Conférences de l'Odéon: les époques du théâtre français (1636-1850)Calmann Lévy, 1892 - 373 pages |
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... rien encore , mais j'espère bien qu'à la fin de ces conférences , nous en saurons , vous et moi , quelque chose ; et en voilà , par là même , l'intention nettement définie : A travers l'histoire du théâtre français , depuis Cor- neille ...
... rien encore , mais j'espère bien qu'à la fin de ces conférences , nous en saurons , vous et moi , quelque chose ; et en voilà , par là même , l'intention nettement définie : A travers l'histoire du théâtre français , depuis Cor- neille ...
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... rien d'immuable , - ou plutôt , si ! elles ont quelque chose d'immuable , sans quoi ce ne seraient pas des lois , 1. Consultez sur ce point le livre de M. Eugène Rigal sur Alexandre Hardy . Paris , 1891 , Hachette ; et aussi son ...
... rien d'immuable , - ou plutôt , si ! elles ont quelque chose d'immuable , sans quoi ce ne seraient pas des lois , 1. Consultez sur ce point le livre de M. Eugène Rigal sur Alexandre Hardy . Paris , 1891 , Hachette ; et aussi son ...
Page 9
Ferdinand Brunetière. -mais je veux dire qu'elles n'ont rien de rigide , qu'elles ne sont pas de fer ni d'airain , qu'au contraire elles sont souples , elles sont ployables , elles sont élastiques , plas- tiques , organiques , et comme ...
Ferdinand Brunetière. -mais je veux dire qu'elles n'ont rien de rigide , qu'elles ne sont pas de fer ni d'airain , qu'au contraire elles sont souples , elles sont ployables , elles sont élastiques , plas- tiques , organiques , et comme ...
Page 13
... 'ont amené sur le bord d'un étang . 1. Comparez Corneille . Et l'on doit ce respect au pouvoir absolu De n'examiner rien quand un roi l'a voulu . Et dessus ce rivage , environné d'effroi Le jeune Aristobule LE CID . 13.
... 'ont amené sur le bord d'un étang . 1. Comparez Corneille . Et l'on doit ce respect au pouvoir absolu De n'examiner rien quand un roi l'a voulu . Et dessus ce rivage , environné d'effroi Le jeune Aristobule LE CID . 13.
Page 15
... rien mis dedans ; et je suis fâché seulement que ce soit là ce que l'on en a quelquefois appelé le caractère romantique . Mais , au contraire , ce qu'il y a de nouveau dans le Cid , c'est que , pour la première fois , et comme qui ...
... rien mis dedans ; et je suis fâché seulement que ce soit là ce que l'on en a quelquefois appelé le caractère romantique . Mais , au contraire , ce qu'il y a de nouveau dans le Cid , c'est que , pour la première fois , et comme qui ...
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Conférences de l'Odéon: les époques du théàtre français (1636-1850) Ferdinand Brunetière Affichage du livre entier - 1893 |
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 113 - Songe, songe, Céphise, à cette nuit cruelle Qui fut pour tout un peuple une nuit éternelle ; Figure-toi Pyrrhus, les yeux étincelants. Entrant à la lueur de nos palais brûlants, Sur tous mes frères morts se faisant un passage, Et, de sang tout couvert, échauffant le carnage...
Page 146 - Aux portes de Trézène, et parmi ces tombeaux, Des princes de ma race antiques sépultures, Est un temple sacré, formidable aux parjures...
Page 241 - Vertueuse Zaïre, avant que l'hyménée Joigne à jamais nos cœurs et notre destinée, J'ai cru, sur mes projets, sur vous, sur mon amour, Devoir en musulman vous parler sans détour.
Page 89 - Quant à l'argent qu'il donne librement, outre que la lettre de son meilleur ami lui est une caution suffisante, il n'est pas incompatible qu'une personne soit ridicule en de certaines choses et honnête homme en d'autres.
Page 342 - Le romantisme, mon cher monsieur ! Non, à coup sûr, ce n'est ni le mépris des unités ni l'alliance du comique et du tragique, ni rien au monde que vous puissiez dire; VOUS saisiriez vainement l'aile du papillon, la poussière qui le colore vous resterait dans les doigts. Le romantisme, c'est l'étoile qui pleure, c'est le vent qui vagit, c'est la nuit qui frissonne...
Page 240 - Je le vois trop : les soins qu'on prend de notre enfance Forment nos sentiments, nos mœurs, notre croyance. J'eusse été près du Gange esclave des faux dieux, Chrétienne dans Paris, musulmane en ces lieux.
Page 333 - Que si nous avions le droit de dire quel pourrait être, à notre gré, le style du drame, nous voudrions un vers libre, franc, loyal, osant tout dire sans pruderie, tout exprimer sans recherche; passant d'une naturelle allure de la comédie à la tragédie, du sublime au grotesque...
Page 147 - Cet heureux temps n'est plus. Tout a changé de face, Depuis que sur ces bords les Dieux ont envoyé La fille de Minos et de Pasiphaé.
Page 83 - Lorsque vous peignez des héros, vous faites ce que vous voulez, ce sont des portraits à plaisir, où l'on ne cherche point de ressemblance; et vous n'avez qu'à suivre les traits d'une imagination qui se donne l'essor, et qui souvent laisse le vrai pour attraper le merveilleux. Mais lorsque vous peignez les hommes, il faut peindre d'après nature; on veut que ces portraits ressemblent; et vous n'avez rien fait si vous n'y faites reconnaître les gens de votre siècle.
Page 18 - Oh ! par pitié pour toi, fuis ! — Tu me crois peut-être Un homme comme sont tous les autres, un être Intelligent, qui court droit au but qu'il rêva. Détrompe-toi. Je suis une force qui va ! Agent aveugle et sourd de mystères funèbres!