Schults-ZL. Hachette et cie., 1852 |
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... mort en 1805 , professeur de mathématiques à l'université de Koenigsberg , se montra un des premiers partisans de Kant . Voici les titres de ses ouvrages philosophiques : Considérations sur l'espace vide , in - 8 ° , Koenigsberg , 1758 ...
... mort en 1805 , professeur de mathématiques à l'université de Koenigsberg , se montra un des premiers partisans de Kant . Voici les titres de ses ouvrages philosophiques : Considérations sur l'espace vide , in - 8 ° , Koenigsberg , 1758 ...
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... mort en 1832 à Halle , après avoir longtemps professé dans cette ville la litté- rature et la philosophie , a laissé plusieurs écrits philosophiques , in- spirés par la doctrine de Leibnitz , puis par celle de Kant . Nous nous ...
... mort en 1832 à Halle , après avoir longtemps professé dans cette ville la litté- rature et la philosophie , a laissé plusieurs écrits philosophiques , in- spirés par la doctrine de Leibnitz , puis par celle de Kant . Nous nous ...
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... mort à Heidelberg en 1837 , après avoir exercé , en plusieurs villes de l'Allemagne , diverses fonctions ecclésiastiques et universitaires , est un théologien attaché à la philosophie de Kant . Outre quelques écrits théo- logiques , il ...
... mort à Heidelberg en 1837 , après avoir exercé , en plusieurs villes de l'Allemagne , diverses fonctions ecclésiastiques et universitaires , est un théologien attaché à la philosophie de Kant . Outre quelques écrits théo- logiques , il ...
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... mort de ce pontife . Michel Scot a traduit , d'arabe en latin , plusieurs traités d'Aristote , avec les commentaires d'Averrhoès . On compte , en outre , parmi ses œu- divers ouvrages d'astronomie et d'alchimie qui sont , pour la ...
... mort de ce pontife . Michel Scot a traduit , d'arabe en latin , plusieurs traités d'Aristote , avec les commentaires d'Averrhoès . On compte , en outre , parmi ses œu- divers ouvrages d'astronomie et d'alchimie qui sont , pour la ...
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... mort ; » quand il définit la foi « la certitude de l'inconnu . » Très - mal marié , à ce que nous apprennent ses biographes , il s'en prend au sexe tout entier et appelle la femme « un mal nécessaire . » Nous pouvons nous convaincre par ...
... mort ; » quand il définit la foi « la certitude de l'inconnu . » Très - mal marié , à ce que nous apprennent ses biographes , il s'en prend au sexe tout entier et appelle la femme « un mal nécessaire . » Nous pouvons nous convaincre par ...
Expressions et termes fréquents
absolue Ænésidème âme Aristote attributs c'est-à-dire cause choses connaissance conscience conséquent considérée corps d'Aristote démontrer Descartes développement Dieu différents Diogène Diogène Laërce disciple distinction divine doctrine écoles écrits effet enfin esprit essence facultés forme général grec hommes idées infinie Kant l'âme l'école l'esprit humain l'essence l'être l'existence l'homme l'idée l'infini l'intelligence l'unité l'univers langue Leibnitz liberté logique lois lui-même madame de Staël maître mathématiques matière ment métaphysique méthode Michel Servet monde morale mouvement nature naturelle nécessaire non-seulement notion objets organes ouvrages panthéisme Parménide particulier passions pensée phénomènes philo philosophie physique Platon politique premier principe propositions propre Protagoras qu'un question raison rapport religion reste rien saint Thomas scepticisme science scolastique Sénèque sens commun sensation sensibilité sentiment Servet seul Sextus Sextus Empiricus siècle Socrate sophistes sorte spéculations Speusippe Spinoza stoïciens Straton sublime substance surtout syllogisme système théologie Théophraste théorie tion traité Turgot universelle vérité volonté vrai Wolf Xénophon Zénon
Fréquemment cités
Page 587 - Les voilà donc ces idées ou notions générales que je ne puis ni contredire ni examiner, suivant lesquelles, au contraire, j'examine et je décide tout, en sorte que je ris au lieu de répondre, toutes les fois qu'on me propose ce qui est clairement opposé à ce que ces idées immuables me représentent.
Page 978 - Ils ont adoré tous un maître, un juge, un père. Ce système sublime à l'homme est nécessaire. C'est le sacré lien de la société, Le premier fondement de la sainte équité , Le frein du scélérat, l'espérance du juste. Si les cieux, dépouillés de son empreinte auguste, Pouvaient cesser jamais de le manifester, Si Dieu n'existait pas, il faudrait l'inventer.
Page 742 - J'entends par substance ce qui est en soi et est conçu par soi : c'est-à-dire ce dont le concept n'a pas besoin du concept d'une autre chose, duquel il doive être formé.
Page 978 - Daignez, au nom de l'humanité, penser que nous avons quelque liberté; car si vous croyez que nous sommes de pures machines, que deviendra l'amitié dont vous faites vos délices ? de quel prix seront les grandes actions que vous ferez...
Page 925 - Il doit prouver au monde par le fait que les hommes peuvent être libres et tranquilles, et peuvent se passer des chaînes de toute espèce que les tyrans et les charlatans de toute robe ont prétendu leur imposer sous le prétexte du bien public. Il doit donner l'exemple de la liberté politique, de la liberté religieuse, de la liberté du commerce et de l'industrie.
Page 921 - La cause du mal, Sire, vient de ce que Votre nation n'a point de constitution. C'est une société composée de différents ordres mal unis, et d'un peuple dont les membres n'ont entre eux que très peu de liens sociaux...
Page 976 - La notion de quelque chose de juste me semble si naturelle, si universellement acquise par tous les hommes, qu'elle est indépendante de toute loi, de tout pacte, de toute religion.
Page 648 - Quant à moi, effrayé des difficultés qui se multiplient, et convaincu de l'impossibilité presque démontrée que les langues aient pu naître et s'établir par des moyens purement humains, je laisse à qui voudra l'entreprendre la discussion de ce difficile problème, lequel a été le plus nécessaire de la société déjà liée à l'institution des langues, ou des langues déjà inventées à l'établissement de la société.
Page 949 - ... l'alliance de tous les êtres. De là l'unité et l'harmonie dans l'univers. Cependant cette loi de la nature si féconde, nous trouvons que c'est un vice dans l'homme. Et parce qu'il est obligé d'y obéir, ne pouvant subsister dans le repos, nous concluons qu'il est hors de sa place.
Page 739 - Mais la pensée n'est pas l'étendue, qui est aussi une manifestation de l'être, et, par conséquent, un attribut de la Substance. De même , l'étendue n'est pas la pensée. La pensée et l'étendue sont donc infinies, mais d'une infinité relative, parfaites, mais d'une perfection déterminée ; elles sont donc, pour ainsi parler, parfaites et infinies d'une perfection imparfaite et d'une infinité finie. La Substance seule est l'infini en soi , le parfait en soi, l'être plein et absolu Or, il...