Oeuvres complètesA. Houssiaux, 1870 |
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Expressions et termes fréquents
Adeline aimé Allemand allez amour artiste avez baron Hulot belle bonhomme Brésilien Brunner Camusot Cantinet Carabine Casse-noisettes cause Cécile Célestine cent mille chambre cher chose Claude Vignon cœur comte cousin Pons cousine Bette d'Hortense demanda Dieu dîner dire dit-elle docteur Poulain donner enfants êtes famille femme Fischer fortune Fraisier garçon de théâtre Gaudissard gens Hector heures homme Hortense j'ai jeune jolie Josépha jours laisser larmes Lisbeth madame Cibot madame Hulot madame Marneffe mademoiselle Magus main maison malade maréchal mari mariage marier Marneſſe Marville matin mère monsieur Crevel monsieur Hulot monsieur Pons monsieur Schmucke Montcornet Montès musicien notaire parler passer pauvre pensée père petite Popinot portière présidente regarda Rémonencq rente répondit reprit reste rien s'écria sais salon sera seul sieur Steinbock Stidmann théâtre Topinard trouva vais Valérie venir veux Victorin vieillard vieille fille vieux voilà voulait voulez-vous voyant Wenceslas Wissembourg yeux
Fréquemment cités
Page 397 - Les Allemands, s'ils ne savent pas jouer des grands instruments de la Liberte, savent jouer naturellement de tous les instruments de musique.
Page 181 - ... Si l'artiste ne se précipite pas dans son œuvre, comme Curtius dans le gouffre, comme le soldat dans la redoute, sans réfléchir; et si, dans ce cratère, il ne travaille pas comme le mineur enfoui sous un éboulement; s'il contemple, enfin, les difficultés au lieu de les vaincre une à une, à l'exemple de ces amoureux des féeries, qui, pour obtenir leurs princesses , combattaient des enchantements renaissants, l'œuvre reste inachevée, elle périt au fond de l'atelier, où la production...
Page 364 - II a depuis trois mois fait partir de l'armée Un esclave chargé de quelque ordre secret. Tout le camp interdit tremblait pour Bajazet : On craignait qu'Amurat, par un ordre sévère, N'envoyât demander la tête de son frère.
Page 184 - Aussi les grands artistes, les poètes complets n'attendent-ils ni les commandes ni les chalands; ils enfantent aujourd'hui, demain, toujours. Il en résulte cette habitude du labeur, cette perpétuelle connaissance des difficultés qui les maintient en concubinage avec la muse, avec ses forces créatrices.