 | Jacques Bénigne Bossuet - 1818 - 666 pages
...les pensées que je suis obligé d'avoir. N'ayez pas peur que j'augmente mondainement ma depense : la table ne convient ni à mon état ni à mon humeur. Mes parens ne profiteront point du bien de l'Eglise. Je paierai mes dettes, le plutôt que je pourrai :... | |
 | Jacques Bénigne Bossuet - 1818 - 662 pages
...long-temps avec les pensées que je suis obligé d'avoir. N'ayez pas peur que j'augmente mondainement ma dépense : la table ne convient ni à mon état ni à mou humeur. Mes parens ne profiteront point du bien de l'Eglise. Je paierai mes dettes, le plutôt... | |
 | cardinal Louis François de Bausset - 1819 - 540 pages
...temps avec les pensées que je suis obligé d'a» voir. N'ayez pas peur que j'augmente mondai» nement ma dépense. La table ne convient ni à » mon état , ni à mon humeur ; mes parens ne » profiteront » profiteront point du bien de l'Eglise. Je paierai » mes dettes le plus... | |
 | 1819 - 426 pages
...mondaine/rient ma dépense; la table\nç convîent\ni à mon état ni à mon humeur; mes parans -nç profiteront point du bien de l'Eglise. Je payerai mes dettes le plutôt que je pourrai ; elles sont pour la plupart contractées pour des dépenses nécessaires } méine dans l'ordre ecclésiastique...... | |
 | Louis-François de Bausset - 1824 - 440 pages
...pensées que je suis obligé d'avoir. N'ayez pas » peur que j'augmente mondainement ma dé» pense. La table ne convient ni à mon état ni à » mon humeur; mes parens ne profiteront point » du bien de l'Eglise. Je paierai mes dettes le » plus tôt que je pourrai.... | |
 | Jacques Bénigne Bossuet - 1841 - 912 pages
...longtemps avec les » pensées que je suis obligé d'avoir. N'ayez pas peur que j'augmente » mondainemenl ma dépense. La table ne convient ni à mon état ni » à mon humeur ; mes parents ne profiteront point du bien de l'E» glise. Je paierai mes dettes le plus tôt que je pourrai.... | |
 | cardinal Louis François de Bausset - 1846 - 442 pages
...longtemps avec les pensées que je suis obligé d'avoir. » N'ayez pas peur que j'augmente mondainement ma » dépense. La table ne convient ni à mon état ni à » mon humeur; mes parents ne profiteront point du » bien de l'Eglise. Je paierai mes dettes le plus tôt que » je pourrai.... | |
 | Alphonse Marie L. de Prat de Lamartine - 1852 - 556 pages
...« avec les pensées que je suis obligé d'avoir. N'ayez « pas peur que j'augmente mes dépenses; la table « ne convient ni à mon état ni à mon humeur. Je « payerai mes dettes le plus tôt que je pourrai. Pour « ce qui est des bénéfices , assurément... | |
 | Louise de La Vallière - 1854 - 412 pages
...longtemps avec les pensées que je suis obligé d'avoir. N'ayez pas peur que j'augmente mondainement ma dépense : la table ne convient ni à mon état ni à mon humeur. Mes parents ne profiteront point du bien de l'Église. Je payerai mes dettes le plus tôt que je pourrai... | |
 | Guettée (M. l'abbé, Wladimir) - 1856 - 510 pages
...longtemps avec les pensées que je suis obligé d'avoir. N'ayez pas peur que j'augmente mondaineincul ma dépense : la table ne convient ni à mon état, ni à mon humeur. Mes parents ne profiteront point du bien de l'Église. Je paierai ines dettes le plus tôt que je pourrai;... | |
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L'abbaye que le roi m'a donnée, me tire d'un embarras et d'un soin qui ne peut pas compatir longtemps avec .les pensées que je suis obligé d'avoir. 
