Les quatre époquesMichel Lévy frères, 1859 - 299 pages |
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Expressions et termes fréquents
allait Ambigat amour arriver Asclyte assez Atax avaient Bébrix Bibulus bientôt c'était camp Carrin Celtes celui-ci Cépion Césonie char chef chose Chrysis Cilo cirque Cnéius cœur colère courage d'Ambigat d'Elomare décurion demander demeure devant dieu dieux Dionée dire doute druides écoutait Elomare enfants ennemis esclave espérance Eumolpe eût Faustus femme forêt Fortunata frapper fût Gaule Gaulois gladiateur Gnaton guerriers j'ai jeta jeune fille jeune homme l'assemblée l'avait l'esclave Laërte laissé Lentulus licteur magistrats main maison Manobal ment mère Métellus misérable molpe mort n'avait n'était nation Naumès Néron Nîmes noble Pannychis parler paroles passer patriciens pensée père peuple peut-être place du Capitole poëte porte prêtres Psyché regard répliqua répondit reprit Romains Rome Ruscin s'écria s'était sacré sais Saron Saturnin secret semblait sentiment serait seul Sigor Silanus silence Silia sœur soldats sortir Tectosages temple Teutatès tion Toulouse trouvé Valla venait veux veux-tu vieillard Vindex visage voix voulait yeux
Fréquemment cités
Page 188 - Curion le père , dans un de ses discours, l'appelle « le mari « de toutes les femmes, et la femme de tous les maris.
Page 144 - Quand l'un d'eux nous arrive, il apporte avec lui les talents et les vices de tous les autres hommes : il est grammairien, rhéteur, géomètre, peintre, baigneur, augure, danseur de corde, médecin et magicien. Que n'est-il point?
Page 130 - ... reflux, mais avec tant d'impétuosité, que les pêcheurs ne peuvent alors tendre leurs filets sans s'exposer à les voir rompre par la seule force de ces poissons, quand celle des flots de la mer ne leur serait pas contraire.
Page 130 - ... sur le rivage : Simon, Simon. A cette voix que les dauphins entendent, à la faveur du vent du nord qui la porte vers eux, ils s'approchent aussitôt et viennent au secours. On les voit venir comme une armée, et se ranger dans l'endroit où doit se faire la pêche.
Page 130 - ... sorte que les mulets, qui aiment naturellement à sauter, n'osent plus faire aucun mouvement, à moins qu'on ne leur jette les filets; s'ils viennent à s'échapper, ils sont aussitôt pris par les dauphins qui les attendent devant la barrière. La pêche...
Page 130 - ... à sauter, n'osent plus faire aucun mouvement, à moins qu'on ne leur jette les « filets ; s'ils viennent à s'échapper, ils sont aussitôt pris par les dauphins qui les <• attendent devant la barrière. La pêche finie, ceux-ci prennent...
Page 130 - La pêche finie , ceux-ci prennent et man» gent une partie des poissons qu'ils ont tuez, » et réservent l'autre pour le lendemain ; » sentant fort bien que la part qu'ils ont eue » à la pêche, mérite quelque chose de plus » que la récompense d'un jour. Aussi les » pécheurs, outre ces poissons qu'ils leur » abandonnent , ont soin de leur jetter une » pâte composée avec du pain et du vin dont
Page 206 - On voyait des pois sur le bélier, un jarret de bœuf sur le taureau, des rognons sur les gémeaux, une couronne sur l'écrevisse, des figues d'Afrique sur le lion, la fressure d'une génisse sur la...
Page 130 - Cependant l'action s'anime, et les dauphins, qui combattent avec ardeur, prennent plaisir à voir renfermer les mulets dans les filets, et pour les empêcher de prendre la fuite, ils se glissent insensiblement et avec tant...
Page 17 - ... vivre avec eux dans un autre séjour. On envoyait aux défunts, par la voie des flammes, les créances qu'ils pouvaient avoir.