Collection complette des oeuvres de M. de Voltaire..1771 |
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... traits Dans le plus éclatant de fes faibles portraits . Nous adorons en eux , sa splendeur éternelle . Zoroastre embrafé des flammes d'un faint zèle Nous enfeigna ce Dieu que vous méconnaissez , Que par des Dieux fans nombre en vain ...
... traits Dans le plus éclatant de fes faibles portraits . Nous adorons en eux , sa splendeur éternelle . Zoroastre embrafé des flammes d'un faint zèle Nous enfeigna ce Dieu que vous méconnaissez , Que par des Dieux fans nombre en vain ...
Page 30
... traits intéreffans ? Vivez , ô noble objet ! ce cœur vous en conjure . J'en attefte cet aftre & fa lumière pure , Lui par qui je vous vois & que vous révérés ; S'il eft facré pour vous , vos jours font plus facrés ; Et je perdrai ma ...
... traits intéreffans ? Vivez , ô noble objet ! ce cœur vous en conjure . J'en attefte cet aftre & fa lumière pure , Lui par qui je vous vois & que vous révérés ; S'il eft facré pour vous , vos jours font plus facrés ; Et je perdrai ma ...
Page 46
... traits que la nature imprima fur fon front ; Tout me dit , c'est fon frère . LE JEUNE ARZÉMON . Oui , je le fuis . IRADAN , Arrête Garde un profond filence , il y va de ta tête . LE JEUNE ARZEM ON , Je te l'apporte , frappe , IRADA N ...
... traits que la nature imprima fur fon front ; Tout me dit , c'est fon frère . LE JEUNE ARZÉMON . Oui , je le fuis . IRADAN , Arrête Garde un profond filence , il y va de ta tête . LE JEUNE ARZEM ON , Je te l'apporte , frappe , IRADA N ...
Page 63
... traits , Et créer le malheur , ainsi que les forfaits ! Eft - il ton ennemi ? Que fa puiffance affreuse Arrache donc la vie à cette malheureufe . J'espère encore en toi ; j'espère que la mort Ne pourra malgré lui détruire tout mon fort ...
... traits , Et créer le malheur , ainsi que les forfaits ! Eft - il ton ennemi ? Que fa puiffance affreuse Arrache donc la vie à cette malheureufe . J'espère encore en toi ; j'espère que la mort Ne pourra malgré lui détruire tout mon fort ...
Page 78
... traits qu'une mère expirante A tracés devant moi d'une main défaillante . IRADAN . Du fang que j'ai perdu mes yeux font affaiblis , Et ma main tremble trop : tien , mon frère , prends , lis , CESÈNE . Oui , c'eft ta tendre époùfe : ô ...
... traits qu'une mère expirante A tracés devant moi d'une main défaillante . IRADAN . Du fang que j'ai perdu mes yeux font affaiblis , Et ma main tremble trop : tien , mon frère , prends , lis , CESÈNE . Oui , c'eft ta tendre époùfe : ô ...
Table des matières
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Expressions et termes fréquents
affez affurer aimable aime ainfi amours arts ARZAME Athalie auffi avez beau belle brillant c'eft C'eſt Céfar CESÈNE chanter charmant cher chofe ciel cœur daigne defirs deftin DIEU Dieux difait difcours efprit encens enfans eſt facré fage faifait faint fang fans doute fatyre favez favoir fecret feigneur fein féjour fens fentiment fera fervir feul fiècle fœur foins foit foldats foleil fommes font fots fous fouvent frère fublime fuis fuivant fujet fur-tout gloire goût graces Hélas héros heureux homme humains IRADAN j'ai JEUNE ARZÉMON jours jufqu'à jufte l'amour l'efprit laiffa lettre loix long-tems madame main maître majefté malheureux MÉGATIS MÉGATISE Melpomène miniftre monde monfieur mort n'eft n'eſt ouvrage paffer parler penfer perfécuteurs perfonne peuple philofophe plaifir plaifirs plaire Pluton Poéfies préfent prêtres prince qu'un raifon refpectable refte rien rois s'eft ſes ſon talens tems trifte tyrans VIEIL ARZÉMON vois voix yeux
Fréquemment cités
Page 320 - Un sein d'albâtre, et de beaux yeux. Avec tant d'attraits précieux, Hélas! qui n'eût été friponne? Tu le fus, objet gracieux, Et, que l'amour me le pardonne, Tu sais que je t'en aimais mieux.
Page 321 - ... tissus la Savonnerie, Ceux que les Persans ont ourdis, Et toute votre orfèvrerie, Et ces plats si chers que Germain A gravés de sa main divine, Et ces cabinets où Martin A surpassé l'art de la Chine; Vos vases japonais et blancs, Toutes ces fragiles merveilles; Ces deux lustres de diamants Qui pendent à vos deux oreilles; Ces riches carcans, ces colliers, Et cette pompe enchanteresse, Ne valent pas un des baisers Que tu donnais dans ta jeunesse.
Page 288 - Quoi! pour toujours vous me fuyez, Tendresse, illusion, folie, Dons du ciel qui me consoliez Des amertumes de la vie ! On meurt deux fois, je le vois bien ; Cesser d'aimer et d'être aimable.
Page 287 - Si vous voulez que j'aime encore, Rendez-moi l'âge des amours; Au crépuscule de mes jours Rejoignez, s'il se peut, l'aurore. Des beaux lieux où le dieu du vin Avec l'Amour tient son empire, Le Temps, qui me prend par la main, M'avertit que je me retire. De son inflexible rigueur Tirons au moins quelque avantage, Qui n'a pas l'esprit de son âge, De son âge a tout le malheur.
Page 272 - Quand de guerriers mourants les sillons sont couverts,. Tous ceux qu'épargna la foudre, Voyant rouler dans la poudre Leurs compagnons massacrés , Sourds à la pitié timide, Marchent d'un pas intrépide ^ Sur leurs membres déchirés; Ces féroces humains, plus durs, plus inflexibles Que l'acier qui les couvre au milieu des combats , S'étonnent à la fin de devenir...
Page 101 - Moi, je rends grâce à la nature sage Qui, pour mon bien, m'a fait naître en cet âge Tant décrié par nos tristes frondeurs: Ce temps profane est tout fait pour mes mœurs.
Page 109 - Ainsi l'on voit en Angleterre, en France, Par cent canaux circuler l'abondance. Le goût du luxe entre dans tous les rangs : Le pauvre y vit des vanités des grands; Et le travail, gagé par la mollesse, S'ouvre à pas lents la route à la richesse.
Page 109 - Sachez surtout que le luxe enrichit Un grand État, s'il en perd un petit. Cette splendeur, cette pompe mondaine , D'un règne heureux est la marque certaine.
Page 124 - C'est ici que l'on dort sans lit, Et qu'on prend ses repas par terre; Je vois et j'entends l'atmosphère Qui s'embrase et qui retentit De cent décharges de tonnerre; Et dans ces horreurs de la guerre Le Français chante, boit, et rit. Bellone va réduire en cendres Les courtines de Philisbourg, Par cinquante mille Alexandres Payés à quatre sous par jour...
Page 393 - J'ai vu cette déesse altière, Avec égalité répandant tous les biens, Descendre de Morat en habit de guerrière, Les mains teintes du sang des fiers Autrichiens Et de Charles le Téméraire. Devant...