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land gleichfalls starke Vorbereitungen traf, um auf preußischer Seite in die holländischen Angelegenheiten einzugreifen. Die erregten diplomatischen Verhandlungen führten schließlich mit Unterstützung der preußischen Diplomaten, Grafen v. d. Goltz und Baron v. Alvensleben, zu dem Vertrage vom 30. August 1787.1) Darin kamen Frankreich

1) Dieses Abkommen lautet:

Déclaration réciproque entre les cours de Versailles et de Londres, pour ne mettre en activité de part et d'autre que six vaisseaux de ligne; donnée à Versailles le 30. août 1787. (Martens, Recueil de traités", seconde édition, tome IV., Göttingen 1818, S. 279; Koch, „Table des Traités entre la France et les Puissances étrangères, Basle 1802, vol. II., S. 498.)

Sa Majesté Très Chrétienne et S. M. Britannique voulant consolider de plus en plus la bonne harmonie qui existe entre elles, ont jugé à propos, dans la position actuelle des affaires, de convenir que l'on ne préparera de part et d'autre aucun armement de mer au delà de l'établissement de paix, et que l'on ne fera aucune disposition pour mettre en mer un plus grand nombre de vaisseaux de ligne que les six dont l'armement a déjà été communiqué réciproquement, et que dans ce cas où l'un des deux souverains se trouverait dans la nécessité de faire à cet égard quelque arrangement différent, il ne pourra avoir lieu, qu'après un avertissement préalable.

A Versailles, le 30. août 1787.

Le Comte de Montmorin.
William Eden.

Déclarations réciproques des cours de Londres et de Versailles pour faire cesser les armements faits à l'occasion des troubles en Hollande. (Martens, Recueil de traités", seconde édition, tome IV, Göttingen 1818, S. 313, 314.)

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Déclaration

Les évènements qui ont lieu dans la République des Provinces-Unies, ne paraissant plus laisser aucun sujet de discussion, et encore moins de contestation, entre les deux Cours, les soussignés sont autorisés de demander, si l'intention de S. M. Très-Chrétienne est de donner des suites à la notification faite le 16. du mois de Septembre dernier, par le Ministre Plénipotentiaire de S. M. TrèsChrétienne, qui annonçant qu'on donnerait des secours en Hollande, a occasionné les armements maritimes de la part de S. M.; lesquels armements sont devenus réciproques.

Si la Cour de Versailles est disposée à s'expliquer sur cet objet, et sur la conduite à adopter vis-à-vis de la République, d'une manière conforme au désir qu'on a temoigné de part et d'autre, de conserver la bonne intelligence entre les deux Cours; et toujours entendu aussi, qu'il n'y ait aucune vue d'hostilité nulle part, en conséquence de ce qui s'est passé; Sa Majesté, toujours empressée de concourir avec les sentiments amicals de S. M. T.-C., conviendrait avec Elle, que les armements, et en général tous préparatifs de guerre, seraient discontinués de part et d'autre, et que les marines des deux nations seraient remises sur le pied de l'établissements de la paix, tel qu'il existait au premier Janvier de la présente année.

A Versailles, le 27. Oct. 1787.

Dorset. Wm. Eden.

und England überein, die Rüstungen nicht über den Friedensstand zu erhöhen und außer den sechs ausgerüsteten Linienschiffen keine weiteren Linienschiffe mehr einzureihen. Falls ein Kontrahent von diesen Bestimmungen abzuweichen gezwungen wäre, sollte dies nur nach vorheriger Mitteilung an die Gegenpartei geschehen dürfen.

Als bald darauf preußische Truppen in Holland eindrangen und den Erbstatthalter wieder in seine Rechte einsetzten, gab der französische Gesandte in London, Barthélemy, am 16. September 1787 die Erklärung ab, daß sich Frankreich das Recht vorbehalte, seinerseits Hilfe nach Holland zu senden und seine Rüstungen zu vergrößern. Das hatte auch eine Verstärkung der englischen Flotte zur Folge. Die diplomatischen Verhandlungen führten aber auch diesmal mit Unterstützung Preußens zu einer freundlichen Übereinkunft vom 27. Oktober 1787, worin die Mächte beschlossen, ihre Rüstungen wieder herabzusetzen, und zwar auf den Stand vom 1. Januar 1787. Das Flottenabkommen war im wesentlichen nur zur Beseitigung eines augenblicklichen Wettrüstens getroffen worden und verlor durch die Erledigung der holländischen Angelegenheiten seine Bedeutung.

Contre-Déclaration

L'intention de S. M. n'étant pas, et n'ayant jamais été, de s'immiscer par la force dans les affaires de la République des Provinces-Unies, la communication faite à la Cour de Londres, le 16. du Mois dernier, par Mr. Barthélemy, n'ayant eu d'autre objet, que d'annoncer à cette Cour une intention, dont les motifs n'existent plus, surtout depuis que le Roi de Prusse a fait part de la résolution; S. M. ne fait aucune difficulté de déclarer, qu'Elle ne veut donner aucune suite à la déclaration ci-dessus mentionnée, et qu'Elle ne conserve nulle part aucune vue hostile, rélativement à ce qui s'est passé en Hollande. En conséquence, S. M., désirant de concourir avec les sentiments de S. M. Britannique, pour la conservation de la bonne harmonie entre les deux Cours, convient avec plaisir, avec S. M. Britannique, que les armements, et en général tous préparatifs de guerre, seront discontinués de part et d'autre: et que les marines des deux nations seront remises sur le pied de l'établissement de la paix, tel qu'il existait au premier Janvier de la présente année.

A Versailles, le 27. Octobre 1787.

Le Comte de Montmorin.

En conséquence de la déclaration et contre-déclaration échangées aujourd'hui, les soussignés, au nom de leurs Souverains respectifs, conviennent, que les armements et en général tous préparatifs de guerre, seront discontinués, de part et d'autre; et que les marines des deux nations seront remises sur le pied de l'établissement de la paix, tel qu'il existait au premier Janvier de la présente année.

A Versailles, le 27. Oct. 1787.

Le Comte de Montmorin.
Dorset. Wm. Eden.

7) Der Rush-Bagot-Vertrag von 18171)

Die zwischen den Vereinigten Staaten und Kanada gelegenen Seen waren während des Bruderkrieges zwischen den beiden Nationen der Schauplatz blutiger Kämpfe gewesen. Vor dem Kriege von 1812 hatten die Amerikaner so gut wie gar keine Kriegsschiffe auf den Grenzseen, die sich von der Mündung des St. Lawrencestromes bis zum oberen See in einer Länge von etwa 2000 Meilen ausdehnen. Während des Krieges kam es aber zu vielen Seegefechten; die Zahl der Schiffe wurde mehr und mehr vergrößert; auch gab es am Schlusse des Krieges nicht weniger als 46 Forts auf amerikanischer Seite und ebensoviel auf seiten Kanadas. Allein im Forte Niagara waren 6000 Soldaten placiert. Man braucht ferner nur die Namen von Fort Porter, Fort Erie, Fort George usw. zu nennen, um an eine Reihe blutiger Gefechte jener Zeit erinnert zu werden. Selbst nach dem Aufhören der Feindseligkeiten wurden auf den Grenzseen immer stärkere Rüstungen veranstaltet, und deshalb schlug man bei den Verhandlungen, die 1814 zu dem Frieden von Gent führten, von englischer Seite vor, England solle die Aufsicht über die kanadischen Seen übernehmen, damit jeder Rüstungswettbewerb aufhöre. Es sollte ein Indianerterritorium mit Einschluß des Landes südlich und westlich der oberen Seen unter englischer Oberhoheit gebildet werden. Den Amerikanern paßte aber naturgemäß eine solche, den Engländern vor

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1) Vgl. die Berichte der Staatssekretäre Foster und Hay in,House of Representatives", Washington 1900, Doc. Nr. 469, 56th Congress, 1st Session, 1900, sowie in der 2. Flugschrift des Carnegie Endowment for international peace, division of international law: Limitation of armament on the great lakes", Washington 1914, ferner die Literaturangaben in meiner Schrift: „Limitation des armements", S. 5; Levermore,,The anglo-american agreement of 1817", Boston, world peace foundation 1914; Adams, Memoirs", 1874, III, S. 51, 279, 287 ff., 329; IV, S. 41; „Almanach de la Paix", Paris 1891, S. 73; American State Papers, Foreign Relations", I, S. 473; III, S. 717, 718; IV, S. 202 ff.; Norman Angell, The foundations of international diplomacy" London 1914, S. 183 ff.; Bigelow, Breaches of anglo-american treaties", New York 1917, S. 32 ff.; Bulletin des V. Weltfriedenskongresses zu Chikago" 1893, S. 183, und des ,XI. Weltfriedenskongresses zu Monako 1902, S. 47; Callahan, „The neutrality of the American Lakes", Baltimore 1898, S. 61; Chittenden, War or peace", London 1914, S. 109 ff.; Documents Interparlementaires" No. 3, S. 85 ff.; d'Estournelles de Constant, Einschränkung der Ausgaben für Rüstungen zu Lande und zur See", Brüssel 1912, S. 16 ff.; Hansard, Parl. Debates", London vol. 33, S. 376 ff., 567 ff.; Kingsford, History of Canada*, IX, S. 40 ff., 343 ff.; X, S. 456 ff., 493 ff.;,Memoirs and Correspondence of Lord Castlereagh", X, S. 67 ff., 86 ff.; Moore, A digest of international law", Washington 1906, I, S. 691 ff.; H. S. Perris, „Pax Britannica“, London 1913, S. 269 ff.; Röttcher, Amerikas Friedensvermittlung", Völkerfriede 1914, S. 134 ff.;,Twelfth Annual report of the international arbitration and peace association for 1892*, S. 17; Christopher West, The Defense of Canada in the light of Canadian history, London and Toronto 1914; Die Waffen nieder", 1895, S. 153; Wild,,Wisconsin State Bar Association", 1915, S. 100 ff.

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teilhafte Regelung nicht, und es war auch zweifelhaft, ob sie wirklich eine Änderung in den Rüstungen zur Folge haben oder nicht vielmehr zu neuen Konflikten führen würde. Eine Abrüstung wurde damals in den offiziellen Verhandlungen nicht diskutiert, obwohl man auf beiden Seiten daran dachte und insbesondere der englische Minister des Auswärtigen, Lord Castlereagh, in seinen Instruktionen den Plan ins Auge gefaßt hatte. Der Gedanke eines solchen Übereinkommens wurde erst nach dem Friedensschlusse ernstlich diskutiert.

Am 16. November 1815 instruierte Monroe den amerikanischen Gesandten Adams in London, er solle der englischen Regierung ein Abkommen über die Verminderung der Kriegsschiffe auf den kanadischen Seen vorschlagen; auf eine je kleinere Zahl von Schiffen man sich einigen würde, um so lieber sei es ihm. Man brauche nur soviel Schiffe, als nötig seien, um den Schmuggelhandel zu bekämpfen. Dabei betonte er nicht nur die finanzielle Seite der Frage, sondern auch die Gefahr eines Zusammenstoßes infolge der Rüstungen, ein Gedanke, der später auch in einem Briefe Bagots an Monroe vom 26. Juli 1816 und in einem Briefe Monroes an Bagot vom 2. August 1816 hervortrat.

Es ist nun interessant, daß diesem ehrlich gemeinten Vorschlage gegenüber zunächst große Bedenken von englischer Seite erhoben wurden, wie das ja auch in neuerer Zeit bei allen die Rüstungsfrage betreffenden Bestrebungen der Fall gewesen ist. Als Ende Januar 1816 Adams den Vorschlag mit Lord Castlereagh besprach, erklärte letzterer, er glaube, daß eine Vereinbarung über die Rüstungen auf beide Teile verschieden wirken werde. Die Amerikaner seien in viel günstigerer Lage und könnten bei Beginn eines Krieges die Rüstungen viel schneller vergrößern als England. Adams erwiderte, dieser Unterschied wirke in gleicher Weise ein, ob nun die Rüstungen beider Parteien klein oder groß wären. Zudem breche ein Krieg zwischen ihnen nicht so plötzlich, sondern erst nach gewissen beunruhigenden Anzeichen aus; England sei daher wohl regelmäßig gewarnt und könne genau so gut Vorbereitungen treffen wie die Vereinigten Staaten. Später fügte er noch hinzu, daß die Tatsache der großen maritimen Überlegenheit Englands sowie die Notwendigkeit der Sanktion jedes Beschlusses durch den Kongreß der Vereinigten Staaten England vor einem Überfall sichere. Auch im englischen Parlamente zeigte sich keine Neigung, auf den Plan einzugehen. Dort wiesen die Chauvinisten darauf hin, daß ein neuer Krieg zwischen den beiden Nationen unvermeidlich sei und deshalb die Rüstungen vergrößert werden müßten.

Aber die amerikanische Diplomatie ließ sich nicht abhalten, für die Verwirklichung dessen tätig zu sein, was ihr im Interesse der Schwesternationen nützlich erschien. In einem Schreiben Adams vom 21. März 1816

an Lord Castlereagh heißt es u. a.: „Die Vergrößerung der Seerüstungen während des Friedens auf der einen Seite der kanadischen Seen wird dasselbe Anwachsen auf der anderen Seite nötig machen. Abgesehen von der Steigerung nutzloser Ausgaben bei beiden Parteien muß diese Tatsache den Verdacht und die Feindschaft zwischen den Bewohnern und den Ortsbehörden gegen ihre Nachbarn vergrößern. Die moralische und politische Folge eines solchen Systems ist Krieg und nicht Frieden."

Im April 1816 erklärte sich plötzlich Castlereagh bereit, ein entsprechendes Abkommen zu schließen, und man kam überein, daß die genaue Formulierung des Vertrages in Washington stattfinden solle. Im August 1816 wurde bereits ein vorläufiges Übereinkommen abgeschlossen, wonach bis zum Zustandekommen des definitiven Vertrages jede Neueinstellung und jeder Neubau von Kriegsschiffen auf den kanadischen Seen unterlassen werden sollte. Der englische Botschafter Bagot in Washington sandte dem amerikanischen Staatssekretär damals eine Liste der augenblicklich auf den kanadischen Seen in Dienst befindlichen englischen Schiffe. Es waren insgesamt 28, von denen aber nur noch 10 kriegstüchtig sein sollten. Die Zahl der amerikanischen Kriegsschiffe, die Monroe am 7. November 1816 mitteilen ließ, betrug 44, darunter 13 kriegsbrauchbare, von denen aber acht abgetakelt waren. Die Verhandlungen gingen nunmehr flott von statten. Auch vereinzelte Übergriffe englischer Schiffskommandanten auf den kanadischen Seen und der Transport von Kriegsmaterialien durch englische Schiffe nach Kanada,Tatsachen, die in Washington zeitweilig Bedenken erregten, konnten das Ergebnis nicht beeinträchtigen.

Der am 28. April 1817 abgeschlossene Rush-Bagot-Vertrag hat folgenden Wortlaut:1) „Die von der Regierung der Vereinigten Staaten 1) Der Originaltext lautet:

By the President of the United States a proclamation. Whereas an arrangement was entered into at the city of Washington, in the month of April, in the year of our Lord one thousand eight hundred and seventeen, between Richard Rush, esquire, at that time acting as secretary for the department of state of the United States, and the right honourable Charles Bagot, his Britannic Majesty's envoy extraordinary and minister plenipotentiary, for and in behalf of his Britannic Majesty; which arrangement is in the words following, to wit:

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The naval force to be maintained upon the American lakes, by his Majesty and the government of the United States, shall henceforth be confined to the following vessels on each side; that is: On lake Ontario, to one vessel not exceeding one hundred tons burden, and armed with one eighteen pound cannon. On the upper lakes, to two vessels, not exceeding like burden, and armed with like force. On the waters of Lake Camplain to one vessel not exceeding like burden and armed with like force. All other armed vessels on these lakes shall be forthwith dismantled and no other vessels of war shall be there built and or armed. If either

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