nombreuse des citoyens. Que nous importent vos lois de propriété?
Page 79 - Il s'élève, à ce que je vois, bien des partis fanatiques contre la raison; mais elle triomphera, comme vous le dites, au moins chez les honnêtes gens ; la canaille n'est pas faite pour elle.
Page 42 - Il est affligeant de penser, mais il est vrai de dire que, même chez les nations les plus prospères , une partie de la population périt tous les ans de besoin.
Page 98 - ... nous. Aussi la population noire pullule-t-elle plus ici que ne le fait chez nous la population des campagnes. Notre paysan fait autant d'enfants que le noir de la Caroline et de la Virginie ; mais chez nous la mort, que la misère amène par la main , est active à repousser...
Page 188 - Nous ne nous soucions pas que nos laboureurs et nos manœuvres soient éclairés, mais nous voulons que les gens du monde le soient...