| Félicité Robert de Lamennais - 1821 - 442 pages
...s'écrie-t-il , il faut conclure et tenir » pour constant que cette proposition , je » suis , j'existe, est nécessairement vraie, » toutes les fois que je la prononce , ou que » je la conçois en mon esprit.1 » C'est déjà , certes , beaucoup, que de pouvoir prononcer avec assurance cette... | |
| Félicité Robert de Lamennais - 1821 - 418 pages
...s'écrie-t-il, il faut conclure et tenir » pour constant que cette proposition , je » suis t j'existe, est nécessairement vraie, » toutes les fois que je la prononce , ou que » je la conçois en mon esprit.1 » C'est déjà , certes , beaucoup, que.de pouvoir prononcer avec assurance cette... | |
| Félicité Robert de Lamennais - 1821 - 420 pages
...conclure et tenir » pour constant que cette proposition ,-je , » suis, j'existe, est necessairement vraie, » toutes les fois que je la prononce , ou que » je la conçois en mon esprit.1 » C'est déjà, certes , beaucoup, que de pouvoir prononcer avec assurance cette parole... | |
| René Descartes - 1824 - 524 pages
...choses , enfin il faut conclure et tenir pour constant que cette proposition, je suis, j'existe, est nécessairement vraie, toutes les fois que je la prononce ou que je la conçois en mon esprit. Mais je ne connois pas encore assez clairement quel je suis, moi qui suis certain que... | |
| 1824 - 558 pages
...de la sorte : Je suis ; je pense; je suis pendant que je pense. Cette proposition , j'existe , est nécessairement vraie, toutes les fois que je la prononce ou que je la conçois en mon esprit. Vous dites merveilles. Vous avez trouvé ce point fixe d'Archimède. Sans doute que... | |
| Abbé Flottes - 1824 - 150 pages
...Enfin , il faut conclure et tenir pour « constant que cette proposition , je suis , j'existe , « est nécessairement vraie , toutes les fois que je « la prononce, Ou que je la conçois en mon esprit. » Nous ferons observer qu'il existe . une lacune, entre ces deux passages de Descartes... | |
| René Descartes - 1824 - 588 pages
...philosopher de la sorte : Je suis ; je pense; je suis pendant que je pense. Cette proposition, j'existe, est nécessairement vraie, toutes les fois que je la prononce ou que je la conçois en mon esprit. Vous dites merveilles. Vous avez trouvé ce point fixe d'Archimède. Sans doute que... | |
| Louis Auguste Jean Francois Philippe Gruyer - 1832 - 424 pages
...choses, enfin il faut conclure et tenir pour constant que cette proposition, je suis, j'existe, est nécessairement vraie, toutes les fois que je la prononce ou que je la conçois en mon esprit. OBJECTION FAITE PAR GASSENDI. Je ne vois pas que vous ayez eu besoin d'un si grand appareil,... | |
| René Descartes - 1834 - 640 pages
...philosopher de la sorte : Je suis; je pense; je suis pendant que je pense. Cette proposition, j'existe, est nécessairement vraie, toutes les fois que je la prononce ou que je la conçois en mon esprit t. — Vous dites merveilles. Vous avez trouvé ce point fixe d'Archimède. Sans doute... | |
| René Descartes - 1834 - 620 pages
...philosopher de la sorte : Je suis; je pense; je suis pendant que je pense. Cette proposition, j'existe, est nécessairement vraie, toutes les fois que je la prononce ou que je la conçois en mon esprit '. — Vous dites merveilles. Vous avez trouvé ce poiut fixe d'Archimède. Sans doute... | |
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