Élémens de grammaire générale: appliqués a la langue française, Volume 1Deterville, 1801 |
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... lui firent conclure , avec raison , qu'il existoit des qualités ; qu'il falloit les généraliser et les considérer indépendamment des substances qu'elles modifioient ; de là , l'idée du modi- ficatif viij INTRODUCTION .
... lui firent conclure , avec raison , qu'il existoit des qualités ; qu'il falloit les généraliser et les considérer indépendamment des substances qu'elles modifioient ; de là , l'idée du modi- ficatif viij INTRODUCTION .
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... raison du manque de conjonction dans cette lan- gue , est la même que celle qui réduit sa con- jugaison aux trois temps absolus . Eh ! quel besoin auroit de conjonctions un peuple qui compare lentement les idées , et toujours , une à ...
... raison du manque de conjonction dans cette lan- gue , est la même que celle qui réduit sa con- jugaison aux trois temps absolus . Eh ! quel besoin auroit de conjonctions un peuple qui compare lentement les idées , et toujours , une à ...
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... raison , la parole nous montre tous les degrés d'un art , dans sa naissance , dans ses accroissemens successifs , et dans son perfectionnement . Une faculté si peu avancée dans les uns , et si perfectionnée dans les autres , ne sauroit ...
... raison , la parole nous montre tous les degrés d'un art , dans sa naissance , dans ses accroissemens successifs , et dans son perfectionnement . Une faculté si peu avancée dans les uns , et si perfectionnée dans les autres , ne sauroit ...
Page xxvii
... raison de la faculté de la parole , qu'en attri- buant ce sublime bienfait à la toute - puissance du Créateur . Voici comment il entre en ma- tière , à la première page de son livre : ( < DIEU , qui avoit destiné l'homme à ...
... raison de la faculté de la parole , qu'en attri- buant ce sublime bienfait à la toute - puissance du Créateur . Voici comment il entre en ma- tière , à la première page de son livre : ( < DIEU , qui avoit destiné l'homme à ...
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... raison pour ne pas l'écrire à la suite du nom , à la manière des Français et des Italiens ; ou avant le nom , à la manière des Anglais . Mais n'étant plus renfermée dans le cadre du nom , elle n'en étoit plus affirmée : il fallut re ...
... raison pour ne pas l'écrire à la suite du nom , à la manière des Français et des Italiens ; ou avant le nom , à la manière des Anglais . Mais n'étant plus renfermée dans le cadre du nom , elle n'en étoit plus affirmée : il fallut re ...
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Elémens de grammaire générale, appliqués à la langue française, Volume 1 Sicard Affichage du livre entier - 1799 |
Expressions et termes fréquents
action adjectifs adverbes affirme ANTER appelle appelle-t-on arriver articles avoient avoit battre Beauzée Casus Chanter chose classe comparatif défini antérieur complément composé conjonction conjugaison connoître consonnes craindre déclinaisons latines défini antérieur périodique défini antérieur simple dénomination déterminer devoir Dieu diphthongues dire dusse élémens elliptique énoncer énonciation ERDRE espèce étoient étoit exemple exprimer forme Futur positif défini Futur prochain défini genre Grammaire Grammairiens homme idées indéfini indique interjections j'ai J'aurois J'avois J'eus jugemens l'adjectif l'adverbe l'article l'esprit l'homme l'infinitif langue Latins lettres manière ment mots nom substantif objets parole Passé comparatif défini Passé positif défini Passé prochain défini pensée personne phrase plaire pluriel porter positif défini antérieur positif défini postérieur pourroit premier première conjugaison préposi préposition Présent défini antérieur Présent défini postérieur prochain défini antérieur pronoms propositions conjonctives rapport répandre seroit sert signe signifie sition sorte sujet SUPIN syllabe terminaison tion troisième conjugaison venois verbe viendrois viens vinsse voyelles
Fréquemment cités
Page 391 - Même elle avait encor cet éclat emprunté Dont elle eut soin de peindre et d'orner son visage Pour réparer des ans l'irréparable outrage. Tremble...
Page 392 - Pour moi, que tu retiens parmi ces infidèles, Tu sais combien je hais leurs fêtes criminelles, Et que je mets au rang des profanations Leur table, leurs festins et leurs...
Page 387 - Dieu ! cria Turenne, arbitre de mon roi, Descends, juge sa cause, et combats avec moi : Le courage n'est rien sans ta main protectrice ; J'attends peu de moi-même, et tout de ta justice.
Page viii - C'est de lui (Cadmus) de qui nous vient cet art ingénieux De peindre la parole et de parler aux yeux, Et, par des traits divers de figures tracées, Donner de la couleur et du corps aux pensées.
Page 373 - Mon repos, mon bonheur semblait être affermi; Athènes me montra mon superbe ennemi. Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler.
Page 385 - Qui ne le dit tous les jours dans le siècle ? une fatale révolution , une rapidité que rien n'arrête , entraîne tout dans les abîmes de l'éternité : les siècles , les générations , les empires , tout va se perdre dans ce gouffre ; tout y entre , et rien n'en sort. Nos ancêtres nous en ont frayé le chemin , et nous allons le frayer dans un moment à ceux qui viennent après nous. Ainsi les âges se renouvellent ; ainsi la figure du monde change sans cesse ; ainsi les morts et les vivants...
Page 377 - Moïse à Pharaon parut moins formidable. Reine, sors, at-il dit, de ce lieu redoutable, D'où te bannit ton sexe et ton impiété. Viens-tu du Dieu vivant braver la majesté?
Page 179 - Je ne t'ai point aimé, cruel! Qu'ai-je donc fait? J'ai dédaigné pour toi les vœux de tous nos princes ; Je t'ai cherché moi-même au fond de tes provinces; J'y suis encor, malgré tes infidélités, Et malgré tous mes Grecs, honteux de mes bontés...
Page 388 - Dans le centre éclatant de ces orbes immenses Qui n'ont pu nous cacher leur marche et leurs distances, Luit cet astre du jour par Dieu même allumé, Qui tourne autour de soi sur son axe enflammé.
Page 385 - Nos ancêtres nous en ont frayé le chemin, et nous allons le frayer dans un moment à ceux qui viennent après nous. Ainsi les âges se renouvellent ; ainsi la figure du monde change sans cesse ; ainsi les morts et les vivants se succèdent et se remplacent continuellement. Rien ne demeure , tout s'use, tout s'éteint. Dieu seul est toujours le même , et ses années ne finissent point. Le torrent des âges et des siècles coule devant ses yeux...