Petite bibliotheque des théatres: Chef-d'œuvres de Philippe PoissonAu bureau [de la Petite bibliotheque des théatres], 1785 |
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Expressions et termes fréquents
acte AGNÈS Alain et Georgette Allez Almanzor amour ARISTE ARNOL PHE ARNOLPHE assez avez avoit beau belle c'étoit CATHOS chose CHRISALDE cœur Comédie COMMISSAIRE connoître Conte CROISY croyant seul d'Arnolphe d'Isabelle déja derniere desirs dessein diable Dieu dire discours donner enfin ENRIQUE ERGASTE esprit Est-ce êtes étoit fille François frere galant gens godelureau GORGIBUS grace GRANGE haut-de-chausse HORACE hymen ISABELLE j'ai j'aurois j'avois j'en J'étois jamais JODELE JODELET jour L'Ecole des Femmes L'Ecole des Maris l'interrompant LAQUAIS Léonor LISETTE m'en Madame MADELON main maison d'Agnès maniere Marivaux MAROTTE MASCARILLE Moliere monde Monsieur montrant NOTAIRE ORONTE parler paroître pense personne Piece plaisir Poëtes pourroit Précieuses ridicules prendre prenois rien sais Scaramouche SCENE I I SCENE PREMIERE SCENE VIII sentimens seroit SGANARELLE soins sort sotte souffrir Spadassins tems Térence Théatre trouve vais VALERE valet veut veux Vicomte VIOLONS voilà vois voleur voudrois voulez-vous vrai yeux
Fréquemment cités
Page 93 - N'est-ce rien que les soins d'elever votre enfance? AGNES: Vous avez la-dedans bien opere vraiment, Et m'avez fait en tout instruire joliment! Croit-on que je me flatte, et qu'enfin, dans ma tete, Je ne juge pas bien que je suis une bete?
Page 48 - C'est mon honneur, Agnès, que je vous abandonne ; Que cet honneur est tendre , et se blesse de peu , Que sur un tel sujet il ne faut point de jeu , Et qu'il est aux enfers des chaudières bouillantes, Où l'on plonge à jamais les femmes mal-vivantes: Ce que je vous dis là ne sont pas des chansons , Et vous devez du cœur dévorer ces leçons.
Page 77 - Que des coups du hasard aucun n'étant garant, Cet accident de soi doit être indifférent, Et qu'enfin tout le mal, quoi que le monde glose, N'est que dans la façon de recevoir la chose ; Car, pour se bien conduire en ces difficultés, II y faut, comme en tout, fuir les extrémités.
Page 11 - J'ai remarqué encore que leurs rabats ne sont point de la bonne faiseuse, et qu'il s'en faut plus d'un grand demi-pied que leurs hautsde-chausses ne soient assez larges.
Page xvii - L'École des femmes enfin, Doit passer pour ouvrage fin. Permettons à chacun d'en rire, Défendons à tous d'en médire, Et déclarons que son auteur Dans son ftyle a de la douceur, De la netteté, de la grâce; Qu'avec tant de nature il trace Les sujets et les passions, Et débite des mots si bons Qu'un eïprit bien fait, quoi qu'on die, Doit admirer sa comédie, Et le prendre, tout bien compté, Pour Térence ressuscité.
Page iv - Ptéeieuses autoient tott de se piquet lotsqu'on joue les tidienles qui les imitent mal ; mais enfin , eomme j'ai dit , on ne me laisse pas le tems de tespitet , et M. de Luynes (il veut m' allet faite teliet de ee pat.
Page 40 - Il me l'a dit , plus de vingt fois , 1 moi. ARNOLPHE. Ah ! vous ne savez pas ee que e'est que sa foi !,., Mais enfin...
Page 6 - Des souliets où mes pieds ne soient point au suppliee , Ainsi qu'en ont usé sagement nos ayeux i Et qui me ttouve mat , n'a qu'à fetmet les yeux. SCENE II. 1ÉONOR , IEABELLE , LIEETTS i AEIETS , EGANAEELLE , patlant bas sut le devant du Thfatte » sain êtte appetïu» de Léonot , d'Isabelle et d
Page 91 - Euivte un galant n'est pas une aetion infâme! AGNÈs. C'est un homme qui dit qu'il me veut pout sa femme.
Page 36 - Mon Dieu ! j'en autois , dis-je , une douleut bien gtande !.... « Mais , pout le seeoutit , qu'est - ee qu'il me demande?....