Conférences de l'Odéon: les époques du théâtre français (1636-1850)Calmann Lévy, 1892 - 373 pages |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 34
Page 3
... violation ou l'oubli gâterait , en le laissant d'ailleurs subsister pour la lecture , ce que nous prenons de plaisir à voir jouer des œuvres aussi distinguées que le Turcaret de Le Sage ou le Menteur même de Corneille ; LE CID . 3.
... violation ou l'oubli gâterait , en le laissant d'ailleurs subsister pour la lecture , ce que nous prenons de plaisir à voir jouer des œuvres aussi distinguées que le Turcaret de Le Sage ou le Menteur même de Corneille ; LE CID . 3.
Page 4
... Menteur même de Corneille ; des lois , enfin , qui seraient aussi nécessairement contenues , ou impliquées , pour mieux dire , dans la définition de l'œuvre dramatique , dans sa notion , que les lois de la physiologie générale sont ...
... Menteur même de Corneille ; des lois , enfin , qui seraient aussi nécessairement contenues , ou impliquées , pour mieux dire , dans la définition de l'œuvre dramatique , dans sa notion , que les lois de la physiologie générale sont ...
Page 26
... tout à fait de ce qu'elle est déjà dans le Cid , non seulement sans dommage , mais sans danger pour son existence même . 5 novembre 1891 . DEUXIÈME CONFÉRENCE LE MENTEUR MESDAMES ET MESSIEURS , Par une 26 CONFÉRENCES DE L'ODÉON .
... tout à fait de ce qu'elle est déjà dans le Cid , non seulement sans dommage , mais sans danger pour son existence même . 5 novembre 1891 . DEUXIÈME CONFÉRENCE LE MENTEUR MESDAMES ET MESSIEURS , Par une 26 CONFÉRENCES DE L'ODÉON .
Page 27
... MENTEUR MESDAMES ET MESSIEURS , Par une de ces fictions familières , et peut - être même nécessaires au théâtre , nous franchissons en huit jours un intervalle de six ou huit ans , et , du Cid passant au Menteur , nous sautons , si j ...
... MENTEUR MESDAMES ET MESSIEURS , Par une de ces fictions familières , et peut - être même nécessaires au théâtre , nous franchissons en huit jours un intervalle de six ou huit ans , et , du Cid passant au Menteur , nous sautons , si j ...
Page 29
... Menteur . Est - il donc vrai , messieurs , comme on le dit encore tous les jours , que , si le Cid est la première tragédie vraiment digne de ce nom qui ait illustré la scène fran- çaise , le Menteur en soit , lui , la première comédie ...
... Menteur . Est - il donc vrai , messieurs , comme on le dit encore tous les jours , que , si le Cid est la première tragédie vraiment digne de ce nom qui ait illustré la scène fran- çaise , le Menteur en soit , lui , la première comédie ...
Autres éditions - Tout afficher
Conférences de l'Odéon: les époques du théàtre français (1636-1850) Ferdinand Brunetière Affichage du livre entier - 1893 |
Conférences de l'Odéon: les époques du théatre français (1636-1850) Ferdinand Brunetière Affichage du livre entier - 1909 |
Expressions et termes fréquents
amour Andromaque assez Atrée Bajazet Balzac Beaumarchais bourgeois c'était chose Cléopâtre cœur comédie de caractères comédie de Marivaux comédie de mœurs comique conférences contemporains Corneille Crébillon crois d'ailleurs d'autres Dancourt Diderot donner doute dramatique drame Dumas effet enfin Fausses Confidences genre Gil Blas goût homme Hugo j'ai l'art l'auteur l'École des femmes l'histoire du théâtre littérature lui-même Mariage de Figaro Marivaux mélodrame ment Menteur mesdames et messieurs mieux Molière n'en n'est-ce neille œuvre parler passé passion peinture pense père personnages personne Pertharite peut-être Phèdre pièce plutôt poète Polyeucte première presque Pyrrhus qu'à qu'en qu'un Quinault raison Regnard Rhadamiste Rhadamiste et Zénobie ridicules rien rire Rodogune roman romanesque Ruy Blas s'il Sage sais saurait savez Scarron scène Scribe Sedaine sentiments serait seulement Shakespeare sieurs style sujet surtout Tartufe tion tragédie de Racine tragique traits Turcaret vérité veux dire voilà Voltaire vrai XVIIe siècle Zaïre Zénobie
Fréquemment cités
Page 113 - Songe, songe, Céphise, à cette nuit cruelle Qui fut pour tout un peuple une nuit éternelle ; Figure-toi Pyrrhus, les yeux étincelants. Entrant à la lueur de nos palais brûlants, Sur tous mes frères morts se faisant un passage, Et, de sang tout couvert, échauffant le carnage...
Page 146 - Aux portes de Trézène, et parmi ces tombeaux, Des princes de ma race antiques sépultures, Est un temple sacré, formidable aux parjures...
Page 241 - Vertueuse Zaïre, avant que l'hyménée Joigne à jamais nos cœurs et notre destinée, J'ai cru, sur mes projets, sur vous, sur mon amour, Devoir en musulman vous parler sans détour.
Page 89 - Quant à l'argent qu'il donne librement, outre que la lettre de son meilleur ami lui est une caution suffisante, il n'est pas incompatible qu'une personne soit ridicule en de certaines choses et honnête homme en d'autres.
Page 342 - Le romantisme, mon cher monsieur ! Non, à coup sûr, ce n'est ni le mépris des unités ni l'alliance du comique et du tragique, ni rien au monde que vous puissiez dire; VOUS saisiriez vainement l'aile du papillon, la poussière qui le colore vous resterait dans les doigts. Le romantisme, c'est l'étoile qui pleure, c'est le vent qui vagit, c'est la nuit qui frissonne...
Page 240 - Je le vois trop : les soins qu'on prend de notre enfance Forment nos sentiments, nos mœurs, notre croyance. J'eusse été près du Gange esclave des faux dieux, Chrétienne dans Paris, musulmane en ces lieux.
Page 333 - Que si nous avions le droit de dire quel pourrait être, à notre gré, le style du drame, nous voudrions un vers libre, franc, loyal, osant tout dire sans pruderie, tout exprimer sans recherche; passant d'une naturelle allure de la comédie à la tragédie, du sublime au grotesque...
Page 147 - Cet heureux temps n'est plus. Tout a changé de face, Depuis que sur ces bords les Dieux ont envoyé La fille de Minos et de Pasiphaé.
Page 83 - Lorsque vous peignez des héros, vous faites ce que vous voulez, ce sont des portraits à plaisir, où l'on ne cherche point de ressemblance; et vous n'avez qu'à suivre les traits d'une imagination qui se donne l'essor, et qui souvent laisse le vrai pour attraper le merveilleux. Mais lorsque vous peignez les hommes, il faut peindre d'après nature; on veut que ces portraits ressemblent; et vous n'avez rien fait si vous n'y faites reconnaître les gens de votre siècle.
Page 18 - Oh ! par pitié pour toi, fuis ! — Tu me crois peut-être Un homme comme sont tous les autres, un être Intelligent, qui court droit au but qu'il rêva. Détrompe-toi. Je suis une force qui va ! Agent aveugle et sourd de mystères funèbres!