(666 p.)

Couverture
Libr. de Guillaumin et Cie., 1867

À l'intérieur du livre

Table des matières

tête du genre humain quelle que puisse être son infériorité réelle
46
treintes dérivent du même principe que lesclavage et tendent aux mêmes
52
traîne dautres sur les attributs de lintelligence divine Page 57
57
minante du problème de nos destinées Page
58
laborieuse que nous avons reçue et des facultés industrielles dont nous
66
personnel peut sengager dans des voies nuisibles à autrui ce sont
78
sur les conséquences des diverses directions de la conduite sont lobs
85
que lon y considère trèsgénéralement le pouvoir politique comme
87
croit que ce qui manque cest seulement lart de faire passer
90
peut y avoir dans son sein dautres sociétés politiques cestàdire
93
entre les directions diverses quils peuvent donner au libre développe
97
tuelle car tous les autres en dépendent plus ou moins Obstacles
99
sécurité à la conservation de la santé et au développement des forces
107
Bastiat Cousin Fréd Passy Modeste etc Ces nouvelles formules
120
niques chez de nombreuses classes des sociétés modernes
123
lois civiles ou politiques formulée par Bentham partagée par
129
tendances cest déclairer les intérêts Page
135
aux classes dont lintelligence est peu cultivée On peut également
141
ment celles entre les classes plus ou moins pourvues de fortune et celles
147
plus élevé et le plus salutaire de nos attributs naturels la liberté
148
neste qui en France porte les ouvriers salariés à nourrir des sentiments
158
ouvriers Pernicieuses erreurs répandues sur le prétendu antagonisme
164
devoirs et ce qui sen écarte Conséquences des déviations les plus
172
bre de choses utiles qui ne sont pas de nature à constituer des propriétés
176
que la valeur des services employés se retrouve dans celle des produits
182
cielle faite au clergé français Page
184
les facultés industrielles et les capitaux En quoi consistent les facultés
192
en trois classes terre capital travail et de comprendre la terre
200
le capital elles permettent de reconnaître comment les capitaux
205
La plupart des économistes français répudient lexpression intérêt
211
sociales est la plus grande satisfaction possible de lintérêt commun
213
gieuses Montesquieu Appréciation de ses doctrines Page
218
disette leurs conséquences morales qui seront examinées dans
219
naturels inégalement répartis entre les diverses contrées du globe
232
lun de lautre Résumé de leurs conséquences bienfaisantes
240
sance des chances dinstabilité demploi quoffrent les diverses profes
242
des de lesprit humain Pourquoi lor et largent ont été généralement
271
la force sont des moyens efficaces dimposer dabord et de faire régner
308
tages réels du crédit sétaient attachés à prémunir lopinion contre
312
richesses nouvelles mais pour déplacer celles qui existent lextension
347
partie des capitaux de la société au même titre que les autres métaux
360
non sur lavenir Page
366
quelles notions contraires à lévidence conduit la confusion du numéraire
371
simple alors quil est composé de choses qui sous les rapports écono
384
pement de lindustrie et de la population loin dabaisser le profit des
400
des capitaux ne se sont guère propagées en France quà partir de 1830
409
moins plus nombreux que les salariés Cette production se prête peu
422
lindustrie Travaux organisés en petites entreprises comprenant toute
430
aux salariés et quils sont le plus exposés aux interruptions demploi
433
Commerce de transport de distribution de spéculation Ces divers tra
439
rières Sous la réglementation qui les paralyse en France les grandes
446
crivant comme une sorte de profanation lassimilation dune partie
456
seignement sont régis en France par lautorité mais ils sont hors de
464
vertu de laquelle la rémunération des services de chaque espèce sélève
480
des capitaux ou approvisionnements destinés aux besoins personnels
501
comme dans celui de diverses classes de capitaux il tient aux diffé
505
ration totale des services personnels entre les bénéfices et les salaires
518
payant lincometax en Angleterre en 1853 moins de deux cent mille
525
positivement une violation de la propriété il en est de même à légard
531
absurdité des conceptions
537
au moins en partie sur la supériorité des lumières de lÉtat rappel
545
Association
586
Erreurs ayant leur source dans la confusion de
626
CHAPITRE III
654
III
655
CHAPITRE V
656
production
657
CHAPITRE VI
658
I
659
LÉCONOMIE POLITIQUE
661
Pendant la durée de
662
CHAPITRE IX
664
Des méthodes dinvestigation dans les sciences de
665

Expressions et termes fréquents

Fréquemment cités

Page 234 - Trouver une forme d'association qui défende et protège de « toute la force commune la personne et les biens de chaque « associé, et par laquelle chacun, s'unissant à tous, n'obéisse « pourtant qu'à lui-même et reste aussi libre qu'auparavant.
Page 241 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.
Page 240 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.
Page 219 - Elles doivent être relatives au physique du pays, au climat glacé, brûlant ou tempéré, à la qualité du terrain, à sa situation, à sa grandeur, au genre de vie des peuples, laboureurs, chasseurs ou pasteurs ; elles doivent se rapporter au...
Page 218 - La loi, en général, est la raison humaine, en tant qu'elle gouverne tous les peuples de la terre; et les lois politiques et civiles de chaque nation ne doivent être que les cas particuliers où s'applique cette raison humaine.
Page 68 - Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ta pensée. C'est là le premier et le plus grand commandement. Et voici le second qui lui est semblable : tu aimeras ton prochain comme toi-même.
Page 240 - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à, autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autrui membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.
Page 241 - La loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu'en vertu d'une loi établie et promulguée antérieurement au délit et légalement appliquée.
Page 55 - Ceux qui ont dit qu'une fatalité aveugle a produit tous les effets que nous voyons dans le monde, ont dit une grande absurdité; car quelle plus grande absurdité qu'une fatalité aveugle qui aurait produit des êtres intelligents?
Page 241 - Pour l'entretien de la force publique et pour les dépenses d'administration, une contribution commune est indispensable : elle doit être également répartie entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés.

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