Louis XII et François 1er: ou Mémoires pour servir à une nouvelle histoire de leur règne; suivis d'appendices comprenant une discussion entre M. le comte Daru et l'auteur, concernant la réunion de la Bretagne à la France, Volume 3Bossange frères, 1833 |
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... commencement du siècle sui- vant par suite des mêmes causes . Tous ces évène- ments , inévitables effets des désordres du clergé résultant eux - mêmes du concordat ; ces évène- ments , causés par la violence du parti qui voulait la ...
... commencement du siècle sui- vant par suite des mêmes causes . Tous ces évène- ments , inévitables effets des désordres du clergé résultant eux - mêmes du concordat ; ces évène- ments , causés par la violence du parti qui voulait la ...
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... . Il y a mieux : on voit dans Du Tillet qu'ils attachèrent des terres à quelques uns de Il est bon d'observer qu'au commencement de la troisième race III . 4 TROISIÈME RACE . 49 roi, réunissant, en vertu de leur titre de ...
... . Il y a mieux : on voit dans Du Tillet qu'ils attachèrent des terres à quelques uns de Il est bon d'observer qu'au commencement de la troisième race III . 4 TROISIÈME RACE . 49 roi, réunissant, en vertu de leur titre de ...
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... commencement de la troisième race , tous les grands vassaux se créèrent des maisons semblables à celle du roi , parceque tout seigneur dominant était obligé , comme le roi , à donner des pairs pour juges à ses vassaux . Le sire de ...
... commencement de la troisième race , tous les grands vassaux se créèrent des maisons semblables à celle du roi , parceque tout seigneur dominant était obligé , comme le roi , à donner des pairs pour juges à ses vassaux . Le sire de ...
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... commencement de la troisième race , ses fonctions domestiques consistaient à régler tout ce qui regardait la table du roi ; il avait la I Voyez les Ordonnances du Louvre , tom . XV , pag . 317 ; note sur les lettres de Louis XI ...
... commencement de la troisième race , ses fonctions domestiques consistaient à régler tout ce qui regardait la table du roi ; il avait la I Voyez les Ordonnances du Louvre , tom . XV , pag . 317 ; note sur les lettres de Louis XI ...
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... commencement et sa fin , à chaque mou- vement sa direction : un tel ordre est celui d'un cloître . Dans une cour l'ordre s'indique de lui- même ; chacun en prend bien vite le sentiment , quand le prince l'éprouve et s'y conforme ; mais ...
... commencement et sa fin , à chaque mou- vement sa direction : un tel ordre est celui d'un cloître . Dans une cour l'ordre s'indique de lui- même ; chacun en prend bien vite le sentiment , quand le prince l'éprouve et s'y conforme ; mais ...
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Louis XII et François 1er: ou Mémoires pour servir à une nouvelle ..., Volume 3 Pierre-Louis Roederer Affichage du livre entier - 1833 |
Expressions et termes fréquents
anoblissant avaient baron bourgeois Brantôme brevet Bruyère c'était Catherine de Médicis chap CHAPITRE charge Charlemagne Charles choses clergé çois Ier commun état comte connétable corruption cour de François courtisans d'anoblissement dames devint dignités donner duc de Guise duchesse Duclos emplois Esprit des Lois établi femmes galantes féodal fiefs fille fils fortune Fran François de Guise François Ier galanterie gens gouvernement grand-maître Henri Henri III Henri IV hommes honneur honorables Hugues Capet juridiction l'ambition l'art de plaire l'autorité l'esprit l'état l'incontinence l'intrigue lettres Louis XIV madame maire du palais maison et couronne maîtresses mari marquisat ment mœurs Molière monarque Montesquieu n'avait n'était nation nobles noblesse officiers parle personne plaisirs politique pouvoir première race prince public rang règne de François règne de Louis reine ridicule rois royale royaume seigneur sentiment service d'honneur seulement sexe siècle société système de cour Tillet tion trouvé dans Moréri valet de chambre Valois vanité vices
Fréquemment cités
Page 306 - L'ambition dans l'oisiveté, la bassesse dans l'orgueil, le désir de s'enrichir sans travail, l'aversion pour la vérité, la flatterie, la trahison, la perfidie, l'abandon de tous ses engagements, le mépris des devoirs du citoyen, la crainte de la vertu du prince, l'espérance de ses faiblesses, et, plus que tout cela, le ridicule perpétuel jeté sur la vertu, forment, je crois, le caractère du plus grand nombre des courtisans, marqué dans tous les lieux et dans tous les temps.
Page 301 - Le pouvoir intermédiaire subordonné le plus naturel est celui de la noblesse. Elle entre en quelque façon dans l'essence de la monarchie , dont la maxime fondamentale est , point de monarque , point de noblesse ; point de noblesse , point de monarque.
Page 307 - Les vertus qu'on nous y montre sont toujours moins ce que l'on doit aux autres que ce que l'on se doit à soi-même : elles ne sont pas tant ce qui nous appelle vers nos concitoyens que ce qui nous en distingue.
Page 302 - Abolissez dans une monarchie les prérogatives des seigneurs, du clergé, de la noblesse et des villes , vous aurez bientôt un état populaire, ou bien un état despotique.
Page 98 - Oui, toujours des marquis, que diable voulez-vous qu'on prenne pour un caractère agréable de théâtre ? le marquis aujourd'hui est le plaisant de la comédie. Et comme dans toutes les comédies anciennes on voit toujours un valet bouffon qui fait rire les auditeurs, de même dans toutes nos pièces de maintenant, il faut toujours un marquis ridicule qui divertisse la compagnie.
Page 278 - II faut en France beaucoup de fermeté et une grande étendue d'esprit pour se passer des charges et des emplois, et consentir ainsi à demeurer chez soi, et à ne rien faire. Personne presque n'a assez de mérite pour jouer ce rôle avec dignité, ni assez de fonds pour remplir le vide du temps, sans ce que le vulgaire appelle des affaires.
Page 202 - Ce qu'alors les deux sexes nommaient amour, était une sorte de commerce où l'on s'engageait, souvent même sans goût, où la commodité était toujours préférée à k sympathie, l'intérêt au plaisir, et le vice au sentiment.
Page 308 - Il permet la ruse , lorsqu'elle est jointe à l'idée de la grandeur de l'esprit ou de la grandeur des affaires, comme dans la politique, dont les finesses ne l'offensent pas.
Page 97 - Brancas , et mille autres , l'ont porté sans chagrin. Il n'a point été profané comme celui de marquis. Quand un homme veut usurpe'r un titre, ce n'est point celui de comte, c'est celui de marquis, qui est tellement gâté qu'en vérité je pardonne à ceux qui l'ont abandonné.
Page 308 - Il est vrai que, philosophiquement parlant, c'est un honneur faux qui conduit toutes les parties de l'état; mais cet honneur faux est aussi utile au public que le vrai le seroit aux particuliers qui pourroient l'avoir.