Esprit des lois, Volume 3par la Compagnie, 1758 |
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Esprit des lois, Volume 3 Charles Louis de Secondat “de” Montesquieu,Charles de Secondat baron de Montesquieu Affichage du livre entier - 1758 |
Esprit des lois, Volume 3 Charles Louis de Secondat “de” Montesquieu,Charles de Secondat baron de Montesquieu Affichage du livre entier - 1758 |
De l'esprit des loix: ou Du rapport que les loix doivent avoir ..., Volume 3 Charles de Secondat baron de Montesquieu Affichage du livre entier - 1750 |
Expressions et termes fréquents
ainfi ajoûtés Alleu appelloit article auffi auroit avoient Baluze Beaumanoir Bourguignons c'eft c'eſt c'étoit Capitulaire de l'an caufe ceffe chap Charlemagne Charles le Chauve chofes Clergé Clotaire Code Combat judiciaire Compofition Comte conferver Conftitution Coûtumes crime Défontaines Defpotique devoit difpofitions Eccléfiaftiques efprit Eglifes enfans eſt établi Etabliffemens Etat étoient étoit Evêques faifoit falloit fans fauffer feconde Race fervir feulement Fiefs foit font fous fucceffion fuffent fuiv fujet fur l'an Gondebaud Gouvernement Grégoire de Tours hommes libres ibid Ibidem Juftice Jugement l'Abbé du Bos l'ufage Leudes Loi des Lombards Loi Romaine Loi Salique Loix civiles Loix des Barbares lorfque Louis le Débonnaire Louis le Germanique Maires maniere Monarchie n'avoit n'eft n'étoient Nation néceffaire Nobleffe parens paroît particulieres Pepin perfonne Peuples plufieurs pouvoient pouvoit Prince puiffance puni raifon Religion Ripuaires Rois Rome Saint Louis Seigneur Serfs tion ufage Vaffaux Voyez auffi Wifigoths
Fréquemment cités
Page 36 - La loi naturelle ordonne aux pères de nourrir leurs enfants , mais elle n'oblige pas de les faire héritiers. Le partage des biens, les lois sur ce partage, les successions après la mort de celui qui a • eu ce partage ; tout cela ne peut avoir été réglé que par la société , et par conséquent par des lois politiques ou civiles.
Page 21 - Mais il faut avouer que vous êtes bien plus cruels que cet empereur. Vous nous faites mourir, nous qui ne croyons que ce que vous croyez, parce que nous ne croyons pas tout ce que vous croyez. Nous suivons une religion que vous...
Page 17 - Voici donc le principe fondamental des lois politiques en fait de religion. Quand on est maître de recevoir dans un état une nouvelle religion , ou de ne la pas recevoir , il ne faut pas l'y établir; quand elle y est établie , il faut la tolérer.
Page 246 - C'est un beau spectacle que celui des lois féodales. Un chêne antique s'élève ' ; l'œil en voit de loin les feuillages : il approche ; il en voit la tige , mais il n'en aperçoit point les racines : il faut percer la terre pour les trouver.
Page 23 - Si le Ciel vous a assez aimés pour vous faire voir la vérité, il vous a fait une grande grâce; mais est-ce aux enfants qui ont eu l'héritage de leur père, de haïr ceux qui ne l'ont...
Page 389 - Charlemagne songea à tenir le pouvoir de la noblesse dans ses limites, et à empêcher l'oppression du clergé et des hommes libres. Il mit un tel tempérament dans les ordres de l'État, qu'ils furent contre-balancés, et qu'il resta le maître. Tout fut uni par la force de son génie. Il mena continuellement la noblesse d'expédition en expédition; il ne lui laissa pas le temps de former des desseins, et l'occupa tout entière à suivre les siens.
Page 92 - C'est un caractère particulier de ces lois des Barbares , qu'elles ne furent point attachées à un certain territoire : Le Franc était jugé par la loi des Francs , l'Allemand par la loi des Allemands, le Bourguignon par la loi des Bourguignons, le Romain par la loi romaine; et, bien loin qu'on songeât dans ces temps-là à rendre uniformes les lois des peuples...