La Henriade en dix chants, précédée, accompagnée, & suivie de toutes les piéces rélatives à ce poëme & à la poësie Epique en général; auxquelles on a joint, Le temple du gout ; Les discours sur l'homme ; Les poëmes de Fontenoy sur le desastre de Lisbonne, sur la loi naturelle, &c, &cPlomteux, 1771 - 446 pages |
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... Dieu dont la fageffe ineffable & profonde , Forme , éléve , & détruit les empires du monde , De fon trône enflammé ... Dieu le rejoindre à jamais . Ce Dieu qu'il adorait , prit soin de fa vieilleffe , 210. Il fit dans fon défert ...
... Dieu dont la fageffe ineffable & profonde , Forme , éléve , & détruit les empires du monde , De fon trône enflammé ... Dieu le rejoindre à jamais . Ce Dieu qu'il adorait , prit soin de fa vieilleffe , 210. Il fit dans fon défert ...
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... Dieu feul attendant mon appui , J'ignore les fentiers qui mènent jusqu'à lui ? Hélas ! un Dieu fi bon , qui de l'homme eft le maître , 230. En eût été fervi , s'il avait voulu l'être . De Dieu , dit le vieillard ; adorons les deffeins ...
... Dieu feul attendant mon appui , J'ignore les fentiers qui mènent jusqu'à lui ? Hélas ! un Dieu fi bon , qui de l'homme eft le maître , 230. En eût été fervi , s'il avait voulu l'être . De Dieu , dit le vieillard ; adorons les deffeins ...
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... Dieu de vos pères ; Vous verrez qu'un coeur droit peut espérer en lui . Allez , qui lui reffemble eft für de fon appui . Chaque , mot qu'il disait était un trait de flamme , Qui pénétrait Henri jufqu'au fond de fon ame . 275. Il fe crut ...
... Dieu de vos pères ; Vous verrez qu'un coeur droit peut espérer en lui . Allez , qui lui reffemble eft für de fon appui . Chaque , mot qu'il disait était un trait de flamme , Qui pénétrait Henri jufqu'au fond de fon ame . 275. Il fe crut ...
Page 22
Voltaire. Ne fert un Dieu de paix que par des homicides . Plût à ce Dieu puiffant dont je cherche la loi , Que la cour des Valois eût penfé comme moi ! 25. Mais l'un & l'autre Guise b ) ont eu moins de fcrupule . Ces chefs ambitieux d'un ...
Voltaire. Ne fert un Dieu de paix que par des homicides . Plût à ce Dieu puiffant dont je cherche la loi , Que la cour des Valois eût penfé comme moi ! 25. Mais l'un & l'autre Guise b ) ont eu moins de fcrupule . Ces chefs ambitieux d'un ...
Page 24
... Dieu ! Dieu vengeur que j'attefte , ? Que de fang arrofa fon olive funefte ! 135. Ciel , faut - il voir ainfi les maîtres des humains , Du crime à leurs fujets applanir les chemins ! Coligny dans fon coeur à fon Prince fidelle , Aimait ...
... Dieu ! Dieu vengeur que j'attefte , ? Que de fang arrofa fon olive funefte ! 135. Ciel , faut - il voir ainfi les maîtres des humains , Du crime à leurs fujets applanir les chemins ! Coligny dans fon coeur à fon Prince fidelle , Aimait ...
Expressions et termes fréquents
affaffins affez affurément ainfi auffi bataille d'Ivry Bourbon c'eft C'eſt chant Charles IX chofe Chrêtiens Ciel Cieux cœur combats compofé Confeil deffeins deftin déja Dieu Dieux difait Difcorde difcours Duc de Mayenne édition efprits enfans ennemis eſt facrés fage faibleffe faifait fang fans favant fecours fecret fein femble fens fentiment fervir fes yeux feul fiécle foit foldats fon père font fous fouvent fuis fuivi fujet fureur furtout gloire goût grace guerre Guife Henri Henri III Henri IV Henriade Héros Homère homme Jacques Clément jufte l'amour l'Auteur l'édition de 1723 l'efprit l'Iliade laiffe Ligue Ligueurs loix longtems lorfque Louis Lucain main malheureux Mayenne monftre mort n'eft paffer paffions penfe perfonne peuple Philofophe plaifir plaifirs plufieurs Poëfie Poëme épique Poëte préfent prefque Prince puiffant raifon refpect refte Rois Rome s'eft ſes ſon Temple tems toûjours trifte trône Valois vertu Virgile voix Voltaire
Fréquemment cités
Page 307 - II joignit l'art de plaire au malheur de médire : Le miel que cette abeille avait tiré des fleurs Pouvait de sa piqûre adoucir les douleurs; Mais pour un lourd frelon méchamment imbécile ', Qui vit du mal qu'il fait, et nuit sans être utile, On écrase à plaisir cet insecte orgueilleux, Qui fatigue l'oreille et qui choque les yeux.
Page 416 - C'est l'effet des éternelles lois Qui d'un Dieu libre et bon nécessitent le choix? » Direz-vous, en voyant cet amas de victimes : « Dieu s'est vengé, leur mort est le prix de leurs crimes?
Page 312 - Ce pain, cet aliment dans mon corps digéré, Se transforme en un lait doucement préparé ? Comment, toujours filtré dans...
Page 26 - Et de mon sang glacé souillez ces cheveux blancs Que le sort des combats respecta quarante ans. Frappez, ne craignez rien: Coligny vous pardonne; Ma- vie est peu de chose et je vous l'abandonne; J'eusse aimé mieux la perdre en combattant pour vous!
Page 421 - Tout se plaint, tout gémit en cherchant le bien-être : Nul ne voudrait mourir, nul ne voudrait renaître. Quelquefois, dans nos jours...
Page 431 - Non ; le Dieu qui m'a fait ne m'a point fait en vain: Sur le front des mortels il mit son sceau divin. Je ne puis ignorer ce qu'ordonna mon maître; II m'a donné sa loi, puisqu'il m'a donné l'être.
Page 311 - La raison te conduit ; avance à sa lumière ; Marche encor quelques pas, mais borne ta carrière. Au bord de l'infini ton cours doit s'arrêter ; Là commence un abîme, il le faut respecter.
Page 314 - Plus d'amour ; et l'ennui détruisait l'univers. Un dieu qui prit pitié de la nature humaine Mit auprès du Plaisir le Travail et la Peine : La Crainte l'éveilla, l'Espoir guida ses pas ; Ce cortège aujourd'hui l'accompagne ici-bas.
Page 421 - Au sein de l'infini nous élançons notre être, Sans pouvoir un moment nous voir et nous connaître. Ce monde, ce théâtre et d'orgueil et d'erreur, Est plein d'infortunés qui parlent de bonheur.
Page 421 - Je ne m'élève point contre la Providence. Sur un ton moins lugubre on me vit autrefois Chanter des doux plaisirs les séduisantes...