| Madame Roland - 1864 - 470 pages
...te restera , et je sens, je puis me dire aux portes mêmes du tombeau, que c'est un riche héritage. Et toi que je n'ose nommer! toi que l'on connaîtra mieux un jour en plaignant nos communs malheurs, toi que la plus terrible des passions n'empêche pas de respecter les barrières de la vertu, t' affligerais-tu... | |
| Madame Roland - 1864 - 370 pages
...te restera ; et je sens, je puis le dire aux portes mêmes du tombeau, que c'est un riche héritage. Et toi que je n'ose nommer ! — Toi que l'on connaîtra mieux un jour, en plaignant nos communs malheurs ; toi que la plus terrible des passions n'empêcha pas de respecter les barrières de la vertu, t'affligerais-tu... | |
| 1864 - 820 pages
...mari « homme respectable, » à sa fille, «jeune plante arrachée du sein natal ;« et s' écrie: «Et toi que je n'ose nommer! « toi que l'on connaîtra mieux un jour en plaignant nos communs mal« heurs, toi que la plus terrible des passions n'empêche pasderes« pecter les barrières de la... | |
| Gustave Gouellain, Jean Benoît Désiré Cochet - 1864 - 940 pages
...lesquels elle avoue, elle proclame sa passion, mais sans nommer le proscrit qui en était l'objet. « Toi que je n'ose nommer! toi que l'on connaîtra mieux un jour en « plaignant nos communs malheurs, toi que la plus terrible des passions « n'ernpéche pas de respecter les barrières de la vertu, t'affligerois-tu... | |
| Charles de Mazade-Percin - 1866 - 304 pages
...autres girondins. Qu'elle raconte les scènes de sa jeunesse, la mort de sa mère, dont le soin cuir lui arrache des larmes, elle s'interrompt tout à...d'un sentiment unique. Il ya une sorte d'accent de vo upté étrange et àmcre dans ce cri de délivrance d'une femme qui se sent presque heureuse et... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1867 - 522 pages
...à son mari , à sa fille, elle continuait ainsi, à l'adresse de Buzot fugitif et persécuté : « Et toi que je n'ose nommer! toi que l'on connaîtra mieux un jour en plaignant nos communs malheurs, toi que la plus terrible des passions n'empêche pas de respecter les barrières de la vertu, t'afïligerais-tu... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1867 - 514 pages
...à son mari , à sa fille, elle continuait ainsi, à l'adresse de Buzot fugitif et persécuté : « Et toi que je n'ose nommer! toi que l'on connaîtra mieux un jour on plaignant nos communs malheurs, toi que la plus terrible des passions n'empêche pas de respecter... | |
| Louis Combes - 1877 - 336 pages
...amis, dans un moment oit, à la manière des anciens, elle avait résolu de se donner la mort : « Et toi, que je n'ose nommer! toi que l'on connaîtra mieux un jour en plaignant nos communs malheurs, toi que la plus terrible des passions n'empêcha pas de respecter les barrières de la vertu, t'affligeras-tu... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1885 - 516 pages
...à son mari, à sa fille, elle continuait ain- , à l'adresse de Buzot fugitif et persécuté : « Et toi que je n'ose nommer! toi que l'on connaîtra mieux un jour en plaignant nos communs malheurs, toi que la plus terrible des passions n'empêche pas de respecter les barrières de Ja vertu, t'affligerais-tu... | |
| Jacques Hérissay - 1907 - 470 pages
...précédent '8 novembre 1793), et que le dernier souvenir de la condamnée s'est porté vers lui : « 0 toi, que je n'ose nommer ! toi que l'on connaîtra mieux un jour en plaignant nos communs malheurs, toi que la plus terrible des passions n'empêcha pas de respecter les barrières de la vertu, lu t'affligerais... | |
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