IphigénieIvison & Phinney, 1856 - 320 pages |
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Chefs-d'œuvre de Jean Racine: prepared for the use of colleges and schools ... Jean Racine,Louis Fasquelle Affichage du livre entier - 1856 |
Expressions et termes fréquents
ABNER ACHILLE AGAMEMNON AMAN âme amour ANDROMAQUE arrêt ASSUÉRUS ATHALIE bras cacher Calchas cher chercher CHICANEAU CHŒUR ciel CLYTEMNESTRE cœur COMTESSE coup courroux cours craint cruel DANDIN demande devant Dieu dieux doit donne doute enfant enfin ennemis époux ÉRIPHILE Est-ce ESTHER fers fille fils funeste fureur garde gloire Grecs haine Hélas HERMIONE heureux IPHIGÉNIE ISABELLE j'ai JOAD JOAS joie JOSABET jour juge Juifs juste l'autel l'autre L'INTIMÉ laisse larmes LÉANDRE lévites lieux livre loin lui-même m'en madame mains malheureux MATHAN mère monsieur mort mortels n'en NOTES AND REFERENCES ORESTE parler passer pensée père PETIT JEAN peuple peut-être pieds pleurs porte premier presse prêt prêtres Pyrrhus qu'à qu'un regards reine rend rendre reste rien rois s'il saint sais sang SCÈNE secret seigneur sera seul soin songe sort souffrir temple Troie trouble Venez venger veut veux viens vient Voilà vois voix voulez voyez yeux
Fréquemment cités
Page 76 - Je passais jusqu'aux lieux où l'on garde mon fils. Puisqu'une fois le jour vous souffrez que je voie Le seul bien qui me reste et d'Hector et de Troie , J'allais , seigneur,, pleurer un moment avec lui.
Page 275 - J'aime à voir comme vous l'instruisez. Enfin, Éliacin, vous avez su me plaire. Vous n'êtes point sans doute* un enfant ordinaire. Vous voyez, je suis Reine, et n'ai point d'héritier. Laissez là cet habit, quittez ce vil métier. Je veux vous faire part de toutes mes richesses. Essayez dès ce jour l'effet de mes promesses.
Page 222 - Vivez : le sceptre d'or que vous tend cette main, Pour vous de ma clémence est un gage certain. Esther. Quelle voix salutaire ordonne que je vive, Et rappelle en mon sein mon âme fugitive ? Assuérus. Ne connaissez-vous pas la voix de votre époux ? Encore un coup vivez, et revenez à vous, Esther.
Page 266 - En achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser, Et moi je lui tendais les mains pour l'embrasser; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chair meurtris et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres affreux Que des chiens dévorants se disputaient entre eux.
Page 258 - Confonds dans ses conseils une reine cruelle. Daigne, daigne, mon Dieu, sur Mathan et sur elle Répandre cet esprit d'imprudence et d'erreur, De la chute des rois funeste avant-coureur!
Page 275 - Joad je reconnais l'esprit. Voilà comme, infectant cette simple jeunesse, Vous employez tous deux le calme où je vous laisse. Vous cultivez déjà leur haine et leur fureur; Vous ne leur prononcez mon nom qu'avec horreur.
Page 278 - Loin du monde élevé, de tous les dons des Cieux II est orné dès sa naissance; Et du méchant l'abord contagieux N'altère point son innocence.
Page 246 - I que son joug est aimable ! Heureux qui dès l'enfance en connaît la douceur ! Jeune peuple , courez à ce maître adorable : Les biens les plus charmants n'ont rien de comparable Aux torrents de plaisirs qu'il répand dans un cœur. Que le Seigneur est bon ! que son joug est aimable ! Heureux qui dès l'enfance en connaît la douceur ! UNE AUTRE.
Page 13 - Jamais, au grand jamais, elle ne me quitta, Et Dieu sait bien souvent ce Qu'elle en rapporta; Elle eût du buvetier emporté les serviettes, Plutôt que de rentrer au logis les mains nettes'.
Page 131 - Heureux qui, satisfait de son humble fortune, Libre du joug superbe où je suis attaché, Vit dans l'état obscur où les dieux l'ont caché ! ARCAS Et depuis quand, seigneur, tenez-vous ce langage?