The Plays of Molière in French with an English Translation and Notes, Volume 5John Grant, 1907 |
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... deux , sous mêmes soins nourris , Ces deux frères que peint l'École des maris , Dont . ALC . Mon Dieu ! laissons là vos comparaisons fades . PHIL . Non : tout de bon , quittez toutes ces incartades . Le monde par vos soins ne se ...
... deux , sous mêmes soins nourris , Ces deux frères que peint l'École des maris , Dont . ALC . Mon Dieu ! laissons là vos comparaisons fades . PHIL . Non : tout de bon , quittez toutes ces incartades . Le monde par vos soins ne se ...
Page 22
... deux du marché nous nous repentirions . ORON . Parbleu ! c'est là - dessus parler en homme sage , Et je vous en estime encore davantage : Souffrons donc que le temps forme des nœuds si doux ; Mais , cependant , je m'offre entièrement à ...
... deux du marché nous nous repentirions . ORON . Parbleu ! c'est là - dessus parler en homme sage , Et je vous en estime encore davantage : Souffrons donc que le temps forme des nœuds si doux ; Mais , cependant , je m'offre entièrement à ...
Page 30
... deux . ) Eh ! Messieurs , c'en est trop : laissez cela , de grâce . ORON . Ah ! j'ai tort , je l'avoue , et je quitte la place . Je suis votre valet , Monsieur , de tout mon cœur . ALC . Et moi , je suis , Monsieur , votre humble ...
... deux . ) Eh ! Messieurs , c'en est trop : laissez cela , de grâce . ORON . Ah ! j'ai tort , je l'avoue , et je quitte la place . Je suis votre valet , Monsieur , de tout mon cœur . ALC . Et moi , je suis , Monsieur , votre humble ...
Page 40
... deux marquis qui montent avec nous : Vous l'est - on venu dire ? CÉL . Oui . Des siéges pour tous . ( A Alceste . ) Vous n'êtes pas sorti ? ALC . Non ; mais je veux , Madame , Ou pour eux , ou pour moi , faire expliquer votre âme . CAL ...
... deux marquis qui montent avec nous : Vous l'est - on venu dire ? CÉL . Oui . Des siéges pour tous . ( A Alceste . ) Vous n'êtes pas sorti ? ALC . Non ; mais je veux , Madame , Ou pour eux , ou pour moi , faire expliquer votre âme . CAL ...
Page 46
... deux bras croisés , du haut de son esprit Il regarde en pitié tout ce que chacun dit . Ac . Dieu me damne , voilà son portrait véritable . CL . Pour bien peindre les gens vous êtes admirable . ALC . Allons , ferme , poussez , mes bons ...
... deux bras croisés , du haut de son esprit Il regarde en pitié tout ce que chacun dit . Ac . Dieu me damne , voilà son portrait véritable . CL . Pour bien peindre les gens vous êtes admirable . ALC . Allons , ferme , poussez , mes bons ...
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Expressions et termes fréquents
ALCESTE Alcmène Allons âme amour AMPH Amphitryon ardeur assez autre avez avoir beau bien C'est CÉL CÉLIMÈNE charms chose Ciel Cléanthis cœur contre coups courroux d'autre d'être d'une DAPH deux dire doit DON PED donne donner doute doux Éliante enfin ÉROX Est-ce êtes être faire fait faut femme FILÈNE gens GÉRONTE grand HALI heart Heaven homme honour Isı j'ai j'en JACQ jamais je vous jour Jupiter l'amour l'on Lucinde LYCAS m'en Madame maître MART médecin MÉL Mélicerte MERC mérite Messieurs mieux Molière monde Monsieur Myrtil n'en n'est ORON Oronte parle parler passion peine personne peut PHIL PHILINTE plaît prendre qu'à qu'elle qu'il qu'on qu'un quoi raison rien s'il SCÈNE SGAN SGANARELLE soins Sosie tell temps tout veut veux vient vœux voilà voir vois voit voulez-vous vrai wish yeux
Fréquemment cités
Page 8 - Dès qu'on voit qu'on nous mêle avec tout l'univers : Sur quelque préférence une estime se fonde, Et c'est n'estimer rien qu'estimer tout le monde. Puisque vous y donnez, dans ces vices du temps, Morbleu ! vous n'êtes pas pour être de mes gens ; Je refuse d'un cœur la vaste complaisance Qui ne fait de mérite aucune différence ; Je veux qu'on me distingue ; et, pour le trancher net, L'ami du genre humain n'est point du tout mon fait.
Page 10 - Non! tout de bon, quittez toutes ces incartades; Le monde par vos soins ne se changera pas ; Et, puisque la franchise a pour vous tant d'appas, Je vous dirai tout franc que cette maladie, Partout où vous allez, donne la comédie, Et qu'un si grand courroux contre les mœurs du temps Vous tourne en ridicule auprès de bien des gens.
Page 28 - Ce style figuré, dont on fait vanité, Sort du bon caractère et de la vérité; Ce n'est que jeu de mots , qu'affectation pure , Et ce n'est point ainsi que parle la nature.
Page 34 - Clitandre a l'heur de vous plaire si fort? Sur quel fonds de mérite et de vertu sublime Appuyez-vous en lui l'honneur de votre estime? Est-ce par l'ongle long qu'il porte au petit doigt, Qu'il s'est acquis chez vous l'estime où l'on le voit?
Page 26 - Quel besoin si pressant avez-vous de rimer, Et qui diantre vous pousse à vous faire imprimer? Si l'on peut pardonner l'essor d'un mauvais livre, Ce n'est qu'aux malheureux qui composent pour vivre. Croyez-moi, résistez à vos tentations, Dérobez au public ces occupations, Et n'allez point quitter, de quoi que l'on vous somme, Le nom que dans la cour vous avez d'honnête homme, Pour prendre, de la main d'un avide imprimeur, Celui de ridicule et misérable auteur.
Page 50 - L'amour pour l'ordinaire est peu fait à ces lois, Et l'on voit les amants vanter toujours leur choix: Jamais leur passion n'y voit rien de blâmable, Et dans l'objet aimé tout leur devient aimable; Ils comptent les défauts pour des perfections, Et savent y donner de favorables noms.
Page 14 - En courroux, comme vous, on ne me voit point être; Je prends tout doucement les hommes comme ils sont, J'accoutume mon âme à souffrir ce qu'ils font; Et je crois qu'à la cour, de même qu'à la ville, Mon flegme est philosophe autant que votre bile.
Page 6 - Et tout homme d'honneur s'en doit scandaliser. Je vous vois accabler un homme de caresses, Et témoigner pour lui les dernières tendresses ; De protestations, d'offres et de serments Vous chargez la fureur de vos embrassements ; Et quand je vous demande, après, quel est cet homme, A peine pouvez-vous dire comme il se nomme; Votre chaleur pour lui tombe eu vous séparant, Et vous me le traitez, à moi, d'indifférent.
Page 46 - Non, morbleu! c'est à vous; et vos ris complaisants Tirent de son esprit tous ces traits médisants. Son humeur satirique est sans cesse nourrie...
Page 6 - Non, je ne puis souffrir cette lâche méthode Qu'affectent la plupart de vos gens à la mode; Et je ne hais rien tant que les contorsions De tous ces grands faiseurs de protestations, Ces affables donneurs d'embrassades frivoles, Ces obligeants diseurs d'mutiles paroles, Qui de civilités avec tous font combat, Et traitent du même air l'honnête homme et le fat.