The Plays of Molière in French with an English Translation and Notes, Volume 5John Grant, 1907 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 23
Page 7
... feeling for him chills the moment you are parted , and you speak of him to me as of a person indifferent to you . Heavens ! it is an unworthy , base and in- famous thing , so far to lower one's self as to act contrary to one's own feelings ...
... feeling for him chills the moment you are parted , and you speak of him to me as of a person indifferent to you . Heavens ! it is an unworthy , base and in- famous thing , so far to lower one's self as to act contrary to one's own feelings ...
Page 9
... feelings beneath vain compliments . PHIL . There are many circumstances in which plain speaking would become ridiculous , and could hardly be tolerated . And , with all due deference to your austere sense of honour , it is well ...
... feelings beneath vain compliments . PHIL . There are many circumstances in which plain speaking would become ridiculous , and could hardly be tolerated . And , with all due deference to your austere sense of honour , it is well ...
Page 19
... feelings are on this subject . PHIL . Had I but to choose , her cousin Éliante would have all my sighs . Her heart , which values yours , is steadfast and sincere ; and had you chosen her it would have been better for you , since she is ...
... feelings are on this subject . PHIL . Had I but to choose , her cousin Éliante would have all my sighs . Her heart , which values yours , is steadfast and sincere ; and had you chosen her it would have been better for you , since she is ...
Page 21
... feelings , allow me , Monsieur , to embrace you with all my heart , and to solicit a place in your affections . Give me your hand , if you please . Will you promise me your friendship ? ALC . Monsieur ORON . What ! you refuse me ? ALO ...
... feelings , allow me , Monsieur , to embrace you with all my heart , and to solicit a place in your affections . Give me your hand , if you please . Will you promise me your friendship ? ALC . Monsieur ORON . What ! you refuse me ? ALO ...
Page 39
... feelings find vent ; no one ever saw such a surly swain . ALC . It rests with you alone to dissipate this ill- temper . For pity's sake let us make an end of all these discussions ; let us speak openly to each other , and try to put a ...
... feelings find vent ; no one ever saw such a surly swain . ALC . It rests with you alone to dissipate this ill- temper . For pity's sake let us make an end of all these discussions ; let us speak openly to each other , and try to put a ...
Autres éditions - Tout afficher
The Plays of Molière in French with an English Translation and Notes;, Volume 2 Moliere Aucun aperçu disponible - 2017 |
The Plays of Molière in French with an English Translation and Notes; Volume 2 Moliere Aucun aperçu disponible - 2018 |
The Plays of Molière in French with an English Translation and Notes;, Volume 2 Moliere Aucun aperçu disponible - 2018 |
Expressions et termes fréquents
ALCESTE Alcmène Allons âme amour AMPH Amphitryon ardeur assez autre avez avoir beau bien C'est CÉL CÉLIMÈNE charms chose Ciel Cléanthis cœur contre coups courroux d'autre d'être d'une DAPH deux dire doit DON PED donne donner doute doux Éliante enfin ÉROX Est-ce êtes être faire fait faut femme FILÈNE gens GÉRONTE grand HALI heart Heaven homme honour Isı j'ai j'en JACQ jamais je vous jour Jupiter l'amour l'on Lucinde LYCAS m'en Madame maître MART médecin MÉL Mélicerte MERC mérite Messieurs mieux Molière monde Monsieur Myrtil n'en n'est ORON Oronte parle parler passion peine personne peut PHIL PHILINTE plaît prendre qu'à qu'elle qu'il qu'on qu'un quoi raison rien s'il SCÈNE SGAN SGANARELLE soins Sosie tell temps tout veut veux vient vœux voilà voir vois voit voulez-vous vrai wish yeux
Fréquemment cités
Page 8 - Dès qu'on voit qu'on nous mêle avec tout l'univers : Sur quelque préférence une estime se fonde, Et c'est n'estimer rien qu'estimer tout le monde. Puisque vous y donnez, dans ces vices du temps, Morbleu ! vous n'êtes pas pour être de mes gens ; Je refuse d'un cœur la vaste complaisance Qui ne fait de mérite aucune différence ; Je veux qu'on me distingue ; et, pour le trancher net, L'ami du genre humain n'est point du tout mon fait.
Page 10 - Non! tout de bon, quittez toutes ces incartades; Le monde par vos soins ne se changera pas ; Et, puisque la franchise a pour vous tant d'appas, Je vous dirai tout franc que cette maladie, Partout où vous allez, donne la comédie, Et qu'un si grand courroux contre les mœurs du temps Vous tourne en ridicule auprès de bien des gens.
Page 28 - Ce style figuré, dont on fait vanité, Sort du bon caractère et de la vérité; Ce n'est que jeu de mots , qu'affectation pure , Et ce n'est point ainsi que parle la nature.
Page 34 - Clitandre a l'heur de vous plaire si fort? Sur quel fonds de mérite et de vertu sublime Appuyez-vous en lui l'honneur de votre estime? Est-ce par l'ongle long qu'il porte au petit doigt, Qu'il s'est acquis chez vous l'estime où l'on le voit?
Page 26 - Quel besoin si pressant avez-vous de rimer, Et qui diantre vous pousse à vous faire imprimer? Si l'on peut pardonner l'essor d'un mauvais livre, Ce n'est qu'aux malheureux qui composent pour vivre. Croyez-moi, résistez à vos tentations, Dérobez au public ces occupations, Et n'allez point quitter, de quoi que l'on vous somme, Le nom que dans la cour vous avez d'honnête homme, Pour prendre, de la main d'un avide imprimeur, Celui de ridicule et misérable auteur.
Page 50 - L'amour pour l'ordinaire est peu fait à ces lois, Et l'on voit les amants vanter toujours leur choix: Jamais leur passion n'y voit rien de blâmable, Et dans l'objet aimé tout leur devient aimable; Ils comptent les défauts pour des perfections, Et savent y donner de favorables noms.
Page 14 - En courroux, comme vous, on ne me voit point être; Je prends tout doucement les hommes comme ils sont, J'accoutume mon âme à souffrir ce qu'ils font; Et je crois qu'à la cour, de même qu'à la ville, Mon flegme est philosophe autant que votre bile.
Page 6 - Et tout homme d'honneur s'en doit scandaliser. Je vous vois accabler un homme de caresses, Et témoigner pour lui les dernières tendresses ; De protestations, d'offres et de serments Vous chargez la fureur de vos embrassements ; Et quand je vous demande, après, quel est cet homme, A peine pouvez-vous dire comme il se nomme; Votre chaleur pour lui tombe eu vous séparant, Et vous me le traitez, à moi, d'indifférent.
Page 46 - Non, morbleu! c'est à vous; et vos ris complaisants Tirent de son esprit tous ces traits médisants. Son humeur satirique est sans cesse nourrie...
Page 6 - Non, je ne puis souffrir cette lâche méthode Qu'affectent la plupart de vos gens à la mode; Et je ne hais rien tant que les contorsions De tous ces grands faiseurs de protestations, Ces affables donneurs d'embrassades frivoles, Ces obligeants diseurs d'mutiles paroles, Qui de civilités avec tous font combat, Et traitent du même air l'honnête homme et le fat.