Rudiments de la langue hindoui

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Imprimé par autorisation du roi à l'Impr. royale, 1847 - 100 pages
 

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Page 20 - Alors le père lui dit : Mon fils, vous êtes toujours avec moi, et tout ce que j'ai est à vous ; Mais il fallait faire festin et nous réjouir, parce que votre frère était mort, et il est ressuscité ; il était perdu, et il est retrouvé.
Page 19 - Un homme avait deux fils, 12. dont le plus jeune dit à son père : mon père, donnez-moi ce qui doit me revenir de votre bien. Et le père leur fit le partage de son bien.
Page 19 - Peu de jours après , le plus jeune de ces deux enfans , ayant amassé tout ce qu'il avait , s'en alla dans un pays étranger fort éloigné , où il dissipa tout son bien en excès et en débauches.
Page 19 - Il appela donc un des serviteurs, et lui demanda ce que c'était. 27. Le serviteur lui répondit : C'est que votre frère est revenu ; et votre père a tué le veau gras, parce qu'il le revoit en santé.
Page 19 - Alors le père dit à ses serviteurs : Apportez promptement la plus belle robe et l'en revêtez ; et mettez-lui un anneau au doigt, et des souliers aux pieds.
Page 19 - Il faut que je me lève et que j'aille trouver mon père, et que je lui dise : Mon père, j'ai péché contre le ciel et contre vous ; 19. Et je ne suis plus digne d'être appelé votre fils ; traitezmoi comme l'un des serviteurs qui sont à vos gages.
Page 20 - Voilà déjà tant d'années que je » vous sers, et je ne vous ai jamais désobéi en » rien de ce que vous m'avez commandé , et • cependant vous ne m'avez jamais donné un » chevreau pour me réjouir avec mes amis...
Page 19 - Enfin, étant rentré en lui-même, il dit : Combien y at-il chez mon père de serviteurs à gages qui ont plus de pain qu'il ne en leur faut; et moi, je meurs ici de faim ! 18.
Page 19 - Sur quoi, prenant la parole, il dit à son père : « Voilà déjà tant d'années que je vous sers, et je ne vous ai jamais désobéi en rien de ce que vous m'avez commandé ; et cependant vous ne m'avez jamais donné un chevreau pour me réjouir avec mes amis : mais aussitôt que votre autre fils, qui a mangé son bien avec des femmes perdues, est revenu, vous avez tué pour lui le veau gras.
Page 19 - II partit donc et vint trouver son père. Lorsqu'il était encore bien loin , son père l'aperçut et en fut touché de compassion ; et , courant à lui , il se jeta à son cou et le baisa.

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