Œuvres de Monsieur de Montesquieu: De l'esprit des loix. Livre XXII-XXXI. Défense de l'Esprit des loix. Remerciment sincère à un homme charitable, attribué à Monsieur de Voltaire. Lysimaque. Table des matlères contenues dans l'Esprit des loix, et dans la DéfenseChez Nourse, 1772 |
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Œuvres de Monsieur de Montesquieu,.: De l'Esprit des loix. Livre XXII-XXXI ... Charles de Secondat baron de Montesquieu Affichage du livre entier - 1767 |
Œuvres de Monsieur de Montesquieu: De l'esprit des loix. Livre XXII-XXXI ... Charles de Secondat baron de Montesquieu Affichage du livre entier - 1772 |
De l'Esprit des loix. Livre XXII-XXXI. Défense de l'Esprit des loix ... Charles de Secondat baron de Montesquieu Affichage du livre entier - 1767 |
Expressions et termes fréquents
affez ainfi alleu auffi auroit avoient Baluze Barbares Beaumanoir befoin Bourguignons c'eft c'eſt c'étoit capitulaire caufe ceffe chap CHAPITRE Charlemagne Charles le chauve Charles Martel chofes citoyens clergé Clotaire code combat judiciaire compofition comte conféquences conferver conftitution crime defpotique devoit difpofitions doit eccléfiaftiques efprit églifes enfans eſt état étoient étoit faifoit faint faint Louis fans fauffer feigneur femmes fent ferfs feroit fervir feulement fiefs fociété foit font fource fous fouvent fubfifta fucceffion fuffent fuiv fuivre fujet Gondebaud gouvernement Grégoire de Tours hommes libres ibid juftice jugement l'abbé Dubos l'auteur l'efprit l'ufage laiffe leudes loi des Lombards loi falique loix civiles loix Romaines Lombards lorfque Louis le débonnaire maniere mariage monarchie monnoie n'eft n'étoient nation néceffaire nobleffe paffer parens particuliere pays Pépin perfonne peuples plufieurs politique pouvoient pouvoit prefque premiere prince puiffance raifon république Ripuaires rois Rome tion ufage vaffaux Voyez Wifigoths
Fréquemment cités
Page 456 - On vient nous mettre un béguin sur la tête, pour nous dire à chaque mot : prenez garde de tomber ; vous voulez parler comme vous, je veux que vous parliez comme moi. Va-t-on prendre l'essor? ils vous arrêtent par la manche. At-on de la force et de la vie ? on vous l'ôte à coups d'épingle. Vous élevez-vous un peu ? voilà des gens qui prennent leur pied , ou leur toise , lèvent la tête , et vous crient de descendre pour vous mesurer.
Page 101 - Une religion chargée de beaucoup de pratiques' attache plus à elle qu'une autre qui l'est moins; on tient beaucoup aux choses dont on est continuellement occupé : témoin l'obstination tenace des mahométans...
Page 113 - Mais il faut avouer que vous êtes bien plus cruels que cet empereur. Vous nous faites mourir, nous qui ne croyons que ce que vous croyez, parce que nous ne croyons pas tout ce que vous croyez. Nous suivons une religion que vous...
Page 78 - Pendant que les princes mahométans donnent sans cesse la mort ou la reçoivent, la religion, chez les chrétiens, rend les princes moins timides, et par conséquent moins cruels. Le prince compte sur ses sujets, et les sujets sur le prince.
Page 368 - Son génie se répandit sur toutes les parties de l'empire. On voit dans les lois de ce prince un esprit de prévoyance qui comprend tout, et une certaine force...
Page 436 - C'est une règle tirée de la nature que , plus on diminue le nombre des mariages qui pourraient se faire , plus on corrompt ceux qui sont faits : moins il ya de gens mariés , moins il ya de fidélité dans les mariages : comme , lorsqu'il ya plus de voleurs , il ya plus de vols.
Page 456 - Avez-vous les meilleures intentions du monde, on vous forcera vous-même d'en douter. Vous ne pouvez plus être occupé à bien dire...
Page 81 - Les principes du christianisme, bien gravés dans le cœur, seraient infiniment plus forts que- ce faux honneur des monarchies, ces vertus humaines des républiques, et cette crainte servile des états despotiques.
Page 404 - Ceux qui ont dit qu'une fatalité aveugle a produit tous les effets que nous voyons dans le monde, ont dit une grande absurdité; car quelle plus grande absurdité qu'une fatalité aveugle qui aurait produit des êtres intelligents?
Page 320 - Cet ouvrage a séduit beaucoup de gens , parce qu'il est écrit avec beaucoup d'art; parce qu'on y suppose éternellement ce qui est en question ; parce que plus on y manque de preuves, plus on y multiplie les probabilités; parce qu'une infinité de conjectures sont mises en principe , et qu'on en tire comme conséquences d'autres conjectures : le lecteur oublie qu'il a douté pour commencer à croire.