...chatouillements de vanité sont immenses et sont partagés. Un homme n'a jamais pu élever sa maîtresse jusqu'à lui ; mais une femme place toujours son amant...notre belle maîtresse attaquent dans notre cœur. Binai, fils d'un orfèvre, montant dans le lit de la duchesse de Courlande et l'aidant à lui signer...

...l'amour-propre sont pour elle. Vous n'êtes pas dans le secret du bonheur que vous donnez. sa maîtresse jusqu'à lui ; mais une femme place toujours son amant...belle maîtresse attaquent dans notre cœur. Biren, (ils d'un orfèvre, montant dans le lit de la duchesse de Courlande et l'aidant à lui signer la promesse...

...chatouillements de vanité sont immenses et sont pariagés. Un homme n'a jamais pu élever sa maîtresse jusqu'à lui; mais une femme place toujours son amant...l'amour est la première des passions, c'est qu'elle les flattc toutes ensemble. On aime en raison du plus ou du moins de cordes que les doigts de notre belle...

...élever sa maîtresse jusqu'à loi; mais une femme place toujours son amant aussi haut qu'elle. — & Je puis faire des princes , et vous ne ferez jamais...flatte toutes ensemble. On aime en raison du plus on du moins de cordes que les doigts de notre belle maltresse attaquent dans notre cœur. Biren , fils...

...sont immenses et sont partagés. Un homme n'a jamais pu élever sa maîtresse jusqu'à lui ; rnnis une femme place toujours son amant aussi haut qu'elle....bâtards ! » est une réponse étincelante de vérité. BALZAC. — Ce qui flatte le plus l'amour-propre des femmes, c'est d'être aimées sans qu'on ose le...

...chatouillements de vanité sont im8 »«ises et sont partagés. Un homme n'a jamais pu élever sa maîtresse jusqu'à lui ; mais une femme place toujours son amant...haut qu'elle. — « Je puis faire des princes, et TOUS ne ferez jamais que des bâtards ! » est une réponse étin«elante de vérité. Si l'amour est...

...beaucoup, pour ne pas dire tout, de savoir t*t que notre amour-propre ne souffrira jamais en elle? Si l'amour est la première des passions, c'est qu'elle...raison du plus ou du moins de cordes que les doigts de notrebelle maîtresse attaquent dans notre cœur. t tt Les femmes persuadent toujours aux hommes de...

...chatouillements de vanité sont immenses et sont partagés. Un homme n'a jamais pu élever sa maîtresse jusqu'à lui; mais une femme place toujours son amant aussi haut qu'elle (1). » Jusqu'ici en amour Balzac a ignoré la vanité, il l'eût ignorée toujours si la Dilecta fût...

...chatouillements de vanité sont immenses et sont pariagés. Un homme n'a jamais pu élever sa maîtresse jusqu'à lui; mais une femme place toujours son amant...flatte toutes ensemble. On aime en raison du plus ou du inoins de cordes que les doigts de notre belle maltresse attaquent dans notre cœur. Biren , fils d'un...

...chatouillements de vanité sont immenses et sont partagés. Un homme n'a jamais pu élever sa maîtresse jusqu'à lui ; mais une femme place toujours son amant aussi haut qu'elle (i). » Jusqu'ici en amour, Balzac a ignoré la vanité, il l'eût ignorée toujours si la Dilecta...