Lycée: ou, Cours de littérature ancienne et moderneF. Didot, imprimeur du roi et de l'Institut, 1821 |
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... doute la date de ce Discours , où je n'ai rien changé ; et l'on avouera peut - être , avec les auditeurs du Lycée , qu'à cette époque personne n'a- vait parlé de la même manière . D'ailleurs , quel que soit le mérite de plusieurs écrits ...
... doute la date de ce Discours , où je n'ai rien changé ; et l'on avouera peut - être , avec les auditeurs du Lycée , qu'à cette époque personne n'a- vait parlé de la même manière . D'ailleurs , quel que soit le mérite de plusieurs écrits ...
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... doute de voir les satellites de la tyrannie présider aux exercices de l'esprit , en menacer la liberté , en comprimer l'essor , en dicter l'intention , en observer , avec l'œil affreux de l'inquisition , le plus léger mouvement vers l ...
... doute de voir les satellites de la tyrannie présider aux exercices de l'esprit , en menacer la liberté , en comprimer l'essor , en dicter l'intention , en observer , avec l'œil affreux de l'inquisition , le plus léger mouvement vers l ...
Page 30
... doute , ne sera pas perdue ( 1 ) ! Dans toutes les parties de la France , ce signal épouvantable fut répété depuis mille fois par jour ; et ce seul mot passé en loi ne laissait plus aucune barrière au crime , ni aucun refuge à l ...
... doute , ne sera pas perdue ( 1 ) ! Dans toutes les parties de la France , ce signal épouvantable fut répété depuis mille fois par jour ; et ce seul mot passé en loi ne laissait plus aucune barrière au crime , ni aucun refuge à l ...
Page 42
... doute , jamais pour des affections générales . Ce code est celui de la nature ; et s'il a été quelquefois violé , ce fut un de ces crimes commis par la vengeance personnelle , qui ne connaît point de lois , et ja- mais par des ...
... doute , jamais pour des affections générales . Ce code est celui de la nature ; et s'il a été quelquefois violé , ce fut un de ces crimes commis par la vengeance personnelle , qui ne connaît point de lois , et ja- mais par des ...
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... doute un sujet moderne n'admettait pas les fables de l'antiquité ; mais notre religion est très - sus- ceptible d'une espèce de merveilleux que Voltaire lui - même a jugé praticable , puisqu'il a essayé de le mettre en œuvre , et il n'a ...
... doute un sujet moderne n'admettait pas les fables de l'antiquité ; mais notre religion est très - sus- ceptible d'une espèce de merveilleux que Voltaire lui - même a jugé praticable , puisqu'il a essayé de le mettre en œuvre , et il n'a ...
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 317 - D'un tonnerre éloigné le bruit s'est fait entendre : Les flots en ont frémi, l'air en est ébranlé, Et le long du vallon le feuillage a tremblé. Les monts ont prolongé le lugubre murmure Dont le son lent et sourd attriste la nature.
Page 228 - Ceux qui de nos hivers redoutant le courroux, Vont se réfugier dans des climats plus doux , Ne laisseront jamais la saison rigoureuse Surprendre parmi nous leur troupe paresseuse. Dans un sage conseil, par les chefs assemblé, Du départ général le grand jour est réglé ; Il arrive , tout part : le plus jeune peut-être Demande , en regardant les lieux qui l'ont vu naître, Quand viendra ce printemps par qui tant d'exilés Dans les champs paternels se verront rappelés.
Page 177 - A cet air vénérable, à cet auguste aspect, Les meurtriers surpris sont saisis de respect; Une force inconnue a suspendu leur rage. « Compagnons, leur dit-il, achevez votre ouvrage, Et de mon sang glacé souillez ces cheveux blancs Que le sort des combats respecta quarante ans; Frappez, ne craignez rien : Coligny vous pardonne ; Ma vie est peu de chose, et je vous l'abandonne. J'eusse aimé mieux la perdre en combattant pour vous.
Page 101 - Elle aperçoit Henri, se détourne, et soupire. Auprès d'elle est l'orgueil, qui se plaît et s'admire, La faiblesse au teint pâle, aux regards abattus, Tyran qui cède au crime, et détruit les vertus ; L'ambition sanglante...
Page 149 - Avide de la gloire , il volait aux alarmes. Ce jour, sa jeune épouse, en accusant le ciel, En détestant la ligue et ce combat mortel, Arma son tendre amant, et d'une main tremblante Attacha tristement sa cuirasse pesante , Et couvrit, en pleurant, d'un casque précieux Ce front si plein de grâce et si cher à ses yeux.
Page 88 - Souffle à grand bruit leur ruine ; Et les bombes , dans les airs Allant chercher le tonnerre , Semblent, tombant sur la terre, Vouloir s'ouvrir les enfers.
Page 202 - Au pied du mont Adule, entre mille roseaux *, Le Rhin tranquille, et fier du progrès de ses eaux, Appuyé d'une main sur son urne penchante, Dormait au bruit flatteur de son onde naissante : Lorsqu'un cri, tout à coup suivi de mille cris, Vient d'un calme si doux retirer ses esprits.
Page 197 - Henri de l'amitié sentit les nobles flammes : Amitié, don du ciel, plaisir des grandes âmes, Amitié, que les rois, ces illustres ingrats, Sont assez malheureux pour ne connaître pas...
Page 124 - POLYEUCTE Je vous aime, Beaucoup moins que mon Dieu, mais bien plus que moi-même.
Page 239 - Eclaire tous les humains. Environné de lumière , Cet astre ouvre sa carrière Comme un époux glorieux Qui , dès l'aube matinale , De sa couche nuptiale Sort brillant et radieux. L'univers à sa présence Semble sortir du néant : II prend sa course , il s'avance Comme un superbe géant.