La vie politique de M. Royer-Collard: ses discours et ses écrits, Volume 2 |
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... voyait qu'un rapprochement avec les hommes raisonnables du parti royaliste devenait plus que con- venable . Ce fut avec eux et dans un conseil privé , où furent appelés seulement des ministres et des conseillers d'État appartenant à l ...
... voyait qu'un rapprochement avec les hommes raisonnables du parti royaliste devenait plus que con- venable . Ce fut avec eux et dans un conseil privé , où furent appelés seulement des ministres et des conseillers d'État appartenant à l ...
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... voyait pas les dangers qui effrayaient le parti libéral ; c'était lui qui en avait conçu ou adopté l'idée . A considérer en lui - même ce mode d'élection , il n'aurait pas dû exciter de telles alarmes . Y voir une contre - révolution et ...
... voyait pas les dangers qui effrayaient le parti libéral ; c'était lui qui en avait conçu ou adopté l'idée . A considérer en lui - même ce mode d'élection , il n'aurait pas dû exciter de telles alarmes . Y voir une contre - révolution et ...
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... voyait sur son banc triste et malade . Après cette interruption , la Chambre reprit la discus- sion de la loi des élections . Un article , plus important encore que la création des colléges de département , était encore à discuter ...
... voyait sur son banc triste et malade . Après cette interruption , la Chambre reprit la discus- sion de la loi des élections . Un article , plus important encore que la création des colléges de département , était encore à discuter ...
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... voyait la Restauration , mécontent de tous ses amis , en désac- cord avec toutes les opinions , il blàmait tout et ne con- seillait rien . Il n'était pas d'avis d'essayer une transac- tion avec le ministère . Ceux qui lui parlaient de ...
... voyait la Restauration , mécontent de tous ses amis , en désac- cord avec toutes les opinions , il blàmait tout et ne con- seillait rien . Il n'était pas d'avis d'essayer une transac- tion avec le ministère . Ceux qui lui parlaient de ...
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... voyait les maîtres qui la professaient afficher des principes contraires à la religion . M. Royer - Collard lui répondit : << MESSIEURS , « Je serai très - court ; mais je crois de mon devoir de répondre à quelques - unes des choses que ...
... voyait les maîtres qui la professaient afficher des principes contraires à la religion . M. Royer - Collard lui répondit : << MESSIEURS , « Je serai très - court ; mais je crois de mon devoir de répondre à quelques - unes des choses que ...
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La vie politique de M. Royer-Collard: ses discours et ses écrits, Volume 2 Amable-Guillaume-Prosper Brugière baron de Barante Affichage du livre entier - 1863 |
La vie politique de Royer-Collard: ses discours et ses écrits, Volume 2 Amable-Guillaume-Prosper Brugière baron de Barante Affichage du livre entier - 1878 |
Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 421 - Entre ceux qui méconnaissent une nation si calme, si fidèle, et nous qui , avec une conviction profonde , venons déposer dans votre sein les douleurs de tout un peuple jaloux de l'estime et de la confiance de son roi , que la haute sagesse de Votre Majesté prononce! Ses royales prérogatives ont placé dans ses mains les moyens d'assurer entre les pouvoirs de l'État cette harmonie constitutionnelle, première et nécessaire condition de la force du trône et de la grandeur de la France.
Page 421 - concours permanent des vues politiques de votre » gouvernement avec les vœux de votre peuple la » condition indispensable de la marche régulière » des affaires publiques. Sire, notre loyauté, notre » dévouement nous condamnent à vous dire que
Page 297 - ... de vos concitoyens, que vous soyez en état de leur imposer la tyrannie? Dites-nous quel jour vous êtes entrés en possession de la gloire, quelles sont vos batailles gagnées, quels sont les immortels services que vous avez rendus au Roi et à la patrie ? Obscurs et médiocres, comme nous, il nous semble que vous ne nous surpassez qu'en témérité. La tyrannie ne saurait résider dans vos faibles mains ; votre conscience vous le dit encore plus haut que nous.
Page 184 - C'est, Messieurs, ce principe qui vient du Ciel et qui console la terre, que les rois sont faits pour les peuples, et non les peuples pour les rois...
Page 200 - Arrivé, dit-il, dans cette chambre par la volonté de ceux qui avaient le droit de m'y envoyer, je ne dois en sortir que par la violence de ceux qui n'ont pas le droit de m'en exclure; et si cette résolution de ma part doit appeler sur ma tête de plus graves dangers, je me dis que le champ de la liberté a été quelquefois fécondé par un sang généreux.
Page 439 - SAR monseigneur le duc d'Orléans de se rendre dans la capitale pour y exercer les fonctions de lieutenant général du royaume, et de lui exprimer le vœu de conserver les couleurs nationales. Elle a, de plus, senti la nécessité de s'occuper sans relâche d'assurer à la France, dans la prochaine session des Chambres, toutes les garanties indispensables pour la pleine et entière exécution de la Charte.
Page 273 - Aucun impôt ne peut être établi ni perçu, s'il n'a été consenti par les deux chambres et sanctionné par le roi.
Page 413 - Charte a placé les libertés publiques sous la sauve-garde des droits de ma couronne ; ces droits sont sacrés ; mon devoir envers mon peuple est de les transmettre intacts à mes successeurs. « Pairs de France , députés des départements...
Page 355 - Voulant affermir de plus en plus dans mes États la charte qui fut octroyée par mon frère, et que j'ai juré de maintenir, je veillerai à ce qu'on travaille avec sagesse et maturité à mettre notre législation en harmonie avec elle. « Quelques hautes questions d'administration publique ont été signalées à ma sollicitude. Convaincu que la véritable...
Page 504 - Repassez-les : le 6 octohre, le 10 août, le 21 janvier, le 31 mai, le 18 fructidor, le 18 brumaire: je m'arrête là. Que voyons-nous dans cette suite de révolutions ? La victoire de la force sur l'ordre établi, quel qu'il fût, et à l'appui, des doctrines pour la légitimer.