| 1788 - 876 pages
...Rien n'eft „ plus étonnant , difent les commiflaires , que „ le fpeéhcle de ces convuHions ; quand on „ ne l'a point vu , on ne peut s'en faire une „ idée : & en le voyant, on ett également „ furpris & du repos profond d'une partie de „ ces malades... | |
| Théodore Bouys - 1806 - 450 pages
...dévoient s'ils en eussent été témoins. Voici le tableau qu'ils présentent. « En voyant ce spectacle on est également surpris et du repos profond d'une...malades et de l'agitation qui anime les autres , des accidens variés qui se répètent , des sympathies qui s'établissent ; on voit des malades se chercher... | |
| Théodore Bouys - 1806 - 448 pages
...devoient s'ils en eussent été témoins. Voici le tableau qu'ils présentent* « En voyant ce spectacle on est également surpris et du repos profond d'une...malades et de l'agitation qui anime les autres , des accidens variés qui se répètent , des sympathies qui s'établissent ; on voit des malades se chercher... | |
| Alexandre Bertrand - 1826 - 600 pages
...de trois heures... Rien n'est plus étonnant , »ajoutent-ils , que le spectacle de ces convulsions. »Quand on ne l'a point vu, on ne peut s'en faire »une idée, et en le voyant on est également sur° pris et du repos profond d'une partie de ces ma»lades et de l'agitation qui anime les autres...... | |
| Alexandre-Jacques-François Bertrand - 1826 - 628 pages
...troLs heures.-. Rien n'est plus étonnant , » ajoutent-ils , que le spectacle de ces convulsions. «Quand on ne l'a point vu, on ne peut s'en faire » une idée , et en le voyant on est également sur» pris et du repos profond d'une partie de ces ma»lades et de l'agitation qui anime les autres...... | |
| Alexandre-Jacques-François Bertrand - 1826 - 592 pages
...trois heures... Rien n'est plus étonnant , » ajoutent-ils , que le spectacle de ces convulsions. » Quand on ne l'a point vu , on ne peut s'en faire » une idée , et en le voyant on est égalememt sur» pris et du repos profond d'une partie de ces ma»lades et de l'agitation qui anime... | |
| Simon Mialle - 1826 - 700 pages
...l'ont unanimement condamné; et cependant on trouve dans leur rapportees phrases bien remarquables : « Quand on ne l'a point vu, on ne peut s'en faire une « idée; et quand on l'a vu, on est également surpris Tous « .sont soumis à celui qui magnétise ; ils ont beau... | |
| Mme. H. Touchard - 1826 - 868 pages
...unanimement condamné , et cependant on trouve dans leur rapport ces phrases bien remarquables : « Quand on ne l'a point vu , on ne peut s'en » faire une idée , et quand on l'a vu , on est également » surpris. . . Tous sont soumis à celui qui magnétise ; ils... | |
| Charles Burdin, Frédéric Dubois - 1841 - 710 pages
...dans les salles du traitement public. Rien n'est plus étonnant que le spectacle de ces convulsions ; quand on ne l'a point vu, on ne peut s'en faire une (I) Les commissaires se bornent encore ici au simple historique, à un récit des scènes auxquelles... | |
| 1851 - 1248 pages
...étonnant , dit BAILLY , que le spectacle « des convulsions magnétiques; quand on ne l'a point vu, on a ne peut s'en faire une idée, et en le voyant , on est égale« ment surpris et du repos profond d'une parlie des malades , « et de l'agitation qui anime... | |
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