The Plays of Molière in French with an English Translation and Notes, Volume 5John Grant, 1907 |
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Page 13
... look with some forbearance on its failings . In this world we need a more pliable virtue . By being too wise we may be quite at fault . Common sense avoids all extremes and bids us be soberly wise . This unbending stiff- ness of the ...
... look with some forbearance on its failings . In this world we need a more pliable virtue . By being too wise we may be quite at fault . Common sense avoids all extremes and bids us be soberly wise . This unbending stiff- ness of the ...
Page 15
... look upon all these defects of which you complain as vices inherent in human nature . In short , my mind is no more shocked at seeing a man a villain , unjust , or selfish , than at seeing vultures ravenous after carnage , apes ...
... look upon all these defects of which you complain as vices inherent in human nature . In short , my mind is no more shocked at seeing a man a villain , unjust , or selfish , than at seeing vultures ravenous after carnage , apes ...
Page 17
... looks with much favour on you : yet your heart refuses to respond to their passion ; whilst Célimène keeps you in her chains , Célimène whose coquettish disposition and malicious wit seem to have so much in common with the manner of the ...
... looks with much favour on you : yet your heart refuses to respond to their passion ; whilst Célimène keeps you in her chains , Célimène whose coquettish disposition and malicious wit seem to have so much in common with the manner of the ...
Page 23
... looks at Alceste . ) ALC . We shall soon see . ORON . Hope . . . I do not know whether the style will seem to you sufficiently clear and easy , whether you will approve of my choice of words . ALC . Nous allons voir , Monsieur . ORON ...
... looks at Alceste . ) ALC . We shall soon see . ORON . Hope . . . I do not know whether the style will seem to you sufficiently clear and easy , whether you will approve of my choice of words . ALC . Nous allons voir , Monsieur . ORON ...
Page 45
... look at the clock , or yawn a score of times , she budges no more than a log of wood . Ac . What do you think of Adraste ? CÉL . Oh ! what intolerable pride ! He is puffed up with conceit . His self - importance makes him con- stantly ...
... look at the clock , or yawn a score of times , she budges no more than a log of wood . Ac . What do you think of Adraste ? CÉL . Oh ! what intolerable pride ! He is puffed up with conceit . His self - importance makes him con- stantly ...
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Expressions et termes fréquents
ALCESTE Alcmène Allons âme amour AMPH Amphitryon ardeur assez autre avez avoir beau bien C'est CÉL CÉLIMÈNE charms chose Ciel Cléanthis cœur contre coups courroux d'autre d'être d'une DAPH deux dire doit DON PED donne donner doute doux Éliante enfin ÉROX Est-ce êtes être faire fait faut femme FILÈNE gens GÉRONTE grand HALI heart Heaven homme honour Isı j'ai j'en JACQ jamais je vous jour Jupiter l'amour l'on Lucinde LYCAS m'en Madame maître MART médecin MÉL Mélicerte MERC mérite Messieurs mieux Molière monde Monsieur Myrtil n'en n'est ORON Oronte parle parler passion peine personne peut PHIL PHILINTE plaît prendre qu'à qu'elle qu'il qu'on qu'un quoi raison rien s'il SCÈNE SGAN SGANARELLE soins Sosie tell temps tout veut veux vient vœux voilà voir vois voit voulez-vous vrai wish yeux
Fréquemment cités
Page 8 - Dès qu'on voit qu'on nous mêle avec tout l'univers : Sur quelque préférence une estime se fonde, Et c'est n'estimer rien qu'estimer tout le monde. Puisque vous y donnez, dans ces vices du temps, Morbleu ! vous n'êtes pas pour être de mes gens ; Je refuse d'un cœur la vaste complaisance Qui ne fait de mérite aucune différence ; Je veux qu'on me distingue ; et, pour le trancher net, L'ami du genre humain n'est point du tout mon fait.
Page 10 - Non! tout de bon, quittez toutes ces incartades; Le monde par vos soins ne se changera pas ; Et, puisque la franchise a pour vous tant d'appas, Je vous dirai tout franc que cette maladie, Partout où vous allez, donne la comédie, Et qu'un si grand courroux contre les mœurs du temps Vous tourne en ridicule auprès de bien des gens.
Page 28 - Ce style figuré, dont on fait vanité, Sort du bon caractère et de la vérité; Ce n'est que jeu de mots , qu'affectation pure , Et ce n'est point ainsi que parle la nature.
Page 34 - Clitandre a l'heur de vous plaire si fort? Sur quel fonds de mérite et de vertu sublime Appuyez-vous en lui l'honneur de votre estime? Est-ce par l'ongle long qu'il porte au petit doigt, Qu'il s'est acquis chez vous l'estime où l'on le voit?
Page 26 - Quel besoin si pressant avez-vous de rimer, Et qui diantre vous pousse à vous faire imprimer? Si l'on peut pardonner l'essor d'un mauvais livre, Ce n'est qu'aux malheureux qui composent pour vivre. Croyez-moi, résistez à vos tentations, Dérobez au public ces occupations, Et n'allez point quitter, de quoi que l'on vous somme, Le nom que dans la cour vous avez d'honnête homme, Pour prendre, de la main d'un avide imprimeur, Celui de ridicule et misérable auteur.
Page 50 - L'amour pour l'ordinaire est peu fait à ces lois, Et l'on voit les amants vanter toujours leur choix: Jamais leur passion n'y voit rien de blâmable, Et dans l'objet aimé tout leur devient aimable; Ils comptent les défauts pour des perfections, Et savent y donner de favorables noms.
Page 14 - En courroux, comme vous, on ne me voit point être; Je prends tout doucement les hommes comme ils sont, J'accoutume mon âme à souffrir ce qu'ils font; Et je crois qu'à la cour, de même qu'à la ville, Mon flegme est philosophe autant que votre bile.
Page 6 - Et tout homme d'honneur s'en doit scandaliser. Je vous vois accabler un homme de caresses, Et témoigner pour lui les dernières tendresses ; De protestations, d'offres et de serments Vous chargez la fureur de vos embrassements ; Et quand je vous demande, après, quel est cet homme, A peine pouvez-vous dire comme il se nomme; Votre chaleur pour lui tombe eu vous séparant, Et vous me le traitez, à moi, d'indifférent.
Page 46 - Non, morbleu! c'est à vous; et vos ris complaisants Tirent de son esprit tous ces traits médisants. Son humeur satirique est sans cesse nourrie...
Page 6 - Non, je ne puis souffrir cette lâche méthode Qu'affectent la plupart de vos gens à la mode; Et je ne hais rien tant que les contorsions De tous ces grands faiseurs de protestations, Ces affables donneurs d'embrassades frivoles, Ces obligeants diseurs d'mutiles paroles, Qui de civilités avec tous font combat, Et traitent du même air l'honnête homme et le fat.