L'Ambigu: ou Variétés littéraires, et politiques, Volume 24Jean-Gabriel Peltier Vogel et Schulze, 1809 |
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... pays , pour d'autres hommes . Ils ne retrouvent dans ces drames ni la peinture des mœurs américaines , ni les opinions et les sentiments qu'il leur convien- drait de répandre et d'accréditer pour maintenir leur police et leur ...
... pays , pour d'autres hommes . Ils ne retrouvent dans ces drames ni la peinture des mœurs américaines , ni les opinions et les sentiments qu'il leur convien- drait de répandre et d'accréditer pour maintenir leur police et leur ...
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... pays - ci , je n'en ai vu qu'une seule dont le succès ait été complet ; c'était une tragédie de la façon d'un Irlandais , nommé Burke . I avait pris pour son sujet la bataille de Bunker's Hill . J'étais à la premiere représentation ...
... pays - ci , je n'en ai vu qu'une seule dont le succès ait été complet ; c'était une tragédie de la façon d'un Irlandais , nommé Burke . I avait pris pour son sujet la bataille de Bunker's Hill . J'étais à la premiere représentation ...
Page 22
... pays - ci . Les mœurs se relâchent à me- sure que les richesses s'accumulent ; mais on n'est pas encore parvenu au point d'enfreindre , sans remords , les lois de la morale , et de tourner en ridicule les devoirs les plus sacrés . Il n ...
... pays - ci . Les mœurs se relâchent à me- sure que les richesses s'accumulent ; mais on n'est pas encore parvenu au point d'enfreindre , sans remords , les lois de la morale , et de tourner en ridicule les devoirs les plus sacrés . Il n ...
Page 25
... pays , une opposition bruyante aux progrès réels ou supposés de la monarchie et de l'aristo- cratie combinées ; pendant que cette fureur de spéculation qui avait été sur le point d'anéantir l'industrie et la morale , se dissipe , et que ...
... pays , une opposition bruyante aux progrès réels ou supposés de la monarchie et de l'aristo- cratie combinées ; pendant que cette fureur de spéculation qui avait été sur le point d'anéantir l'industrie et la morale , se dissipe , et que ...
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... pays d'où ils ne pouvaient tirer aucun secours effectif , contre un ennemi maître de la capitale , des forteresses , et , sous un point de vue mili taire , de tout le royaume , il leur parut qu'une conven- tion ou capitulation qui ...
... pays d'où ils ne pouvaient tirer aucun secours effectif , contre un ennemi maître de la capitale , des forteresses , et , sous un point de vue mili taire , de tout le royaume , il leur parut qu'une conven- tion ou capitulation qui ...
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L'Ambigu: ou Variétés littéraires, et politiques, Volume 40 Jean-Gabriel Peltier Affichage du livre entier - 1813 |
Expressions et termes fréquents
adressée affaire armée Arthur Wellesley attaque aurait avaient avez bataille de Tudela billet britannique Buonaparté Canning canons capitaine Sandon Castanos cavalerie Chambre circonstances colonel French Colonel Wardle Commandant en Chef commerce Confédération du Rhin conséquence considérable Corogne David Baird déclara demande derniere devait donner Dowler Duc d'York envoyé Espagne Espagnols eût forces française frégate fût gazette général GEORGE CANNING gouvernement Grande-Bretagne guerre Harry Burrard Hew Dalrymple hommes j'ai jamais jour Junte Knight l'Angleterre l'Empereur l'ennemi l'Espagne l'honneur L'honorable Membre lettre lieu long-temps Lord Madame Clarke Madrid Majesté major Tonyn maniere ment militaires mille ministres mois n'avait nation négociation officiers ordres Palafox particuliere passé pays personne peuple porter Portugal pouvait premiere présent Prince promotions rade des Basques reçu régiment Russie s'est Sarragosse Sémillante sent sera seul Sir Harry Burrard Sir John Moore soldats sujet sur-le-champ systême T. H. Membre tion troupes trouve vaisseaux Wellesley XXIV
Fréquemment cités
Page 526 - Pyrrhus, la laitière, enfin tous, Autant les sages que les fous. Chacun songe en veillant ; il n'est rien de plus doux. Une flatteuse erreur emporte alors nos âmes ; Tout le bien du monde est à nous, Tous les honneurs, toutes les femmes. Quand je suis seul, je fais au plus brave un défi ; Je m'écarte, je vais détrôner le sophi ; On m'élit roi, mon peuple m'aime ; Les diadèmes vont sur ma tête pleuvant : Quelque accident fait-il que je rentre en moi-même ? Je suis gros Jean comme devant.
Page 510 - Sans altérer la tête épanouit le cœur : Aussi , quand mon palais est émoussé par l'âge, Avec plaisir encor je goûte ton breuvage. Que j'aime à préparer ton nectar précieux ! Nul n'usurpe chez moi ce soin délicieux. Sur le réchaud brûlant moi seul tournant...
Page 666 - En foi de quoi les plénipotentiaires respectifs l'ont signé et y ont apposé le cachet de leurs armes. Fait à Paris le 20 novembre , l'an de grace i 8 i 5.
Page 527 - Oronte est à présent un objet de clémence; S'il a cru les conseils d'une aveugle puissance, Il est assez puni par son sort rigoureux, Et c'est être innocent que d'être malheureux.
Page 156 - Nous nous réunissons pour prier votre majesté d'écouter la voix de l'humanité en faisant taire celle des passions , de chercher , avec l'intention d'y parvenir, à concilier tous les intérêts, et par là garantir toutes les puissances qui existent, et assurer le bonheur de l'Europe et de cette génération à la tête de laquelle la.
Page 619 - Du génie , et puis du génie , et encore du génie : de l'esprit naturel , une mémoire excellente , de l'élévation dans l'âme , de la malice sans méchanceté , de la ruse sans astuce, un heureux mélange de caprices dont les bons...
Page 270 - Rassemblez les curés, les chefs des couvents, les alcades, les principaux propriétaires; et que d'ici à six heures du matin la ville se rende, ou elle aura cessé d'exister. Je ne veux ni ne dois retirer mes troupes : vous avez massacré les malheureux prisonniers français qui étaient tombés entre vos mains; vous avez, il ya peu de jours, laissé traîner et mettre à mort, dans les rues, deux domestiques de l'ambassadeur de Russie, parce qu'ils étaient nés Français. L'inhabileté et la...
Page 510 - Mais comme les plaisirs le vin a ses dangers; Souvent on paya cher ses charmes passagers : Ce verre qu'en riant a rempli l'allégresse, Trop souvent on le vit profané par l'ivresse; Et d'un bras forcené s'échappant en éclats, La coupe des plaisirs servit d'arme aux combats.
Page 510 - Moi seul contre la noix, qu'arment ses dents de fer, Je fais, en le broyant, crier ton fruit amer ; * Charmé de ton parfum, c'est moi seul qui dans l'onde Infuse à mon foyer ta poussière féconde ; Qui tour à tour calmant, excitant tes bouillons. Suis d'un œil attentif tes légers tourbillons. Enfin, de ta liqueur lentement reposée, Dans le vase fumant la lie est déposée ; Ma coupe, ton nectar, le miel américain, Que du suc des roseaux exprima l'Africain, Tout est prêt : du Japon l'email...