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CHAP. IX. La tradition combattue par M. Simon sous prétexte de la défendre.

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PREFACE, où est exposé le dessein et la divi- CHAP. X. Manière méprisante dont les nou

sion de cet ouvrage.

PREMIÈRE PARTIE,

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CHAP. III. Histoire de l'approbation de la doctrine de saint Augustin, de siècle en siècle, de l'aveu de M. Simon. En passant, pourquoi cet auteur ne parle point de saint Grégoire.

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veaux critiques traitent les Pères, et méprisent la tradition: premier exemple de leur procédé, dans la question de la nécessité de l'eucharistie: M. Simon avec les hérétiques accuse l'Eglise ancienne d'erreur, et soutient un des arguments par lesquels ils ont attaqué la tradition.

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CHAP. XI. Artifice de M. Simon pour ruiner une des preuves fondamentales de l'Eglise sur le péché originel, tirée du baptême des enfants.

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CHAP. XII. Passages des papes et des Pères, qui établissent la nécessité de l'eucharistie en termes aussi forts que saint Augustin; erreur inexcusable de M. Simon, qui accuse ce saint de s'être trompé dans un article, qui de son aveu lui étoit commun avec toute l'Eglise de son temps. 19

CHAP. XIII. M. Simon, en soutenant que l'Eglise ancienne a cru la nécessité absolue de l'eucharistie, favorise des hérétiques manifestes, condamnés par deux conciles œcuméniques, premièrement par celui de Bâle, et ensuite par celui de Trente.

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CHAP. IV. Autorité de l'Eglise d'Occident. S'il est permis à M. Simon d'en appeler à l'E-CHAP. XIV. Mauvaise foi de M. Simon, qui, en

glise orientale. Julien le pélagien convaincu par saint Augustin dans un semblable procédé.

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CHAP. V. Idée de M. Simon sur saint Augustin, à qui il fait le procès comme à un novateur dans la foi, par les règles de Vincent de Lérins tout l'Occident est intéressé dans cette censure. 8 CHAP. VI. Que cette accusation de M. Simon contre saint Augustin retombe sur le SaintSiége, sur tout l'Occident, sur toute l'Eglise, et détruit l'uniformité de ses sentiments et de sa tradition sur la foi que ce critique renouvelle les questions précisément décidées par les Pères, avec le consentement de toute l'Eglise catholique: témoignage du cardinal Bellarmin.

10 CHAP. VII. Vaine réponse de M. Simon, que saint Augustin n'est pas la règle de notre foi malgré cette caviflation, ce critique ne laisse pas d'être convaincu d'avoir condamné les papes, et toute l'Eglise qui les a suivis. 13 CHAP. VIII. Autre cavillation de M. Simon dans la déclaration qu'il a faite de ne vouloir pas condamner saint Augustin: que sa doctrine

accusant saint Augustin et toute l'antiquité d'avoir erré sur la nécessité de l'eucharistie, dissimule le sentiment de saint Fulgence auteur du même siècle que saint Augustin, et qui faisoit profession d'être son disciple, même dans cette question, et où il fonde sa résolution sur la doctrine de ce Père. CHAP. XV. Toute la théologie de saint Augustin tend à établir la solution de saint Fulgence, qui est celle de toute l'Eglise.

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CHAP. XVI. Vaine réponse des nouveaux critiques.

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CHAP. XVII. Pourquoi saint Augustin et les anciens ont dit que l'eucharistie étoit nécessaire, et qu'elle l'est en effet; mais en son rang et à sa manière. CHAP. XVIII. La nécessité de l'eucharistie est expliquée selon les principes de saint Augustin par la nécessité du baptême. CHAP. XIX. Raison pour laquelle saint Augustin et les anciens n'ont pas été obligés de distinguer toujours si précisément la nécessité de l'eucharistie d'avec celle du baptême. ib. CHAP. XX. Que M. Simon n'a pas dû dire que les preuves de saint Augustin et de l'an

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CHAP. I. Que l'esprit de M. Simon est de ne louer la tradition que pour affoiblir l'Ecriture. Quel soin il prend de montrer que la Trinité n'y est pas établie. CHAP. II. Qu'en affoiblissant les preuves de l'Ecriture sur la Trinité, M. Simon affoiblit 34 également celles de la tradition. CHAP. III. Soin extrême de l'auteur pour montrer que les catholiques ne peuvent convaincre les ariens par l'Ecriture. CHAP. IV. Que les moyens de M. Simon contre l'Ecriture portent également contre la tradition, et qu'il détruit l'autorité des pères par les contradictions qu'il leur attribue. Passage de saint Athanase.

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CHAP. V. Moyens obliques de l'auteur pour détruire la tradition et affoiblir la foi de la Trinité.

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CHAP. VI. Vraie idée de la tradition, et que faute de l'avoir suivie l'auteur induit son lecib. teur à l'indifférence des religions. CHAP. VII. Que M. Simon s'est efforcé de détruire l'autorité de la tradition, comme celle de l'Ecriture, dans la dispute de saint Augustin contre Pélage: idée de cet auteur sur la critique, et que la sienne n'est selon luimême que chicane fausse doctrine qu'il attribue à saint Augustin sur la tradition, et 38 contraire à celle du concile de Trente. CHAP. VIII. Que l'auteur attaque également saint Augustin et la tradition, en disant que ce Père ne l'allègue que quelquefois, et par accident, comme un accessoire. CHAP. IX. L'auteur affoiblit encore la tradition par saint Hilaire, et dit indifféremment le bien et le mal.

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CHAP. X. Si M. Simon a dû dire que saint Hi-
laire ne s'appuyoit point sur la tradition. ib.
CHAP. XI. Que les Pères ont également soutenu
les preuves de l'Ecriture et de la tradition :
Que M. Simon fait le contraire, et affoiblit
les unes par les autres: Méthode de saint
Basile, de saint Grégoire de Nysse et de saint
Grégoire de Nazianze, dans la dispute contre
Aèce et contre Eunome, son disciple.
CHAP. XII. Combien de mépris affecte l'auteur
pour les écrits et les preuves de saint Basile
et de saint Grégoire de Nazianze, principa-
lement pour ceux où ils défendent la Trinité
contre Eunome.

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CHAP. XIII. Suite du mépris de l'auteur pour les écrits et les preuves de saint Basile,

et

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CHAP. XV. Mépris de l'auteur pour les discours
et les preuves de saint Grégoire de Nazianze
ib.
sur la Trinité.
CHAP. XVI. Que l'auteur, en cela semblable
aux sociniens, affecte de faire les pères plus
forts en raisonnements et en éloquence, que
dans la science des Ecritures.
CHAP. XVII. Que la doctrine de M. Simon est
contradictoire : qu'en détruisant les preuves
de l'Ecriture, il détruit en même temps la
tradition, et mène à l'indifférence des reli-
ib.
gions.

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CHAP. XVIII. Que l'auteur attaque ouvertement l'autorité de l'Eglise sous le nom de saint Chrysostome, et qu'il explique ce Père en protestant déclaré.

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CHAP. XIX. L'auteur fait mépriser à saint Augustin l'autorité des conciles. Fausse traduction d'un passage de ce Père, et dessein manifeste de l'auteur, en détruisant la tradition et l'autorité de l'Eglise, de conduire insensiblement les esprits à l'indifférence de religion.

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CHAP. XX. Que la méthode que M. Simon attribue à saint Athanase et aux Pères qui l'ont suivi dans la dispute contre les ariens, n'a rien de certain, et mène à l'indifférence. 58 CHAP. XXI. Suite de la mauvaise méthode que l'auteur attribue à saint Athanase et aux Pères qui l'ont suivi.

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CHAP. XXII. Que la méthode de M. Simon ne laisse aucun moyen d'établir la sûreté de la 61 foi, et abandonne tout à l'indifférence.

LIVRE TROISIÈME.

M. Simon, partisan et admirateur des sociniens, et en même temps ennemi de toute la théologie et des traditions chrétiennes.

CHAP. 1. Faux raisonnement de l'auteur sur la prédestination de Jésus-Christ: son affectation à faire trouver de l'appui à la doctrine socinienne dans saint Augustin, dans saint Thomas, dans les interprètes latins, et même dans la Vulgate.

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CHAP. VIII. Vaine excuse de M. Simon, qui] CHAP. XXV. Seconde et troisième source de la

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ib.

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dit qu'il n'écrit que pour les savants : quels sont les savants pour qui il écrit. CHAP. IX. Recommandation des interprétations du socinien Crellius. CHAP. X. Le critique se laisse embarrasser des opinions des sociniens, et les justifie par ses réponses. CHAP. XI. Foiblesse affectée de M. Simon contre le blasphème du socinien Eniedin : la tradition toujours alléguée pour affoiblir l'Ecriture. 77 CHAP. XII. Affectation de rapporter le ridicule que Volzogue, socinien, donne à l'enfer. 78 CHAP. XIII. La méthode de notre auteur à rapporter les blasphèmes des hérétiques est contraire à l'Ecriture et à la pratique des saints. ib. CHAP. XIV. Tout l'air du livre de M. Simon inspire le libertinage et le mépris de la théologie, qu'il affecte partout d'opposer à la simplicité de l'Ecriture.

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CHAP. XV. Suite du mépris de M. Simon pour la théologie: celle de saint Augustin et des Pères contre les ariens méprisée : M. Simon, qui prétend mieux expliquer l'Ecriture qu'ils n'ont fait, renverse les fondements de la foi, et favorise l'arianisme.

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Pères.

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CHAP. I. M. Simon tâche d'opposer les Pères
aux sentiments de l'Eglise passage trivial
de saint Jérôme, qu'il relève curieusement
et de mauvaise foi contre l'épiscopat : autres
passages aussi vulgaires du diacre Hilaire et
104
de Pélage.
CHAP. II. Le critique fait saint Chrysostome
nestorien passage fameux de ce Père, dans
l'homélie 1 sur l'Epître aux Hébreux, où
M. Simon suit une traduction qui a été ré-
tractée comme infidèle par le traducteur de
saint Chrysostome, et condamnée par M. l'ar-
chevêque de Paris.

CHAP. XVI. Que les interprétations à la soci- M. Simon, ennemi et téméraire censeur des saints nienne sont celles que M. Simon autorise, et que celles qu'il blâme comme théologiques sont celles où l'on trouve la foi de la Trinité. CHAP. XVII. Mépris de l'auteur pour saint Thomas, pour la théologie scolastique, et 86 sous ce nom pour celle des Pères. CHAP. XVIII. Historiette du docteur de d'Espense, relevée malicieusement par l'auteur pour blâmer Rome, et mépriser de nouveau la théologie comme induisant à l'erreur. 88 CHAP. XIX. L'auteur, en parlant d'Erasme, continue de mépriser la théologie, comme ayant contraint l'esprit de la religion. CHAP. XX. Audacieuse critique d'Erasme sur saint Augustin, soutenue par M. Simon : suite du mépris de ce critique pour saint Thomas présomption que lui inspirent, comme à Erasme, les lettres humaines: il ignore profondément ce que c'est que la scolastique, et la blâme sans être capable d'en connoître l'utilité. CHAP. XXI. Louanges excessives de Grotius, encore qu'il favorise les ariens, les sociniens, et une infinité d'autres erreurs. 93 CHAP. XXII. L'auteur entre dans les sentiments impies de Socin, d'Episcopius et de Grotius, pour anéantir la preuve de la religion par les prophéties.

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106 CHAP. III. Raisons générales qui montrent que M. Simon affecte de donner en la personne de saint Chrysostome un défenseur à Nestorius et à Théodore.

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CHAP. IV. Raisons particulières qui démontrent dans M. Simon un dessein formé de charger saint Chrysostome: quelle errreur c'est à ce critique de ne trouver aucune absurdité de faire parler à ce Père le langage des hérétiques; passages qui montrent combien il en étoit éloigné.

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CHAP. V. Que le critique, en faisant dire å saint Chrysostome, dans l'homélie ш aux Hébreux, qu'il y a deux personnes en JésusChrist, lui fait tenir un langage que ce Père n'a jamais tenu en aucun endroit; mais un langage tout contraire: passage de saint Chrysostome, homélie vi sur les Philippiens.

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CHAP. VI. Qu'au commencement du passage de saint Chrysostome, homélie 111 aux Hébreux, les deux personnes s'entendent clairement du Père et du Fils, et non pas du seul JésusChrist infidèle traduction de M. Simon. 112

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CHAP. VII. De deux leçons du texte de saint | CHAP. IV. Hérésie formelle du même auteur sur

113

Chrysostome également bonnes, M. Simon,
sans raison, a préféré celle qui lui donnoit
lieu d'accuser ce saint docteur.
CHAP. VIII. Que si saint Chrysostome avoit parlé
au sens que lui attribue M. Simon, ce pas-
sage auroit été relevé par les ennemis de ce
Père, ou par les partisans de Nestorius, ce
qui n'a jamais été.
ib.
CHAP. IX. Que Théodore et Nestorius ne par-
loient pas eux-mêmes le langage qu'on veut
que saint Chrysostome ait eu commun avec

eux.

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CHAP. X. Passage de saint Athanase sur la
signification du mot de personnes en Jésus-
Christ.
CHAP. XI. M. Simon emploie contre les Pères,
et même contre les plus grands, les ma-
nières les plus dédaigneuses et les plus mo-
queuses.
118
CHAP. XII. Pour justifier les saints Pères, on
fait voir l'ignorance et le mauvais goût de
leur censeur dans sa critique sur Origène et
sur saint Athanase.

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CHAP. XIII. M. Simon avilit saint Chrysostome,
et le loue en haine de saint Augustin.
CHAP. XIV. Hilaire le diacre et Pélage l'héré-
siarque préférés à tous les anciens commen-
tateurs, et élevés sur les ruines de saint Am-
broise et de saint Jérôme.
CHAP. XV. Mépris du critique pour saint Au-
gustin, et affectation de lui préférer Maldo-
nat dans l'application aux Ecritures: amour
de saint Augustin pour les saints livres. 127
CHAP. XVI. Quatre fruits de l'amour extrême
de saint Augustin pour l'Ecriture: manière
admirable de ce saint à la manier juste.
louange de ce Père, et son amour pour la
vérité : combien il est injuste de lui préférer
Maldonat.

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CHAP. XVII. Après avoir loué Maldonat pour
déprimer saint Augustin, M. Simon frappe
Maldonat lui-même d'un de ses traits les plus
malins.

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CHAP. XVIII. Suite du mépris de l'auteur pour
saint Augustin: caractère de ce Père, peu
connu des critiques modernes exhortation
à la lecture des Pères.

:

SECONDE PARTIE.

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140

la grâce : qu'il n'en dit pas plus que Pélage
sur cette matière, et que M. Simon s'implique
dans son erreur, en le louant.
CHAP. V. M. Simon fait l'injure à saint Chry-
sostome de le mettre avec le diacre Hilaire au
nombre des persécuteurs du pélagianisme :
approbation qu'il donne à celle hérésie. 141
CHAP. VI. Que cet Hilaire, préféré par M. Si-
mon aux plus grands hommes de l'Eglise,
outre ses erreurs manifestes, est d'ailleurs
un foible auteur dans ses autres notes sur
saint Paul.
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CHAP. VII. Que notre critique affecte de don-
ner à la doctrine de Pélage un air d'anti-
quité: qu'il fait dire à saint Augustin que
Dieu est cause du péché : qu'il lui préfère
Pélage, et que partout il excuse cet héré-
siarque.

143

CHAP. VIII. Que s'opposer à saint Augustin sur
la matière de la grâce, comme fait M. Si-
mon, c'est s'opposer à l'Eglise, et que le
P. Garnier démontre bien cette vérité. 145
CHAP. IX. Que dès le commencement de l'hé-
résie de Pélage toute l'Eglise tourna les yeux
vers saint Augustin, qui fut chargé de dé-
noncer aux nouveaux hérétiques dans un
sermon à Carthage leur future condamnation,
et que loin de rien innover, comme l'en ac-
cuse l'auteur, la foi ancienne fut le fonde-
ment qu'il posa d'abord.

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CHAP. x. Dix évidentes demonstrations que
saint Augustin, loin de passer de son temps
pour novateur, fut regardé par toute l'E-
glise comme le défenseur de l'ancienne et
véritable doctrine. Les six premières démon-
strations.

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CHAP. XI. Septième, huitième et neuvième dé-
monstration. Saint Augustin écrit par l'ordre
des papes contre les pélagiens, leur envoie
ses livres, les soumet à la correction du Saint-
CHAP. XII. Dixième démonstration et plusieurs
Siége, et en est approuvé.
preuves constantes que l'Orient n'avoit pas
moins en vénération la doctrine de saint Au-
gustin contre Pélage, que l'Occident: actes
de l'assemblée des prêtres de Jérusalem :
saint Augustin attentif à l'Orient comme à
l'Occident: pourquoi il est invité en particu-
lier au concile œcuménique d'Ephèse. 149

Erreurs sur la matière du péché originel et CHAP. XIII. Combien la pénétration de saint

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CHAP. XX. Quatrième contestation sur la matière de la grâce, à l'occasion de Luther et de Calvin qui outroient la doctrine de saint Augustin; le concile de Trente n'en résout pas moins la difficulté par les propres termes de ce Père.

160 CHAP. XXI. L'autorité de saint Augustin et de saint Prosper, son disciple, entièrement établie autorité de saint Fulgence combien révérée; ce Père regardé comme un second saint Augustin.

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161 CHAP. XXII. Tradition constante de tout l'Occident en faveur de l'autorité et de la doctrine de saint Augustin: l'Afrique, l'Espagne, les Gaules, saint Césaire en particulier, l'église de Lyon, les autres docteurs de l'Eglise gallicane, l'Allemagne, Haimon et Rupert, l'Angleterre et le vénérable Bède, l'Italie et Rome. CHAP. XXIII. Si après tous ces témoignages il est permis de ranger saint Augustin parmi les novateurs que c'est presque autant que le ranger au nombre des hérétiques, ce qui fait horreur à Facundus et à toute l'Eglise. 163 CHAP. XXIV. Témoignage des ordres religieux, de celui de saint Benoit, de cleui de saint Dominique et de saint Thomas, de celui de saint François et de Scot, Saint Thomas recommandé par les papes, pour avoir suivi saint Augustin: concours de toute l'Ecole : le maître des sentences. 164

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CHAP. IV. Paralogisme perpétuel de M. Simon qui tronque les règles de Vincent de Lérins sur l'antiquité et l'universalité. CHAP. V. Illusion de M. Simon et des critiques modernes, qui veulent que l'on trouve la vérité plus pure dans les écrits qui ont précédé les disputes exemples de saint Augustin, qui, selon eux, a mieux parlé de la grâce avant qu'il en disputât contre Pélage. ib. CHAP. VI. Aveuglement de M. Simon, qui, par la raison qu'on vient de voir, préfère les sentiments que saint Augustin a rétractés à ceux qu'il a établis en y pensant mieux : le critique ouvertement semi-pélagien. 171 CHAP. VII. M. Simon a puisé ses sentiments ma› nifestement hérétiques d'Arminius et de Grotius.

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CHAP. IX. Témoignage que saint Augustin a rendu à la vérité avant la dispute. Ignorance de Grotius et de ceux qui accusent ce Père de n'avoir produit ses derniers sentiments que dans la chaleur de la dispute. CHAP. X. Quatre états de saint Augustin. Le premier incontinent après sa conversion et avant tout examen de la question de la grâce: pureté de ses sentiments dans ce premier état passage du livre de l'Ordre, de celui des Soliloques, et avant tout cela du livre contre les académiciens. 178 CHAP. XI. Passage du livre des Confessions. 180 CHAP. XII. Saint Augustin, dans ses premières lettres et dans ses premiers écrits, a tout donné à la grace passages de ce Père dans les trois livres du Libre Arbitre; passage conforme à ceux-là dans le livre des Mérites et de la Rémission des péchés. Reconnoissance que la doctrine des livres du Libre Arbitre étoit pure, par un passage des Rétractations, et un du livre de la Nature et de la Grâce.

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CHAP. XIII. Réflexions sur ce premier état de saint Augustin: passage au second, qui fut celui où il commença à examiner, mais encore imparfaitement, la question de la grâce : erreur de saint Augustin dans cet état, et en quoi elle consistoit.

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CHAP. XIV. Saint Augustin ne tomba dans cette erreur que dans le temps où il commença à étudier cette question, sans l'avoir encore bien approfondie.

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CHAP. XV. Saint Augustin sort bientôt de son erreur par le peu d'attachement qu'il avoit à son propre sens, et par les consultations qui

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