| Molière - 1739 - 418 pages
...C'eft tenir un propos de fens bien dépourvû. Je l'ai vu , dis-je , vû , de mes propres yeux vû , Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois , & crier comme quatre ? Madame PERNELLE. Mon Dieu ! Le plus fouvent , l'apparence déçoit. Il ne... | |
| Molière - 1773 - 590 pages
...répandre; Et rien n'eft ici-bas, qui s'en puiflè défendre. ORGO N. C'eft tenir un propos de fens bien dépourvu. Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres...vu. Faut-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois, &: crier comme quatre î Madame PERNELLE. Mon Dieu ! le plus fouvent, l'apparence déçoit. 11 ne faut... | |
| 1788 - 322 pages
...langues ont toujours du venin à répandre» Et rien n'«st ici-bas qui s'en puisse défendre* OEGO N. C'est tenir un propos de sens bien dépourvu ! Je...propres yeux , vu> Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le rcbattre Aux oreilles cent fois , et crier comme quatre ? Madame PERNILLE. Mon Dieu! le plus souvent... | |
| Molière - 1788 - 596 pages
...répandre; Et rien n'eft ici-bas, qui s'en puiflè défendre. ORGO N. C'eft tenir un propos de fens bien dépourvu. Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu. Faut- il vous le rebattre Aux oreilles cent fois , & crier comme quatre ? Madame PERNELLE. Mon Dieu... | |
| Dumarsais - 1797 - 404 pages
...qui parlez. Moliere. Vous qui parlez est une phrase explctive , qui donne plus de force au discours. Je l'ai vu , dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appetle vu; Molière , Tartuffe, act. v. se. 5. Et je ne puis du tout me mettre dans l'esprit , Qu'il... | |
| Molière - 1799 - 264 pages
...à répandre^ Et rien n'eft ici bas qui s'en puilfe défendre. ORGON. C'eft tenir un propos de fens bien dépourvu. Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres...comme quatre ? MADAME PERNELLE. Mon Dieu ! le plus fouvent l'apparence déçoit: II ne faut pas toujours juger fur ce qu'on voit. ORGON. J'enrage. MADAME... | |
| Molière - 1813 - 278 pages
...toujours du veuin à répandre ; Et rien n'est icihas qui s'eu puisse défendre. OHGON. C'est teuir un propos de sens bien dépourvu. Je l'ai vu, dis-je...vu, de mes propres yeux vu , Ce qu'on appelle vu. l'aut-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois , et crier comme quatre ? MADAME PERNELLE. Mon dieu... | |
| 1820 - 792 pages
...son mari , qui étoit très-fondé à accuser sa vertu, en disant, comme le personnage de Molière: Je l'ai vu, dis-je, vu; de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu* MORALITÉ. Pur ce, dist-on en REPRUVIER Ke famés sevent engingnier.*; * tromper. Les mençunges funt... | |
| 1821 - 468 pages
...répandre ; Et rien n est ici-bas qui s'en puisse défendre: Molière. i\> IQ oncoir. C'est tenir uu propos de sens bien dépourvu. Je l'ai vu , dis-je...vu , Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le rebattre A ux oreilles cent fois , et crier comme qualre ? MADAME PEBHELIE. Won dieu ! le plus souvent l'apparence... | |
| Molière - 1821 - 488 pages
...ici-bas qui s'en puisse défendre. ORGOtf. C'est tenir un propos de sens bien dépourvu. Je l'ai vuj dis-je, vu , de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle...rebattre Aux oreilles cent fois , et crier comme quatre ? • Mme PERNELLE. Mon Dieu! le plus souvent, l'apparence décoit : Il ne faut pas toujours juger... | |
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