L'espace occupé naguère par tous ces arbres, n'était plus qu'une arène vide, semée de racines et de débris. Vous eussiez dit le lit du Meschacébé mis à nu. Les cataractes du Niagara ne hurlent pas avec plus de violence; l'impétuosité de leur... Audubon, naturaliste américain: Étude biographique - Page 15de Paul Antoine Gratacap Cap (called) - 1862 - 40 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| Philarète Chasles - 1851 - 536 pages
...terrible. » Quand la première [fureur de l'ouragan fut épuisée et comme assouvie, des millions de rameaux fracassés volaient encore dans l'air,...d'un voile verdâtre et lugubre ; une odeur de soufre très- désagréable imprégnait l'atmosphère. J'attendis en silence et dans la stupeur, que la nature... | |
| Philarète Chasles - 1851 - 536 pages
...terrible. » Quand la première jfuretir de l'ouragan fut épuisée et comme assouvie, des millions de rameaux fracassés volaient encore dans l'air,...d'attraction. Le ciel s'était couvert d'un voile verdàtre et lugubre ; une odeur de soufre très-désagréable imprégnait l'atmosphère. J'attendis... | |
| Philarète Chasles - 1851 - 568 pages
...terrible. » Quand la première jfurcur de l'ouragan fut épuisée et comme assouvie, des millions de rameaux fracassés volaient encore dans l'air,...par une force d'attraction. Le ciel s'était couvert d'an voile verdàtre et lugubre ; une odeur de soufre très-désagréable imprégnait l'atmosphère.... | |
| Philarète Chasles - 1851 - 534 pages
...terrible. » Quand la première jfureur de l'ouragan fut épuisée et comme assouvie, des millions de rameaux fracassés volaient encore dans l'air,...qui signalait le passage de la tempête dura encore quelqnes heures, comme déterminée par une force d'attraction. Le ciel s'était couvert d'un voile... | |
| 1862 - 1104 pages
...forcées de prendre une direction oblique et de fléchir ; au-dessous et au-dessus d'eux une niasse épaisse de branchages, de rameaux brisés et de poussière...stupeur que la nature bouleversée eût repris, sinon *.i forme première, du moins son aspect accoutumé. Mes affaires m'appelaient à Morgantown : j'osai... | |
| 1862 - 1178 pages
...L'espace occupé naguère par tous ces arbres, n'était plus qu'une arène vide, semée de racines ft de débris. Vous eussiez dit le lit du Meschacébé...d'attraction. Le ciel s'était couvert d'un voile verdàtre et lugubre, une odeur de soufre très-désagréable imprégnait l'atmosphère. J'attendis... | |
| Paul-Antoine Cap - 1864 - 438 pages
...tous ces arbres n'était plus qu'une arène vide, semée de racines et de débris. Vous eussiez dit te lit du Meschacébé mis à nu. Les cataractes du Niagara...d'un voile verdâtre et lugubre, une odeur de soufre très- désagréable imprégnait l'atmosphère. J'attendis en silence et dans la stupeur que la nature... | |
| Paul-Antoine Cap - 1864 - 462 pages
...Niagara ne hurlent pas avec plus de violence ; l'impétuosité de leur chute n'est pas plus terrible. o Quand la première violence de l'ouragan fut apaisée...d'un voile verdâtre et lugubre, une odeur de soufre très- désagréable imprégnait l'atmosphère. J'attendis en silence et dans la stupeur que la nature... | |
| Arthur Mangin - 1865 - 576 pages
...de fléchir. Au-dessus et au-dessous d'eux une masse épaisse de branchages , de rameaux brisés , de poussière soulevée, fuyait sous la même impulsion....s'était couvert d'un voile verdâtre et lugubre; uue odeur de soufre très -désagréable imprégnait l'atmosphère. J'attendis en silence et dans la... | |
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