Conférences de l'Odéon: les époques du théâtre français (1636-1850)Calmann Lévy, 1892 - 373 pages |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 22
Page 32
... pense , Et dédaigne un secours qu'en sa naissante ardeur Lui faisaient mendier la crainte et la pudeur . Beaux yeux ... pensée , etc. Oui , je sais , et je vais le redire 32 22 CONFERENCES DE L'ODEON .
... pense , Et dédaigne un secours qu'en sa naissante ardeur Lui faisaient mendier la crainte et la pudeur . Beaux yeux ... pensée , etc. Oui , je sais , et je vais le redire 32 22 CONFERENCES DE L'ODEON .
Page 38
... l'indifférence de l'auteur . Car , à qui importe - t - il que Dorante épouse Clarice ou Lucrèce ? Pas même à lui , je pense , et , naturellement , bien moins encore à nous . L'intérêt de la pièce 38 CONFÉRENCES DE L'ODÉON .
... l'indifférence de l'auteur . Car , à qui importe - t - il que Dorante épouse Clarice ou Lucrèce ? Pas même à lui , je pense , et , naturellement , bien moins encore à nous . L'intérêt de la pièce 38 CONFÉRENCES DE L'ODÉON .
Page 59
... pense de ces règles fameuses , dont je ne vous ai rien dit encore , dont le moment n'est pas venu de parler plus à fond , - nous voyons que , de nos jours mêmes , quand nos auteurs dramatiques veulent obtenir des effets plus saisissants ...
... pense de ces règles fameuses , dont je ne vous ai rien dit encore , dont le moment n'est pas venu de parler plus à fond , - nous voyons que , de nos jours mêmes , quand nos auteurs dramatiques veulent obtenir des effets plus saisissants ...
Page 61
... Voilà des autorités , je pense , nous dit le poète , heu- reux de notre embarras ; et vous , messieurs , si vous voulez sentir toute la force de son argument , songez de combien de pièces toute la critique que nous faisons se RODOGUNE . 61.
... Voilà des autorités , je pense , nous dit le poète , heu- reux de notre embarras ; et vous , messieurs , si vous voulez sentir toute la force de son argument , songez de combien de pièces toute la critique que nous faisons se RODOGUNE . 61.
Page 78
... pense , l'allure tout à fait romantique des vers , et le calibre de la plaisanterie , si je puis ainsi dire , que je ne saurais comparer qu'à celui des bouffonneries de César de Bazan dans Ruy Blas . Scarron , Saint - Amand , Théophile ...
... pense , l'allure tout à fait romantique des vers , et le calibre de la plaisanterie , si je puis ainsi dire , que je ne saurais comparer qu'à celui des bouffonneries de César de Bazan dans Ruy Blas . Scarron , Saint - Amand , Théophile ...
Autres éditions - Tout afficher
Conférences de l'Odéon: les époques du théàtre français (1636-1850) Ferdinand Brunetière Affichage du livre entier - 1893 |
Conférences de l'Odéon: les époques du théatre français (1636-1850) Ferdinand Brunetière Affichage du livre entier - 1909 |
Expressions et termes fréquents
amour Andromaque assez Atrée Bajazet Balzac Beaumarchais bourgeois c'était chose Cléopâtre cœur comédie de caractères comédie de Marivaux comédie de mœurs comique conférences contemporains Corneille Crébillon crois d'ailleurs d'autres Dancourt Diderot donner doute dramatique drame Dumas effet enfin Fausses Confidences genre Gil Blas goût homme Hugo j'ai l'art l'auteur l'École des femmes l'histoire du théâtre littérature lui-même Mariage de Figaro Marivaux mélodrame ment Menteur mesdames et messieurs mieux Molière n'en n'est-ce neille œuvre parler passé passion peinture pense père personnages personne Pertharite peut-être Phèdre pièce plutôt poète Polyeucte première presque Pyrrhus qu'à qu'en qu'un Quinault raison Regnard Rhadamiste Rhadamiste et Zénobie ridicules rien rire Rodogune roman romanesque Ruy Blas s'il Sage sais saurait savez Scarron scène Scribe Sedaine sentiments serait seulement Shakespeare sieurs style sujet surtout Tartufe tion tragédie de Racine tragique traits Turcaret vérité veux dire voilà Voltaire vrai XVIIe siècle Zaïre Zénobie
Fréquemment cités
Page 113 - Songe, songe, Céphise, à cette nuit cruelle Qui fut pour tout un peuple une nuit éternelle ; Figure-toi Pyrrhus, les yeux étincelants. Entrant à la lueur de nos palais brûlants, Sur tous mes frères morts se faisant un passage, Et, de sang tout couvert, échauffant le carnage...
Page 146 - Aux portes de Trézène, et parmi ces tombeaux, Des princes de ma race antiques sépultures, Est un temple sacré, formidable aux parjures...
Page 241 - Vertueuse Zaïre, avant que l'hyménée Joigne à jamais nos cœurs et notre destinée, J'ai cru, sur mes projets, sur vous, sur mon amour, Devoir en musulman vous parler sans détour.
Page 89 - Quant à l'argent qu'il donne librement, outre que la lettre de son meilleur ami lui est une caution suffisante, il n'est pas incompatible qu'une personne soit ridicule en de certaines choses et honnête homme en d'autres.
Page 342 - Le romantisme, mon cher monsieur ! Non, à coup sûr, ce n'est ni le mépris des unités ni l'alliance du comique et du tragique, ni rien au monde que vous puissiez dire; VOUS saisiriez vainement l'aile du papillon, la poussière qui le colore vous resterait dans les doigts. Le romantisme, c'est l'étoile qui pleure, c'est le vent qui vagit, c'est la nuit qui frissonne...
Page 240 - Je le vois trop : les soins qu'on prend de notre enfance Forment nos sentiments, nos mœurs, notre croyance. J'eusse été près du Gange esclave des faux dieux, Chrétienne dans Paris, musulmane en ces lieux.
Page 333 - Que si nous avions le droit de dire quel pourrait être, à notre gré, le style du drame, nous voudrions un vers libre, franc, loyal, osant tout dire sans pruderie, tout exprimer sans recherche; passant d'une naturelle allure de la comédie à la tragédie, du sublime au grotesque...
Page 147 - Cet heureux temps n'est plus. Tout a changé de face, Depuis que sur ces bords les Dieux ont envoyé La fille de Minos et de Pasiphaé.
Page 83 - Lorsque vous peignez des héros, vous faites ce que vous voulez, ce sont des portraits à plaisir, où l'on ne cherche point de ressemblance; et vous n'avez qu'à suivre les traits d'une imagination qui se donne l'essor, et qui souvent laisse le vrai pour attraper le merveilleux. Mais lorsque vous peignez les hommes, il faut peindre d'après nature; on veut que ces portraits ressemblent; et vous n'avez rien fait si vous n'y faites reconnaître les gens de votre siècle.
Page 18 - Oh ! par pitié pour toi, fuis ! — Tu me crois peut-être Un homme comme sont tous les autres, un être Intelligent, qui court droit au but qu'il rêva. Détrompe-toi. Je suis une force qui va ! Agent aveugle et sourd de mystères funèbres!