FOTEWICK (Bataille de), I, 473. FOUGÈRES (Récit de la prise de la ville de), 1, 429. Voyez NORMANDIE (Conquête de la). FOULQUES, curé de Neuilly; se rend célèbre par ses prédications, VI, 138. FOURMONT (M.) l'aîné, maître de M. de Guignes, I, LXXII. Est chargé de visiter les caractères orientaux de l'Imprimerie royale, ibid. - Dirige la gravure des caractères hébreux de l'Imprimerie royale, LVI. — Ses grandes connaissances dans les langues orientales, et son aptitude toute particulière pour en développer les principes grammaticaux, LXXIX. Se livre tout entier à l'étude de la langue chinoise avec le Chinois Hoamge, LXXIX, LXXX. — Attaques passionnées auxquelles l'exposent ses travaux et son zèle pour répandre la connaissance de la littérature chinoise, LXXX, LXXXI. Voyez GUIGUE et FOURREAU. - Services incontestables qu'il a rendus par ses ouvrages, et notamment par sa grammaire chinoise, LXXXI. — Pendant sa polémique, il se trouve devancé par la Russie, LXXXIV, LXXXV. FOURMONT (L'abbé Michel); avait composé le catalogue des manuscrits de la bibliothèque du monastère de Nea-Moni, dans l'île de Chio, VIII, 25. Extrait de sa lettre inédite au comte de Maurepas sur la bibliothèque du monastère de Mega-Spileon, 26 et suiv. FOURREAU (Le P.), missionnaire, ne savait pas lire le chinois; jugement de M. de Guignes sur sa critique inédite de la grammaire chinoise de M. Fourmont, I, LXXXI. Fox, fou, insensé, V, 293; IX, 29. FOZERA (Port de), XIV, 374. FRANC (Guillaume Le), ambassadeur de Louis XI auprès du Saint-Siége, à l'occasion du procès du cardinal Balue, IV, 14 et suiv. FRANG (Martin LE); son époque, son pays et ses ouvrages, V, 528, 529. FRANÇAIS. Voyez LANGUE FRANÇAISE, POLI TESSE. FRANCE. Catalogue des rois de France, depuis Mérovée jusqu'à Philippe-Auguste, contenu dans un manuscrit de la Bibliothèque du Roi, II, 211. - Au xv° siècle on n'appelait pas vulgairement du nom de France les pays que les Anglais y possédaient à titre d'ancien patrimoine, comme représentant le duc Rollon et ses successeurs, III, 539. — Histoire de son influence en Orient, VII, 277 et suiv. - Désignant seulement l'Ile de France, V, 511, note 2. méridionale (Histoire de la). Voyez grande instruction; lectures et conversations savantes qui avaient lieu à sa table; sa cour comparée à une académie, I, LXXXVII. - Avait envoyé des savants dans le Levant pour y recueillir des manuscrits grecs, ibid. - Projetait de faire couler en bronze un Hercule colossal, ibid. Fait graver par Garamont les caractères grecs de l'Imprimerie royale, LXXXVII, LXXXVIII et suiv. Voyez CARACTÈRES ORIENTAUX ET GRECS. Son entrevue à Bologne avec Léon X, II, 585.- Son entrevue, en 1520, avec Henri VIII, roi d'Angleterre, se voit sculptée en bas-reliefs sur les murailles d'un ancien hôtel de Rouen, III, 569, note a, et 570. — Où se trouvent les dessins de ces bas-reliefs, 571, note a. Aimait beaucoup la Normandie, et y venait continuellement, 571, 573, note a. - Quelles étaient ses armes, 573. Voyez SALAMANDRE. - Dates de ses diverses entrées à Rouen, 573, note a. Son mot sur la prétention des Espagnols à la possession exclusive du Nouveau Monde, IV, 77, 78. Voyez SOLIMAN. FRANÇOIS, duc de Bretagne, se rend au mont Saint-Michel, II, 300. Voyez ciaprès. FRANÇOIS II, duc de Bretagne; Louis XI lui adresse des envoyés, chargés d'instructions touchant le procès des auteurs présumés de la mort de Charles de France, IV, 55. FRANÇOIS L'ARRAGONAIS (sic), neveu de Perrinet Grasset, rend Montargis pour une somme d'argent, II, 309. FRANÇOIS DE PAULE. Voyez PAULE. FRANÇOIS, marquis de Saluces; trahit les Français, et n'est point récompensé de sa trahison par Charles-Quint, VII, 372. FRANÇOIS DE LORRAINE, colonel français au service de l'Autriche; relation de son hardi coup de main sur la ville d'lassy, en 1717, fragment de l'histoire moldave de Costin, XI, 378 et suiv. Sa mort cruelle, 387, note 2. FRANCON, archevêque de Rouen; son époque, V, 36, 37. FRANCS (Rois des) dans la Gaule. Voyez CHRONIQUE. FRANCS-ARCHERS (Création des), I, 423, 424. - Jugement qu'en porte Amelgard, historien contemporain; peinture qu'il fait de leurs excès, 424, 425. Établis par Charles VII; avantage de leur institution, VI, 96, 105. FRATEYAR-BOKEN, titre d'un manuscrit islandais; où il se trouve, II, 164. FRATRICELLES. Voyez BÉGARDS. FRÉDÉGAIRE. Voyez IDACE. FRÉDÉRIC 1", empereur; fixation de l'an née et du lieu de son couronnement comme roi de Lombardie; question laissée incertaine par Muratori, IV, 215, 216, 217. FRÉDÉRIC II, empereur; durée de son règne, VI, 403. Est le seul des princes croisés qui ait profité de ses expéditions en Terre Sainte pour l'avantage des sciences; étendue de ses connaissances, ibid. Auteur d'un Traité de la chasse aux oiseaux; notice bibliographique des éditions et des manuscrits de cet ouvrage, 403, 404, 457. - Savants contemporains qu'il encouragea ; travaux entrepris par son ordre, 404, 405. - Sa politique perfide à l'égard d'Honorius III; texte de la lettre que lui adressa ce pape, II, 256 et suir. FRÉDÉRIC II, fils de Christian III, roi de Danemarck; histoire de la guerre qu'il soutint de 1563 à 1570, V, 86 et suiv. FRÉRET (M.); pourquoi il ne se livra pas avec autant d'ardeur que M. Fourmont à l'étude de la langue chinoise, I, LXXIX, note a. - Son opinion sur le père de Mérovée, XIII, 70, note 1. FRESNE (Raphael TRICHET DU); catalogue de sa bibliothèque; ce qu'en pensait M. de Villoison, VIII, 13, col. 2. FRESNE-FORGET. Voyez FORGET DE FRESNE. FRESTEL, instrument de musique, XIII, 89. FREU OU FRÕÕ, roi d'Upsal, I, 456. dans la Bibliothèque nationale, 7775, le Quadriregio; note décisive, pour la question, tirée d'une édition du Quadriregio, 486, 487. – Conclusion: on doit renoncer à toute recherche d'un prétendu second poëme de Federico Frezzi, dans le genre du premier, et contenant une cosmographie et des voyages, 488. FRIDKOULLA. Voyez MARGUERITE, fille d'Inghé I. FRIEDEMANN (M.), auteur d'un Traité de la syllabe du milieu dans le pentamètre élégiaque; cité avec éloge, X, 284, note 1. FRIGIUM, friche, XIII, 10. du roi de Navarre, II, 303. FRODÉ, roi de Danemarck; renommé pour sa sagesse et sa justice; ce que signifie souhaiter la paix de Frodé; pourquoi les chroniqueurs suédois ont inséré ce prince dans leurs annales, I, 442. — Circonstances singulières de sa mort, 443.-Régnait encore, selon les auteurs islandais, lors de l'avénement d'Ottar au trône de Suède; sa guerre avec ce prince, 452, 453. Voyez ci-après. FRODÉ, roi de Suède; paraît être le même que Frodé, roi contemporain de Danemarck, I, 442. Voyez ci-après. FRODE FROECKNÉ, roi de Sélande, I, 452. FROID. Voyez HIVER. FROISSART; peut être contrôlé ou complété par la chronique de Gilles le Muisit, II, 227, 228. FROMONT, surnom d'un âne, V, 302. FRONTON, Érotique, p. 228, éd. Nieb., corrigé et expliqué, X, 224, col. 1. – Imite le Phèdre de Platon, X, 224, col. 2. - Justifié de l'inculpation d'immoralité, ibid. Ibid. p. 37, 13, corrigé et expliqué, 227, col. 1. FROSTÉ, roi de Finlande. Voyez SCHALF. FROTAIRE, évêque de Nîmes; se rend cou pable de simonie, IV, 200. FROTARD, évêque simoniaque d'Albi; exposé historique et critique de sa vie, IV, 201 et suiv. FRUICTIER (LE), le même que Pierre Salmon, V, 418. FUENTE (Le comte DE); ses conquêtes en Picardie, II, 106. FULGENCE; extraits de son traité De prisco sermone, contenus dans un manuscrit de la Bibliothèque royale, V, 232, in-8°. FULGENTIO (Frère), de l'ordre des Camaldules; rôle qu'il joua dans les différends élevés entre la république de Venise et Paul V, au sujet de l'interdit et de l'abbaye Lorédane, VII, 303 et suiv. FUMÉE (ADAM). Voyez ADAM FUMÉE. G pour V, dans des noms propres, V, 25. GABET, fou gabet, expliqué, V, 294. GABOT OU GABOURY. Voyez CABOт. GABRIEL, calligraphe, XIII, 262. GABRIEL DE VALLSEQUA. Voyez VALLSE QUA. GAETAN DE THÉATE, fondateur de la congrégation des Théatins, II, 636. GAGUIN; son peu de critique, VII, 30. GAÏAC; seul remède antivénérien connu sous Charles VIII, VII, 23. GAIL (M.); fait une bonne correction dans Xénophon, d'après un manuscrit, XI, 265. GAILLARD DE LA LANDE, XIV, 346. GAILLARD (M. G. H.); un des huit premiers académiciens choisis par le roi G FUNAMBULES, marchant sur la corde les yeux bandés, VIII, 321, note 1. FUNÉRAILLES, accompagnées de mimes, chez les anciens, XI, 110, 155. Voyez CÉRÉMONIES FUNÈBRES. FURNIVAL (Guillaume DE); notice sur sa vie et ses ouvrages, V, 277, 278. FUSÉES de nouvelle invention, employées au siége de Pont-Audemer, sous Charles VII, I, 429. FUST, bois, VII, 429. FUTUR du subjonctif, introduit fréquemment par les copistes dans les écrits de Platon, IX, 161, note, col. 2. Futurs moyens, employés fréquemment pour les futurs passifs, X, 145, note 1. FYLKIS OU FILKIS-KONUNGAR, ou rois tributaires; à quelle époque l'histoire de Suède commence à en faire mention, I, 144, 145. pour la rédaction des Notices et Extraits des manuscrits, I, préf. iv. Fausse origine qu'il assigne aux cercles de la Germanie, XI, 333, note 5. A publié dans ce recueil: Conférence de Calais, II, 60 (voyez CALAIS); - Notice du manuscrit de Brienne, contenant la Négociation de Forget de Fresne en Espagne, 82; - Négociation de M. de Loménie, notice, 103; - Notice des manuscrits de Brienne, vol. 37, infol., 114 (voyez BOUILLON); - Notice du manuscrit n° 8448 de la Bibliothèque du Roi, IV, 1 (voyez LOUIS XI); — Notice d'un manuscrit coté sous le même numéro, 9 (voyez COUSINOT); - Notice de l'ambassade de Loys de Bourbon, 25; -Notice d'une instruction donnée par Louis XI à ses ambassadeurs auprès du duc de Bretagne, IV, 37; - Notice d'un manuscrit contenant des instructions données par Louis XI à Jean d'Arson, 44 (voyez D'ARSON;) - Notice d'un manuscrit contenant les Instructions baillées à Hélie de Bordeille, etc., par Louis XI, 55 (voyez LOUIS XI); — Notice d'un manuscrit contenant des instructions baillées à Perceval de Dreux et à Pierre Framberg, etc., par Louis XI, 63 (voyez LOUIS XI); - Notice des manuscrits contenant la reprise de la Floride par le capitaine Gourgues, 72; Notices de manuscrits relatifs à l'ambassade de M. de Brèves à Rome, VII, 272; Notices de deux manu scrits latins, cotés 5288 et 6003, 397, 413. Voyez aussi Lors Ir et RiCHARD II. GAILLON (Jean DE), chevalier, envoyé de Philippe de Valois auprès de Robert d'Artois, I, 511. GALAND (M.); ses connaissances dans les langues orientales, I, LXI. - Achève l'édition de la Bibliothèque orientale de d'Herbelot; son jugement sur cet ouvrage, ibid. - Auteur d'une traduction inédite de l'Alcoran, LXIII. Voyez aussi GALLAND. GALANGA OU LANQUAS, XIV, 137, note 1. GALARD DE SOLERS. Voyez WOLFENBÜTTEL et GALHARD. GALÉAS de Mantoue, seigneur de Milan; son histoire et son portrait par un contemporain, V, 574 et suiv.; par Thomas, marquis de Saluces, dans son Chevalier errant, ouvrage inédit, 576 et suiv. GALÉSIOTA, VI, 16. GALHARD DE FFAURGAS (sic), damoisel, donne un acte de garantie, XIV, 449. GALHARD DE SOLERS, bourgeois de Bordeaux, donne un acte de garantie, XIV, 449. GALIEN; son opinion sur les ouvrages pseudonymes; comment il faut l'entendre, X, 219. — N'est point l'auteur du Protreptique; solécisme signalé dans cet ouvrage pseudonyme, 284, note 1. - (Extrait de), sur le mal de dents, XI, 241, 242. - Traité des Mesures du pseudo-Galien; renferme une abréviation contestable, 264, 265. GALLAND; ses connaissances en numismatique, VIII, 9. - Voyez aussi GALAND. GALLES (Le prince de), ou le prince Noir, soutient don Pèdre contre Henri de Transtamare, I, 345, 349. - Est défait à la bataille de la Ville-Dieu par Louis It, duc d'Anjou, 346. - Victorieux à la bataille de Navarrette, ibid. Fils du roi d'Angleterre, Édouard III; sa loyauté, VI, 80. - Repartie que lui fit un moine, 81. - Dépense énorme qu'il faisait par jour en Aquitaine, sous le règne de Jean II, VII, 7. GALLIA CHRISTIANA (Le); rectifié au sujet de Philibert ou Zano de Castillon, évêque de Lisieux, III, 153, note p. Rectifié, touchant le Doctrinal de Gui Roye, V, 519.- t. VII, col. 848, rectifié, XIII, 42, note 1. - complété, XIV, 396. - (Le nouveau); complété pour la liste des abbés de Moissac, VI, 84; pour une lettre d'Innocent IV, 86;- rectifié et complété, touchant l'affaire de l'évêque d'Amiens, en 1204 et en 1205, 157 et suiv.; - complété pour l'affaire de l'évêque de Troyes, en 1206, 165; - pour l'affaire de l'abbé de Saint-Martin des Aires de Troyes, en 1206,167 et suiv.; - rectifié pour la succession des évêques d'Avignon, 571, |