Revue Generale1880 |
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... n'avait pas fini de distribuer ses livres et on lui avait dit que les colonies pénales et les mines où les cadeaux seraient dou- blement bienvenus , se trouvaient plus loin , à l'Est . La réflexion lui vint , cependant , qu'en ...
... n'avait pas fini de distribuer ses livres et on lui avait dit que les colonies pénales et les mines où les cadeaux seraient dou- blement bienvenus , se trouvaient plus loin , à l'Est . La réflexion lui vint , cependant , qu'en ...
Page 28
... n'avait parcouru ces parages comme j'ai pu le faire . Ce privilège , j'en ai communiqué le bénéfice au public en lui révélant tout ce que j'ai vu et entendu . J'ai trouvé que les choses étaient dans un meilleur état qu'on ne le suppose ...
... n'avait parcouru ces parages comme j'ai pu le faire . Ce privilège , j'en ai communiqué le bénéfice au public en lui révélant tout ce que j'ai vu et entendu . J'ai trouvé que les choses étaient dans un meilleur état qu'on ne le suppose ...
Page 34
... n'avait point le droit de cracher sur l'un des manitous de la révolution et de braver par là l'art de l'assassinat . S. G. ROBERT WALPOLE Sir Robert Walpole . A political biography , 34 L'ART DE L'ASSASSINAT EN ITALIE .
... n'avait point le droit de cracher sur l'un des manitous de la révolution et de braver par là l'art de l'assassinat . S. G. ROBERT WALPOLE Sir Robert Walpole . A political biography , 34 L'ART DE L'ASSASSINAT EN ITALIE .
Page 38
... n'avait d'autres enfants que deux filles , Marie et Anne . L'aînée , Marie , héritière présomptive de la couronne , était l'épouse de Guil- laume III , prince d'Orange . En 1688 , un fils étant né au roi , Guillaume chassa du trône son ...
... n'avait d'autres enfants que deux filles , Marie et Anne . L'aînée , Marie , héritière présomptive de la couronne , était l'épouse de Guil- laume III , prince d'Orange . En 1688 , un fils étant né au roi , Guillaume chassa du trône son ...
Page 44
... n'avait atteint un tel degré de splendeur . Une seule voix faisait enten- dre des critiques ; c'était Swift qui s'efforçait d'agiter la « gentry- et la haute - Eglise par des plaintes amères au sujet de la lourdeur des impôts fonciers ...
... n'avait atteint un tel degré de splendeur . Une seule voix faisait enten- dre des critiques ; c'était Swift qui s'efforçait d'agiter la « gentry- et la haute - Eglise par des plaintes amères au sujet de la lourdeur des impôts fonciers ...
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Expressions et termes fréquents
acres Angèle anglais avaient baronne Barval Belgique Bismarck c'était catholicisme catholique cause Chambre Charles Dilke chère chose Ciudad Rodrigo clergé cœur comte comtesse Congrès Conseil Constitution Constitution belge Curt Dahnow déclaration Degenthal demanda député dernier devant Dieu dire discussion dit-il enfant Eugène Éveline famille femme Fermand général gouvernement Grouchy Henri homme j'ai jamais jeune fille jour l'article l'Eglise l'empereur l'Etat laisser législation lettre libéral liberté libre-pensée livres lord main maison de Hanovre majorité Maltzen mariage Maurice membres ment mère Metternich ministres des cultes Mme Macallan Monteroche morale n'avait Napoléon nation Nora Olivia Parlement parlementaire parole passé pays pensée père personne peuple politique porte pouvoir premier président principe Prusse Pulteney question raison regard Reichstag religieuse reste rien Robert Walpole s'écria s'était saint Salamanque semble sentiment serait service seul shorthorns Sibérie sir Robert social société sorte Taneuville tion Tiumen traitements trouver Valclair vérité vote Walpole whigs yeux
Fréquemment cités
Page 646 - Nationale, considérant que l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des gouvernements, ont résolu d'exposer, dans .une déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l'homme...
Page 648 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.
Page 762 - Sa Sainteté, pour le bien de la paix et l'heureux rétablissement de la religion catholique, déclare que ni elle, ni ses successeurs, ne troubleront, en aucune manière, les acquéreurs des biens ecclésiastiques aliénés; et qu'en conséquence, la propriété de ces mêmes biens, les droits et revenus y attachés, demeureront incommutables entre leurs mains ou celles de leurs ayants cause.
Page 647 - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui; ainsi l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits; ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.
Page 647 - La Loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la Société. Tout ce qui n'est pas défendu par la Loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas.
Page 556 - Sa pensée n'osa aller plus loin. — Madame, il se porte bien de sa blessure. — II ya eu un combat ! Et mon fils ? — On ne lui répondit rien. — Ah ! mademoiselle, mon fils, mon cher enfant, répondez-moi, est-il mort ? — Madame, je n'ai point de paroles pour vous répondre.
Page 651 - . Voici donc le principe fondamental des lois politiques en fait de religion. Quand on est maître de recevoir dans un état une nouvelle religion , ou de ne la pas recevoir , il ne faut pas l'y établir; quand elle y est établie , il faut la tolérer.
Page 306 - La Commune de Paris, Considérant que le premier des principes de la République française est la liberté; Considérant que la liberté de conscience est la première des libertés ; Considérant que le budget des cultes est contraire au principe, puisqu'il impose les citoyens contre leur propre foi ; Considérant, en fait, que le clergé a été le complice des crimes de la monarchie contre la liberté. DÉCRÈTE : Art. 1".
Page 556 - Ah ! mon cher fils , est-il mort sur-le-champ ? n'at-il pas eu un seul moment? ah! mon Dieu! quel sacrifice! et là-dessus elle tombe sur son lit , et tout ce que la plus vive douleur peut faire, et par des convulsions, et par des évanouissements , et par un silence mortel , et par des cris étouffés , et par des larmes amères , et par des élans vers le ciel , et par des plaintes tendres et pitoyables , elle a tout éprouvé.
Page 558 - J'entends Théodecte de l'antichambre; il grossit sa voix à mesure qu'il s'approche; le voilà entré: il rit, il crie, il éclate; on bouche ses oreilles, c'est un tonnerre. Il n'est pas moins redoutable par les choses qu'il dit que par le ton dont il parle. Il ne s'apaise, et il ne revient de ce grand fracas que pour bredouiller des vanités et des sottises. Il a si peu d'égard au temps, aux personnes, aux bienséances, que chacun a son fait sans qu'il ait eu intention de le lui donner; il n'est...