Lettres, instructions et mémoires de Colbert, Volume 6

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Imprimerie impériale, 1869
 

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Fréquemment cités

Page 59 - Providence; et c'est pour lui rendre les actions de grâces qui lui en sont dues que je vous fais cette lettre, pour vous...
Page lxiii - Tantôt plus, tantôt moins : le mal est que toujours (Et sans cela nos gains seraient assez honnêtes), Le mal est que dans l'an s'entremêlent des jours Qu'il faut chômer ; on nous ruine en fêtes ; L'une fait tort à l'autre ; et monsieur le curé De quelque nouveau saint charge toujours son prône.
Page 49 - J'ai été long" temps sans répondre à la lettre que vous avez pris la peine » de m'écrire le 8 du mois passé, parce que le Roi ne « m'a pas expliqué plus tôt ses intentions.
Page lxxv - Eglises au droit de régale, mais encore lui déclare qu'il se servira de son autorité, si elle ne se soumet aux remontrances paternelles qu'il lui a faites et réitérées sur ce sujet Nous avons cru, Sire, qu'il était de notre devoir de ne pas garder le silence dans une occasion...
Page 330 - Montespan me mande que vous vous acquittez fort bien de ce que je vous ai ordonné, et que vous lui demandez toujours si elle veut quelque chose; continuez aie faire toujours.
Page 274 - ... nous vous faisons cette lettre par laquelle nous vous mandons et ordonnons...
Page lxxv - ... comme on a fait, en d'autres rencontres, les princes qui ont usurpé ses droits. Nous regardons avec douleur cette procédure extraordinaire qui, bien loin de soutenir l'honneur de la religion et la gloire du Saint-Siège, serait capable de les diminuer et de produire de très mauvais effets.
Page 178 - ... avec douceur les esprits de ceux de ladite religion et de ne vous servir que de la force des raisons pour les ramener à la...
Page xci - ... obtenu de mes prédécesseurs, mais de ne leur rien accorder au delà, et d'en renfermer même l'exécution dans les plus étroites bornes que la justice et la bienséance le...
Page lxiii - Vous devez donc premièrement être persuadé, que les rois sont seigneurs absolus, et ont naturellement la disposition pleine et libre de tous les biens qui sont possédés, aussi -bien par les gens d'église que par les séculiers , pour en user en tout temps comme de sages économes , c'est-à-dire suivant le besoin général de leur Etat.

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