Le livre du compagnonage, Volume 1Pagnorre, 1841 |
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... sentiments qui vous animent et du courage que vous mettez à remplir une tâche pénible . Ramener les ouvriers au devoir de la religion et de la paix , sans rien prendre sur leur liberté et leur indépendance , serait certainement l'œuvre ...
... sentiments qui vous animent et du courage que vous mettez à remplir une tâche pénible . Ramener les ouvriers au devoir de la religion et de la paix , sans rien prendre sur leur liberté et leur indépendance , serait certainement l'œuvre ...
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... sentiments ; s'il fait des réponses satisfaisantes , on l'embauche . A la première assemblée générale , on le fait monter en cham- bre , et , en présence de tous les Compagnons et de tous les Affiliés , on lui fait quelques ques- tions ...
... sentiments ; s'il fait des réponses satisfaisantes , on l'embauche . A la première assemblée générale , on le fait monter en cham- bre , et , en présence de tous les Compagnons et de tous les Affiliés , on lui fait quelques ques- tions ...
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... sentiments égoïstes ; soyez laborieux , soyez sages et pru- dents , bientôt vous serez Compagnons ; alors , si ce qui vous parut mauvais vous le paraît en- core , tentez de le réformer . Pour être justes et généreux , il faut faire pour ...
... sentiments égoïstes ; soyez laborieux , soyez sages et pru- dents , bientôt vous serez Compagnons ; alors , si ce qui vous parut mauvais vous le paraît en- core , tentez de le réformer . Pour être justes et généreux , il faut faire pour ...
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... sentiments plus nobles et plus élevés , à nous faire comprendre enfin combien il est barbare et ridicule de regarder comme ennemi quiconque n'appartient point à notre Société ? Vous savez combien de maux nous expose cette fièvre d ...
... sentiments plus nobles et plus élevés , à nous faire comprendre enfin combien il est barbare et ridicule de regarder comme ennemi quiconque n'appartient point à notre Société ? Vous savez combien de maux nous expose cette fièvre d ...
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... sentiments s'aigrissent , notre esprit s'obs- curcit , notre âme se dégrade ; dans nos pensées plus rien de grand , de généreux ; dans notre entendement tout devient trouble et confusion . Aussi tout travail d'application nous devient ...
... sentiments s'aigrissent , notre esprit s'obs- curcit , notre âme se dégrade ; dans nos pensées plus rien de grand , de généreux ; dans notre entendement tout devient trouble et confusion . Aussi tout travail d'application nous devient ...
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Expressions et termes fréquents
Adieu Affilié AGRICOL PERDIGUIER amis arêtiers Aspirants astronome beau Devoir Bordeaux cannes chansons chanter charmant pays charpentiers Chers Compagnons chers pays choses cieux cinq ordres cintrées en plan ciples cœur colonne Compagnonage Compagnons du Devoir Compagnons menuisiers compas comprendre cordonniers corps d'états couleurs coupe couplets d'autres d'équerre décrivez dessiner Devoir de Liberté Dévorants diamètre dire divise dorique Drilles école mutuelle également Enfants de maître enfants de Salomon ennemis équerre escaliers fraternité frères Gavots géométrie gloire gnonage gnons hommes j'ai jeune jour l'architecture l'assemblée l'escalier L'INCONSTANT LANGUEDOC largeur ligne D limon livre Lyon maître Jacques marche Marseille ment menuiserie module Nantes nommé ordres d'architecture ouvrage ouvriers pagnons passe penser père Soubise poète porte portent posez PROVENÇAL raison Renard rien Roubo sage sectateurs de Salomon sentiments sera serruriers du Devoir seul sorte surnoms tailleurs de pierre talents temple toscan tour trait Vignole Vitruve voix voyage voyageons vriers
Fréquemment cités
Page 111 - Toute coalition entre ceux qui font travailler des ouvriers, tendant à forcer injustement et abusivement l'abaissement des salaires, suivie d'une tentative ou d'un commencement d'exécution, sera punie d'un emprisonnement de six jours à un mois et d'une amende de deux cents francs à trois mille francs.
Page 63 - Pour le patient, on lui présentait verres d'eau sur verres d'eau, et lorsqu'il ne pouvait plus avaler, on lui jetait le liquide au visage. Puis on brisa le verre dans lequel il avait bu, on brûla ses couleurs à ses yeux. Le rouleur le fit ensuite lever, le prit par la main, et le promena autour de la salle en l'arrêtant devant chaque membre, et chacun lui appliqua sur la joue un soufflet pesant surtout par la honte ; enfin la porte lui fut ouverte, mais au moment où il allait franchir le seuil,...
Page 23 - ... 4 Voici, je m'en vais bâtir une maison au nom de l'Eternel mon Dieu, pour la...
Page 111 - Toute coalition de la part des ouvriers pour faire cesser en même temps de travailler, interdire le travail dans un atelier, empêcher de s'y rendre et d'y rester avant ou après certaines heures et en général pour suspendre, empêcher, enchérir les travaux...
Page 111 - Lorsque les faits punis par l'article précédent auront été commis par suite d'un plan concerté, les coupables pourront être mis, par l'arrêt ou le jugement, sous la surveillance de la haute police pendant deux ans au moins et cinq ans au plus.
Page 76 - A coup de cannes et de compas Nous détruirons ces scélérats. Nos Compagnons sont bons là ; Fonçons sur eux le compas à la main, Repoussons-les, car ils sont des mutins. Pas de charge en avant, Repoussons tous ces brigands, Ces gueux de Dévorants Qui n'ont pas de bon sang.
Page 59 - Tope ! — Tope ! — Quelle vocation?... — Charpentier, et vous, le pays?... — Tailleur de pierre. — Compagnon?... — Oui, le pays, et vous?... — Compagnon aussi. Alors ils se demandent à quel devoir ils appartiennent. S'ils sont du même devoir, ils se donnent la main et...
Page 79 - Gavot abominable Mille fois détestable. Pour toi quelle pitié De te voir enchaîné! Il vaudrait mieux te rendre Chez la mère à Lyon ; Là on saurait t'apprendre Le devoir d'un compagnon. Que diront ces fillettes. Là-haut dans leurs chambrettes ? Elles pleurent leurs amants, Qui s'en vont battre aux champs. Descendant sur le Rhône, Sur ce coulant ruisseau, S'en vont droit à Marseille, Enchaîner ces gavots.
Page 24 - C'est parce que l'Eternel a aimé son peuple, qu'il t'a établi roi sur eux. 12 Et Hiram dit : Béni soit l'Eternel , le Dieu d'Israël , qui a fait les deux et la terre , de ce qu'il a donné au roi David un fils sage, prudent et intelligent, qui doit bâtir une maison à l'Eternel , et une maison pour sa cour royale.
Page 77 - En 18'27, à Blois, les Drilles allèrent assiéger les gavots chez leur mère. Deux charpentiers furent tués, un menuisier eut plusieurs côtes enfoncées , un second reçut plusieurs coups de compas dans le ventre , un troisième plusieurs coups de sabre à la tête, car des soldats ivres s'étaient joints aux assaillants. Dans son roman intitulé : Le compagnon du tour de France...