Lettres cabalistiques, ou, Correspondance philosophique, historique & critique, entre deux cabalistes, divers esprits élémentaires, & le seigneur Astaroth, Volume 4 |
Avis des internautes - Rédiger un commentaire
Aucun commentaire n'a été trouvé aux emplacements habituels.
Autres éditions - Tout afficher
Lettres Cabalistiques, Ou, Correspondance Philosophique ..., Volume 1 Jean-Baptiste de Boyer Argens (marquis d') Affichage du livre entier - 1754 |
Lettres cabalistiques, ou, Correspondance philosophique ..., Volume 3 Jean-Baptiste de Boyer Argens (marquis d') Affichage du livre entier - 1754 |
Lettres cabalistiques, ou, Correspondance philosophique ..., Volume 5 Jean-Baptiste de Boyer Argens (marquis d') Affichage du livre entier - 1754 |
Expressions et termes fréquents
Abukibak ainſi anciens aufli auſſi Auteur Avocats avoient avoit belle c'eſt cauſe cher choſes commun corps Cour d'être défauts Dieu dire doit donner doute écrit Ecrivains également enfin entierement Eſprits eſt eſt vrai étoient étoit fage & favant fans favant Abukibak femme folie fond font force fort fortement François gens goût Grecs hommes humain idées j'ai jours jugement Kiber l'Auteur l'eſprit Lettres Livre loin maniere mémoire ment Monde mort mots moyen n'en n'eſt n'ont Nature naturelle nombre Ouvrages parfaite parler peine pendant Pere Pere Hardouin perſonne peuple peut-être peuvent Philoſophes pluſieurs Poëte porte pouvoir pré premier preſque Prince qu'à qu'un quæ quam quod raiſon regarde rien s'il ſage ſans ſavant Sciences ſens ſes ſoit ſon ſont ſouvent ſuis ſur tems terre teur tion traits trouve vérité Voilà
Fréquemment cités
Page 273 - Sa voix redoutable Trouble les enfers; Un bruit formidable Gronde dans les airs; Un voile effroyable Couvre l'univers; La terre tremblante Frémit de terreur; L'onde turbulente Mugit de fureur ; La lune sanglante Recule d'horreur.
Page 274 - Inutiles efforts ! amante infortunée, D'un dieu plus fort que toi dépend ta destinée. Tu peux faire trembler la terre sous tes pas, Des enfers déchaînés allumer la colère; Mais tes fureurs ne feront pas Ce que tes attraits n'ont pu faire.
Page 106 - Le fond du fiftéme dont il s'agiflbit eft que l'ame humaine de JC eft la caufe occafionnelle de la diftribution de la Grace par le choix qu'elle fait de certaines perfonnes pour demander à Dieu qu'il la leur envoye, & que comme cette Ame , toute parfaite qu'elle eft, eft finie, il ne fe peut que l'Ordre de la Grace n'ait fes défectuofitès, auffi-bien que celui de la Nature.
Page 7 - Ce fat m£me pour conferver cette coutume, que s'étant mis autrefois à la folde des Carthaginois, ils ne voulurent point rapporter leur paye dans leur patrie ; mais ils l'employerent toute entiere à acheter des femmes &: du vin qu'ils amenerent avec eux.
Page 208 - Comme l'on voit les flots , soulevés par l'orage , Fondre sur un vaisseau qui s'oppose à leur rage; Le vent avec fureur dans les voiles frémit ; La mer blanchit d'écume , et l'air au loin gémit : Le matelot troublé, que son art abandonne, Croit voir dans chaque flot la mort qui l'environne.
Page 136 - Outre' l'inconvénient naturel que „ j'en foufFre » ( car certes vu fa nécef„ fité, Platon a raifon de la nommer „ une grande &puiflante Déefle ), fi ,, en mon pays on veut dire qu'un „ homme n'a point de fens, ils difent „ qu'il n'a point de mémoire : & quand...
Page 207 - S'en vont loin de la Terre habiter fur les eaux ; Et fuivant fur la mer une route incertaine , Courent chercher bien loin le travail & la peint.
Page 53 - Qui marchent tiir la terre , ou nagent dans la mer; De Paris au Pérou , du Japon jufqu'à Rome , Le plus fot animal ., à mon avis , c'eft l'Homme.
Page 4 - Ce bizarre exercice leur coûta cher un jour de bataille , par le ftratagême du Général de l'armée ennemie, înftruit de leur coutume pour avoir long-temps féjourné parmi eux.
Page 37 - aprennent, que toutes les penfées des phi„ lofophes font des folies: on ne fauroit trop ,, conftater cette vérité par les effets & par „ les raifons, dans la crainte que quelqu'un „ trompé, & feduit par le nom brillant de la „ fagelfe, & égaré par l'éclat d'une éloquen„ ce flateufe, ne préfère les opinions qu'on „ apuie fur l'autorité de la raifon & de la „ lumière naturelle, à celles qui n'ont d'autre