Cette singularité a influé, dans tout le cours de ma vie , sur nies idées , sur mes sentiments. Je bégayais à peine ces premiers mots qui causent tant de joie à une mère, je pouvais à peine faire quelques pas, que les teintes diverses du feuillage... Audubon, naturaliste américain: Étude biographique - Page 3de Paul Antoine Gratacap Cap (called) - 1862 - 40 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| Sébastien Louis Saulnier - 1831 - 788 pages
...mes idées, sur tous mes sentimens. Je répétais à peine les premiers mots qu'un enfant hégaie, et qui causent tant de joie à une mère ; je pouvais à peine me soutenir, quand le plaisir que me donnèrent les teintes différentes du feuillage et la nuance... | |
| Philarète Chasles - 1851 - 552 pages
...idées, sur tous mes sentiments. Je répétais à peine les premiers mots qu'un enfant bégaie, et qui causent tant de joie à une mère ; je pouvais à peine me soutenir, quand le plaisir que me donnèrent les teintes diverses du feuillage et la nuance profonde... | |
| 1862 - 1104 pages
...intitled : The birdi of America. Edinburgh, iJJji. 5 vul grand 8*. tout le cours de ma vie, sur mes idées, sur mes sentiments. Je bégayais à peine...qui ne s'éteindra qu'avec moi-même. Aucun abri ne mesemblait plus sûr et plus agréable que les ombrages qui recelaient les familles ailées que j'admirais,... | |
| 1862 - 1178 pages
...thé work, intitled : The birds of America. Edmburgh, 5rol. grand 8*. tout le cours de ma vie, sur mes idées, sur mes sentiments. Je bégayais à peine...diverses du feuillage et la nuance azurée du ciel nie pénétraient d'une joie enfantine; mon intimité commençait à naître avec cette nature que... | |
| Paul-Antoine Cap - 1864 - 438 pages
...je puis à peine me rappeler. Cette singularité a influé» dans tout le cours de ma vie, sur mes idées, sur mes sentiments. Je bégayais à peine...s'est jamais affaiblie, et qui ne s'éteindra qu'avec moi-mCme. Aucun abri ne me semblait plus sûr et plus agréable que les ombrages qui recelaient les... | |
| Charles Letourneau - 1878 - 428 pages
...et la nature de sa vocation : « Je répétais à peine les premiers mots, qu'un enfant bégaye et qui causent tant de joie à une mère. Je pouvais à peine me soutenir, quand le plaisir que me donnèrent les teintes diverses du feuillage et la nuance profonde... | |
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