Oeuvres completes de Voltaire...: Zulime. Le fanatisme, ou Mahomet le prophete. Merope. Semiramisla Société littéraire-typographique, 1784 |
Expressions et termes fréquents
affaffin affez affreux Affur ainfi amour ARZAC Atide auffi Azéma Bénaffar BENASSAR bras c'eft c'eſt cher ciel courroux crainte Crefphonte crime cruel d'horreur défenſe deffeins deftins dieu dieux efclave efprits eft-ce Egifthe époux eſt EURY CLES EURYCLES facré faibleffe fang fans doute fauver fcène fecret fein femble fens fentiment fervir feul foins foit foldats fon cœur fon fils font forfaits fous fouvent fuis fujet funefte fureur gloire Hélas hymen ISMENIE j'ai jufte juſtice l'amour laiffe Madame MAHO Mahomet mains maître malheureux Mecque Meffène MERO MERO PE Mérope MOHADIR monftre mort n'eft NARBA Ninias Ninus OMAR OROES OTANE paffer paffion PALMIRE peuple pleurs POLYPHONTE preffe puiffe punir raiſon RAMIR Ramire refpecte refte reine rois s'eft SCENE SEID Séide Seigneur SEMIRA MIS Sémiramis SERAM ſes ſon théâtre TIDE tragédie trifte trône tyran venger vois voix yeux ZEMA ZOPIR Zopire ZULI ZULIM
Fréquemment cités
Page 163 - Je suis ambitieux; tout homme l'est, sans doute; Mais jamais roi, pontife, ou chef, ou citoyen Ne conçut un projet aussi grand que le mien. Chaque peuple à son tour a brillé sur la terre, Par les lois, par les arts, et surtout par la guerre; Le temps de l'Arabie est à la fin venu.
Page 313 - II court : c'était Egisthe ; il s'élance aux autels ; II monte , il y saisit , d'une main assurée , Pour les fêtes des dieux la hache préparée. Les éclairs sont moins prompts : je l'ai vu de mes yeux , Je l'ai vu qui frappait ce monstre audacieux. « Meurs , tyran , disait-il : dieux , prenez vos victimes...
Page 150 - Ne sais-tu pas encore, homme faible et superbe, Que l'insecte insensible, enseveli sous l'herbe, Et l'aigle impérieux qui plane au haut du ciel, Rentrent dans le néant aux yeux de l'Éternel?
Page 314 - Entre elle et ces soldats vole et se précipite. Vous eussiez vu soudain les autels renversés, Dans des ruisseaux de sang leurs débris dispersés : Les...
Page 265 - Jeux cruels du hasard, en qui me montrez-vous Une si fausse image, et des rapports si doux ? Affreux ressouvenir, quel vain songe m'abuse ! EURYCLÈS. Rejetez donc, madame, un soupçon qui l'accuse; II n'a rien d'un barbare, et rien d'un imposteur.