Origine et formation de la langue française, Volume 1

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Fréquemment cités

Page x - Monuments pour servir à l'histoire des provinces de Namur, de Hainaut et de Luxembourg , recueillis et publiés pour la première fois par le baron de Reiflenberg.
Page 7 - Disciplina in Britannia reperta atque inde in Galliam translata esse existimatur, et nunc, qui diligentius eam rem cognoscere volunt, plerumque illo discendi causa proficiscuntur.
Page xi - XIV e siècle, par Raymond Lulle; publiés pour la première fois, et accompagnés de notes, par MM. Reinaud et Francisque Michel. Paris, 1831, gr.
Page 426 - ... ne fut d'abord qu'un simple domestique de la maison de nos premiers rois, auquel était confié le soin d'un certain nombre de chevaux ; plus tard , il fut chargé de ranger la cavalerie en bataille sous les ordres du connétable (cornes stabuli).
Page 229 - LE RENARD ET LES RAISINS. CERTAIN renard gascon, d'autres disent normand, Mourant presque de faim , vit au haut d'une treille Des raisins , mûrs apparemment, Et couverts d'une peau vermeille. Le galant en eût fait volontiers un repas ; Mais comme il n'y pouvait atteindre : Ils sont trop verts, dit-il, et bons pour des goujats.
Page x - PROVERBES ET DICTONS POPULAIRES, avec les Dits du Mercier et des Marchands, et les Crieries de Paris aux xm ° et xiv siècles, publiés d'après les manuscrits de la Bibliothéque du Roi, avec dewi fac-similc.
Page 33 - Et pour ceu que nulz ne tient en son parleir ne rigle certenne, mesure ne raison, est laingue romance si corrumpue qu'a poinne li uns entent l'aultre, et a poinne...
Page 12 - Mais ce qui dut le plus puissamment contribuer à la propagation de la langue latine, ce fut le besoin où se trouvèrent les Gaulois de recourir au magistrat romain pour obtenir justice; car toutes les causes se plaidaient en latin, et une loi expresse défendait au préteur de promulguer...
Page 33 - ... jour d'ieu persone qui saiche escrire, anteir ne prononcieir en une meismes semblant menieire ; mais escript, ante et prononce li uns en une guise et li aultre en une aultre.
Page 19 - Je suis loin de prétendre que le celtique eût disparu de toutes les autres contrées de la Gaule, mais je pense qu'à cette époque il se trouvait relégué dans les pays montagneux ou dans ceux qui étaient éloignés des principaux centres de population et des grandes voies de communication établies par les Romains. Tel était l'état du langage dans la Gaule, lorsque, de toute part, elle fut envahie par les nations germaniques: au midi par les Visigoths, à l'est par les Burgondes et au nord...

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