Institutions physiques, Volume 1aux depens de la compagnie, 1742 - 542 pages |
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Institutions physiques marquise Gabrielle Emilie Le Tonnelier de Breteuil Du Châtelet Affichage du livre entier - 1742 |
Institutions physiques Gabrielle-Emilie Le Tonnelier de Breteuil Du Châtelet Affichage du livre entier - 1742 |
Expressions et termes fréquents
abfolu aifé ainfi aquife arcs auffi auroit avoit boule c'eft c'eſt caufe cauſe chofes chute des corps cicloïde compofé conféquent confidère corps B corps eft corpufcules déterminations différentes diftincte efpaces eft impoffible Elémens eſt étoient étoit Etres fimples éxifte expériences fans fe meut fe trouve feconde felon fenfible fens fent feroit feule foient foit fon mouvement font force d'inertie force des corps force motrice forces vives fouvent fucceffivement fuite fuiv fuppofé fuppofition Galilée Géométrie gravité Huyghens hypothèſes ibid infiniment inftant l'attraction l'effence l'efpace l'étendue l'éxiftence l'Horifon Leibnits ligne loix longueur lorfque maffe méchaniques ment mouvement uniforme n'eft néceffaire Newton obftacles ofcillations paffer parcourir péfanteur Pendule perpendiculaire Phénomènes Philofophes Phyfique plan B plan incliné Planètes plufieurs pofé poffible pourroit préfent preffion prémier principe puiffance puiffe puifque quarré raifon fuffifante reffort réfiftance refte rélatif teffe tems égal terre tion tombant vement viteffe viteſſe vuide
Fréquemment cités
Page 2 - ... avancé, de regretter leur jeunesse, qui est le seul temps où l'on puisse véritablement s'instruire; vous êtes, mon cher fils, dans cet âge heureux où l'esprit commence à penser, et dans lequel le cœur n'a pas encore des passions vives pour le troubler. C'est peutêtre à présent le seul temps de votre vie que vous pourrez donner à l'étude de la nature ; bientôt les passions et les plaisirs de votre âge emporteront tous vos moments, et lorsque cette fougue de la jeunesse sera passée,...
Page 19 - Si que nous ne pouvons pas ne pas avoir une idée pendant que nous l'avons , ni voir un corps blanc comme s'il étoit noir pendant que nous le voyons blanc. Les...
Page 457 - Leipsig, 1686, p. 161). Elle termine ainsi : « Je me flatte que M. de Mairan regardera les remarques que je viens de faire comme une preuve du cas que je fais de cet ouvrage; j'avoue qu'il a dit tout ce que l'on pouvait dire en faveur d'une mauvaise cause. » P. 433. 2. Lettre 81, p. 185. 3. Lettre à madame *** sur la question des forces vives, en réponse aux objections qu'elle lui fait sur ce sujet dans ses Institutions de physique, suivi...
Page 30 - ... fuffifante pourquoi l'une de ces particules feroit placée dans la Lune, par exemple , & l'autre fur la Terre , puifqu'en les changeant & mettant celle qui eft dans la Lune fur la Terre, & celle qui eft fur la Terre dans la Lune , toutes chofes...
Page 559 - ... pourquoi l'une de ces particules feroit placée dans la Lune, par exemple , & l'autre fur la Terre , puifqu'en les changeant & mettant celle qui eft dans la Lune fur la Terre, & celle qui eft fur la Terre dans la Lune , toutes chofes demeureraient les mêmes. On eft donc obligé de reconnoître que les moindres parties de matière font difcernables , que chacune eft infiniment différente de toute autre, & qu'elle ne pourrait être employée dans une autre place que celle qu'elle occupe, fans...
Page 56 - ... attribut de la Divinité. Mais notre impuissance sur cela ne peut nous faire douter que l'intelligence suprême n'ait choisi le meilleur des mondes pour lui donner l'existence ; car l'être nécessaire qui se suffit à lui-même et qui n'a besoin d'aucune chose hors de lui, n'a pu se proposer d'autres fins dans la création de cet univers , que de communiquer une...
Page 10 - ... s(ecours de faire bien du chemin, mais nous ne pouvons manquer de tomber, si nous cessons de nous en servir ; c'est à l'expérience à nous faire connaître les qualités physiques et c'est à notre raison à en faire usage et à en tirer de nouvelles connaissances et de nouvelles lumières.
Page 269 - Les corps petans avoient félon lui , un appétit pour arriver au centre de la terre qu'il croyoit être celui de l'univers ; & les corps •légers avoient un appétit tout contraire qui les éloignoir de ce centre, & qui les portoit en haut. Mais .on reconnut bientôt combien ces appétits des corps étoient chimériques. Galilée qui nous a donné les véritables lois de la pefanteur , combattit d'abord...
Page 288 - Galilée. 4°. Que quelque changement qui arrive à un corps par rapport à fa forme , fon poids dans le vide refte toujours le même , fi la made n'eft point changée.
Page 248 - ... a le plus de mouvement ; car le mouvement imprimé à un corps quelconque, peut être conçu divifé en autant de parties que ce corps contient de parties de matière propre , & la force motrice appartient à chacune de ces parties, qui participent également au mouvement de ce corps en railbn directe de leur grandeur.