Shakespeare et l'antiquité: Drames et poémes antiques de ShakespeareLibrairie Fischbacher, 1884 |
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... connaissance de son théâtre ; et enfin de M. Phila- rète Chasles , qui le définit ainsi : » Un sceptique , frère de Montaigne , observateur calme et souvent cruel » ? Quand on veut étudier Molière , on prend une édition quelconque de ...
... connaissance de son théâtre ; et enfin de M. Phila- rète Chasles , qui le définit ainsi : » Un sceptique , frère de Montaigne , observateur calme et souvent cruel » ? Quand on veut étudier Molière , on prend une édition quelconque de ...
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... connaissance du grec et du latin , sont versés dans l'italien , l'espagnol et le français . Le même auteur nous a laissé le tableau suivant de la cour : « Un étranger entrant à l'improviste dans la cour d'An- gleterre se croira plutôt ...
... connaissance du grec et du latin , sont versés dans l'italien , l'espagnol et le français . Le même auteur nous a laissé le tableau suivant de la cour : « Un étranger entrant à l'improviste dans la cour d'An- gleterre se croira plutôt ...
Page 29
... connaissance partielle de l'antiquité commence à se répandre en Angleterre , on y remarque une amélioration sensible dans l'art dramatique . Sous le règne d'Édouard VI ou de Marie Tudor ( on ne 2 sait pas exactement la date ) , fut ...
... connaissance partielle de l'antiquité commence à se répandre en Angleterre , on y remarque une amélioration sensible dans l'art dramatique . Sous le règne d'Édouard VI ou de Marie Tudor ( on ne 2 sait pas exactement la date ) , fut ...
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... connaissance de cause et en toute liberté . Il aurait pu , s'il l'avait jugé bon , fonder en Angleterre le théâtre classique , de même que Corneille , quand il conçut la première idée du Cid , pouvait , avec un peu d'audace , fonder le ...
... connaissance de cause et en toute liberté . Il aurait pu , s'il l'avait jugé bon , fonder en Angleterre le théâtre classique , de même que Corneille , quand il conçut la première idée du Cid , pouvait , avec un peu d'audace , fonder le ...
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... connaissance suprême , la fin de toute science terrestre , est la vertu . L'art le plus propre à servir à cette fin est donc le mieux qualifié pour être appelé prince de tous les autres . Et Sidney va montrer que la poésie est précisé ...
... connaissance suprême , la fin de toute science terrestre , est la vertu . L'art le plus propre à servir à cette fin est donc le mieux qualifié pour être appelé prince de tous les autres . Et Sidney va montrer que la poésie est précisé ...
Expressions et termes fréquents
Achille acte admirateurs Agamemnon Ajax Alcibiade amour anachronismes anglais Antipholus Apémantus Apollonius auteurs beau belle Ben Jonson Benoît de Sainte-More Boccace Briséida Calchas Cassandre Chaucer chose cœur Comédie des Méprises comique critique d'Achille d'Hector d'Homère Darès Dictys dieux Diomède dire docteur Farmer dramatique drame écrit Énée esprit femme fille génie Gervinus Gorboduc goût Grecs guerre de Troie Hamlet Hector Hélicanus héros Homère homme imité jeune Jonson kespeare l'antiquité classique l'art l'auteur l'esprit l'histoire l'Iliade latin Lear légende littéraire littérature Lucrèce Ménechme ment misanthrope monde moyen âge Nestor œuvres Pandarus passer passion peare pensée Périclès personnages Philip Sidney philosophe pièce de Shakespeare Plaute poème poésie poète poétique première Priam prince de Tyr prologue qu'un rien roman scène seigneur Sénèque sentiment seulement Shakes sujet Tharse théâtre de Shakespeare Thersite Timon d'Athènes tion Titus Andronicus traduction tragédie trait Troïlus Troilus et Cressida trouve Troyens Ulysse Vénus et Adonis Virgile Voilà XVIe siècle
Fréquemment cités
Page 99 - L'arbre la boit par sa racine, La mer salee boit le vent, Et le Soleil boit la marine. Le Soleil est beu de la Lune, Tout boit soit en haut ou en bas : Suivant ceste reigle commune, Pourquoy done ne boirons-nous pas ? Edit.
Page 211 - Qui peut-être te livre aux mains des assassins. Tu vois , ma Stratonice , en quel siècle nous sommes : Voilà notre pouvoir sur les esprits des hommes; Voilà ce qui nous reste, et l'ordinaire effet De l'amour qu'on nous offre , et des vœux qu'on nous fait. Tant qu'ils ne sont qu'amants nous sommes souveraines , Et jusqu'à la conquête ils nous traitent de reines ; Mais après l'hyménée ils sont rois à leur tour.
Page 92 - N'allez-vous pas dans le temple du Goût Vous décrasser? Nous , messieurs ? point du tout ; Ce n'est pas là , grâce au ciel , notre étude : Le goût n'est rien ; nous avons l'habitude De rédiger au long de point en point Ce qu'on pensa; mais nous ne pensons point.
Page 149 - Les personnages tragiques doivent être regardés d'un autre œil que nous ne regardons d'ordinaire les personnages que nous avons vus de si près. On peut dire que le respect que l'on a pour les héros augmente à mesure qu'ils s'éloignent de nous : major e longinquo reverentia.
Page 149 - L'éloignement des pays répare en quelque sorte la trop grande proximité des temps. Car le peuple ne met guère de différence entre ce qui est, si j'ose ainsi parler, à mille ans de lui, et ce qui en est à mille lieues.
Page 109 - Therefore doth heaven divide The state of man in divers functions, Setting endeavour in continual motion ; To which is fixed, as an aim or butt, Obedience : for so work the...
Page 106 - Un mariage ne lui coûte rien à contracter; il ne se sert point d'autres pièges pour attraper les belles; et c'est un épouseur à toutes mains. Dame, demoiselle, bourgeoise, paysanne, il ne trouve rien de trop chaud ni de trop froid pour lui...
Page 365 - On dirait véritablement que l'histoire littéraire, comme la nature, à la veille d'une grande création, au moment où elle va enfanter et produire un grand individu nouveau, s'essaye et prélude par des ébauches moindres, par des moules préparatoires un peu indécis, mais approchants, qui donnent déjà quelque idée du prochain génie, mais qui, à son apparition, se brisent comme inutiles avant de s'achever et de s'accomplir.
Page 44 - Il se moque des auteurs qui, dans la même pièce, « montrent le même personnage au berceau, homme fait et vieillard de soixante ans, qui avec trois épées rouillées et des mots longs d'une toise, font défiler devant vous toutes les guerres d'York et de Lancastre, qui tirent des pétards pour effrayer les dames, étalent des trônes disjoints pour amuser les enfants 1.