 | Léo Lespès - 1852 - 528 pages
...présence des graves intérêts de la société, « je faisais abstraction de tout ce qui me touche. Les « attaques les plus injustes et les plus violentes...décidé à suivre sa volonté, et, croyez-le bien, Mes« sieurs, la France ne périra pas dans mes mains. » Ce discours produisit une sensation extraordinaire;... | |
 | Antoine Joseph Napoléon Lespès - 1852 - 538 pages
...présence des graves intérêts de la société, « je faisais abstraction de tout ce qui me touche. Les « attaques les plus injustes et les plus violentes...décidé à suivre sa volonté, et, croyez-le bien, Mes• sieurs, la France ne périra pas dans mes mains. » Ce discours produisit une sensation extraordinaire... | |
 | --- Gallix, --- de l'Hérault Guy - 1852 - 510 pages
...présence des grands intérêts de « la société, je faisais abstraction de ce qui me « touche. Les attaques les plus injustes et les plus « violentes...calme. « Quels que soient les devoirs que le pays m'ini« pose, il me trouvera décidé à suivre sa vo« lonté;et, croyez-le bien, Messieurs, la France... | |
 | --- Gallix, --- de l'Hérault Guy - 1852 - 520 pages
...présence des grands intérêts de « la société, je faisais abstraction de ce qui ine v touche. Les attaques les plus injustes et les plus « violentes n'ont pu me faire surlir de mon calme. « Quels que soient les devoirs que le pays m'imo pose, il me trouvera décidé... | |
 | Napoléon III (empereur des Français) - 1853 - 268 pages
...combien , en présence des grands intérêts de la société, je faisais abstraction de ce qui me touche. Les attaques les plus injustes et les plus violentes...croyez-le bien, Messieurs, la France ne périra pas dans mes mains. » comprise entre Tours et Poitiers, a prononcé le discours qui suit, au banquet offert... | |
 | Jean Claude Barthélemy Gallix, de l'Hérault Guy - 1853 - 672 pages
...présence des grands intérêts de la société, je faisais abstrac. • tion de ce qui me touche. Les attaques les plus injustes et « les plus violentes...décidé à suivre sa volonté ; et, croyez-le bien, Mes< sieurs, la France ne périra pas dans mes mains. » Ce discours fut l'objet d'une très-violente... | |
 | 1853 - 858 pages
...de la société, je faisais1 abstraction de ce qui me touche Les attaques les plus injustes et l«s plus violentes n'ont pu me faire sortir de mon calme....suivre sa volonté. Et, croyez-le bien, Messieurs, la Franco ne périra pas dans mes mains. » Ce discours produisit sur l'Assemblée une émotion profonde... | |
 | 1853 - 850 pages
...intérêts de la société, je faisais abstraction de ce qui me touche Les attaques les plus injustes et lus plus violentes n'ont pu me faire sortir de mon calme. Quels que soient les devoirs que le pays m'imposef il me trouvera décidé à suivre sa volonté. Et, croyez-le bien, Messieurs, la France ne... | |
 | Jean-Claude-Barthélémy Gallix - 1853 - 946 pages
...abstraction de ce qui me « touche. Les attaques les plus injustes et les plus « violentes n'ont pu rne faire sortir de mon calme. « Quels que soient les devoirs que le pays m'im« pose, il me trouvera décidé à suivre sa vo« onté; et, croyez-le bien, Messieurs, la France... | |
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Quels que soient les devoirs que le pays m'impose, il me trouvera décidé à suivre sa volonté; et, croyez-le bien, Messieurs, la France ne périra pas dans mes mains. 
